Bon
bah voilà, comme chacun sait, nous sommes le 31 décembre 2015, à quelques
heures à peine des douze coups de minuits qui annonceront la toute nouvelle
année, 2016 ! Bien évidemment, et comme il est de coutume sur ce blog depuis
six ans désormais, je tenais à revenir sur les œuvres qui m’ont le plus marqués
au cours de ces douze derniers mois. Bien sûr, je dois reconnaitre que cela n’a
rien de bien original ; après tout, il est de coutume, dans les derniers jours
d’une année, de rappeler les événements qui l’ont marqué (il suffit de regarder
la télévision ou de lire la presse pour le constater), cependant, plutôt que de
tourner autour du pot, il est temps de revenir sur cette année 2015 qui n’en a
plus, désormais, pour très longtemps :
Livre
de l’année : Les Tommyknockers
Je
dois reconnaitre que pendant quelques mois, je me suis bien demander quel
bouquin j’allais choisir pour être le livre de cette année 2015, non pas en
raison d’une baisse qualitative de mes lectures mais davantage dut au fait que
je n’arrivais pas à trouver une œuvre qui, sincèrement, se démarquait
véritablement des autres. De plus, 2015, en quelque sorte, aura été marqué,
principalement, par deux auteurs : premièrement, David Gemmell pour les
premiers mois de l’année, histoire de poursuivre sur la lancée de 2014, puis,
deuxièmement, depuis la rentrée, Stephen King. Et justement, ce fut chez ce
dernier que j’aurai fait mon choix… non pas forcément avec un de ses meilleurs
romans – cela aurait put être le cas mais vu qu’il s’agissait de relectures, je
ne souhaitais pas en choisir une et la mettre en avant – mais avec un de ses
titres, Les Tommyknockers,
ouvrage souvent sous estimé voir décrié par bon nombre de ses fans, roman que
j’avais essayer de lire il y a de cela environ vingt ans, sans succès, et que,
curieusement, j’ai fortement apprécié cette fois ci. Alors bien entendu, au vu
des très nombreuses œuvres de la bibliographie de Stephen King, il est évidant
que Les Tommyknockers n’est pas son
meilleur titre, mais bon, au vu des circonstances et, comme je l’ai dit, je ne
souhaitais pas mettre en avant une relecture, on dira que cette œuvre aura
bénéficié d’un sympathique concours de circonstances pour être le Livre de
cette année 2015 !
BD
de l’année : Thorgal
Pour
ce qui est de l’univers, assez vaste, de la bande dessinée (BD européenne, comics
et mangas), au moins, ici, les choses auront été faciles et je n’ai absolument
pas hésité quand a mon choix final. Ainsi, et même si ces derniers mois, les
comics auront pris une place primordiale sur ce blog (ce qui n’était jamais
arrivé a ce genre), je ne pouvais pas ne pas choisir Thorgal
en tant que BD de l’année 2015. Non pas un album en particulier mais la série
dans son intégralité, et ce, même si cela fait quelques années que je me suis
lancer dans celle-ci. Car bon, comment dire, s’il y a bien une série qui aura
été sur le devant de la scène depuis cette été, une série, accessoirement,
majeure du genre franco-belge et dont je vous ait proposer, ni plus ni moins
que les critiques de 28 albums (sur 35), c’est bel et bien Thorgal, alors, après ce simple constat, comment aurais-je put choisir
une autre œuvre ?
Film
de l’année : Interstellar
2015
fut une année très riche en cinéma pour moi et, franchement, pas mal de longs
métrages auraient put avoir droit a cette distinction si recherchée de meilleur
Film de l’année. Pourtant, mon choix ne fut pas bien compliquer car, si les
films dont j’ai put publier des critiques pour la première fois sur ce blog au
cours de ces douze derniers mois mais que je connaissais déjà pour les avoir vu
une ou plusieurs fois dans le passé étaient bien évidement hors-jeu d’entrée de
piste, pour le reste, dès que j’ai eu le plaisir de regarder un certain Interstellar,
en avril dernier, mon choix était quasiment fait et, comme vous pouvez le
constater, au final, je n’ai pas changer d’avis. Mais finalement, comment
pouvait-il en être autrement avec cette œuvre de science fiction tellement
attachante et poétique par moments ?!
Série
de l’année : Breaking Bad
Pour
ce qui est des séries, 2015 restera aussi comme un bon cru, incontestablement
et, au cours de ces douze derniers mois, maintes d’entre elles auraient put
prétendre, sans problème, au titre de Série de l’année. Cependant, la aussi,
mon choix fut facile, très facile même et ce n’est pas une saison d’une série
en particulier mais l’intégralité d’une série qui obtint la récompense tant
convoitée, Breaking Bad.
Alors bien sur, l’on me dira que celle-ci n’est pas récente et que, sur ce
coup, je suis un peu en retard d’un train, mais bon, peu importe car Breaking Bad, je l’ai découvert cette
année et, forcément, au vu de l’immense qualité de cette œuvre, je me suis
enfiler les cinq saisons d’une traite, ne boudant pas mon plaisir devant ce que
j’ai considéré comme étant, après coup, l’une des meilleures séries qu’il m’ai
été donné de voir au cours de ma vie, rien de moins ! Alors forcément,
comment ne pouvait-elle pas être la Série de cette année 2015 ?!
Jeux
Vidéo de l’année : Tomb Raider
Je
pense ne pas me tromper en affirmant que 2015 fut l’année, depuis que ce blog
existe, où j’aurai le plus jouer a des jeux vidéos, ce qui, il faut le
reconnaitre, ne m’arrivait plus depuis une éternité, tout simplement. Qui plus
est, si la quantité fut au rendez vous, la qualité n’en fut pas en reste et
d’ailleurs, si je dois être tout à fait objectif, nombreux furent les jeux qui
auraient mérité le titre suprême de Jeu de l’année 2015. Du coup, mon choix ne
fut pas facile devant un panel aussi conséquent de superbes softs mais comme il
me fallait en choisir un, au final, j’ai souhaité mettre en avant un certain Tomb Raider.
Pourquoi celui-ci et pas un autre ? Déjà, pour la qualité de ce relaunch
sur PS3, incontestable, mais aussi,
pour ce que cette saga vidéoludique représente pour moi, et ce, depuis près de
vingt ans… Alors, que le retour en grâce de Lara Croft obtienne le titre de Jeu
de l’année 2015 était, finalement, un choix on ne peut plus naturel…
Disque
de l’année : Oxygène
Une
fois de plus, la musique aura été le parent pauvre sur ce blog et franchement,
on ne peut pas vraiment dire que j’aurai tenu parole quand a mon envie de
publier davantage de critiques d’albums cette année – allez, je le promet, cela
sera pour l’année prochaine. Fort heureusement, ces derniers temps, après avoir
eu envie de me replonger dans les œuvres d’un musicien qui avait énormément
compter pour moi étant adolescent, je veux bien évidement parler de Jean Michel
Jarre, les critiques musicales sont réapparues, tout juste a temps pour que je
fasse un choix – ce qui aurait été on ne peut plus compliquer sans cela. Et
parmi les trois albums critiqués ces dernières semaines, j’ai souhaité mettre
en avant Oxygène,
et ce, principalement pour la simple et bonne raison que plus jeune, j’avais
des préférences pour d’autres opus de Jean Michel Jarre mais qu’en vieillissant,
en me replongeant dans ses œuvres, il m’est apparu que ce tout premier album du
magicien de la musique électronique, était, non seulement sa plus belle
réussite, mais aussi et surtout, un pur chef d’œuvre…
Revue
de l’année : Charlie Hebdo 1178
Ma
dernière récompense pour cette année est un peu spéciale, comme vous pouvez le
constater. En effet, cette fois ci, je n’ai pas souhaité donner le titre de
Revue de l’année au magazine le plus réussi de ces douze derniers mois mais à
un numéro devenu célèbre, par la force des choses, de Charlie Hebdo.
Certes, je ne reviendrais pas sur les circonstances du drame du sept janvier
dernier, ni même sur les attentats du 13 novembre dernier et encore moins, car
la chose est générale, sur la véritable déclaration de guerre faite au monde
entier et la menace que représente DAESH, ce blog n’étant pas le lieu de le
faire. Mais bon, au vu des événements de ces derniers mois, au vu de ce qui
nous attend encore tant que l’occident n’aura pas réglé le problème que
représente ces quelques dizaines de milliers de fous de Dieu, il me fallait, en
quelque sorte, marquer le coup, et, justement, pour cela, je ne pouvais pas
trouver plus beau symbole que ce numéro Charlie
Hebdo…
Bon bah voilà, il me
semble que c’est tout pour cette année, il est donc temps pour moi de vous
souhaiter de passer un excellent réveillon, de fêter comme il se doit (mais
avec modération les amis, franchement, je vais joueur les vieux chiants mais
tant pis, inutile de picoler comme des trous au point de rouler sous la table)
l’année 2016 qui arrive dans quelques heures et de saluer, une dernière fois,
2015, une année faite de hauts et de bas, pas toujours heureuse au vu des nombreux
événements qui l’ont émailler, mais une année faite aussi, d’un point de vu
personnel, de bons moments. Et pour finir, comme il se doit, je ne pouvais pas
vous quitter sans la traditionnelle salutation d’usage : bonne année a
tout le monde !
2 commentaires:
Beau bilan !
Je plussoie sur la mésetime des Tommyknockers. Moi aussi c'est un bouquin que j'ai adoré. Sais-tu qu'il existe un téléfilm en plusieurs parties qui n'est pas mal du tout (dans mon jeune souvenir tout au moins je ne l'ai plus revu depuis des lustres) ?
Interstellar très bon et Breaking Bad aussi, même si j'avais failli abandonner à la fin de la saison 2 pour cause de rythme en baisse. Puis on a commencé à vraiment beaucoup en parler et je me suis dit que j'allais lui redonner une chance. Sans regrets.
Pour ce qui est du téléfilm des Tommyknockers, j'en ai entendu parler mais je n'ai jamais eu l'occasion de le voir. Peut-être un jour si l'occasion se présente...
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