vendredi 30 octobre 2009

NEED FOR SPEED III: HOT PURSUIT


NEED FOR SPEED III: HOT PURSUIT

Need for Speed 3 : Hot Pursuit est un jeu de courses de voitures sur Playstation. Le soft offre un sentiment de vitesse grisant, de beaux graphismes, et de pur plaisir de conduite. Dans le mode Classique, il y a une douzaine de super-voitures ayant chacune des qualités différentes à montrer. Alors montez dans votre Ferrari ou autre Lamborghini et faites chauffer le moteur.

Celui-là, il fallait que je vous en parle un jour ou l’autre tant il occupe depuis longtemps une place particulière dans mon cœur. Tout commença il y a une dizaines d’années, un ami m’avait prêté, comme je ne partais pas en vacances et que je ne travaillais pas à ce moment là, pour le mois d’août, sa Playstation avec trois jeux : Gran Turismo, Fifa 97 et donc, ce Need For Speed III. A l’époque, je n’avais pour console qu’une vieille Megadrive que je ne touchais guère plus et une autre, vestige des années 80 dont je ne serais même pas capable de vous donner le nom. Mon ami de l’époque (car la vie étant ce qu’elle est, parfois, on perd les gens de vue : a ce point, j’attends toujours qu’il repasse avec une K7 vidéo pour que je lui enregistre je ne sais plus quoi ; Carlos, si tu me lis…) ne cessait de me venter Gran Turismo, la révolution de l’année 98, mais personnellement, vu le peu d’attrait que j’ai toujours eu pour les jeux de voitures, Fifa m’intéressa largement plus. Mais, curieusement, ce fut Need For Speed qui remporta les suffrages de ces quelques semaines, me faisant passer un superbe mois d’août et me convainquant, quelques mois plus tard, à me procurer une Playstation et à me plonger dans plusieurs années consacrées aux jeux vidéos.

Mais comment quelqu’un comme moi, allergique aux jeux de voitures, ait put être attirer parce qu’il faut bien appeler un jeu de course automobile ? En fait, pour des raisons qui font que Need For Speed est tout sauf un simple jeu de course, bien au contraire. Certes, a la base, il est bien question de, au volant de superbes voitures comme des Ferrari, des Lamborghini ou des Corvettes, batailler ferme contre des adversaires dirigées par la console, ou des amis, dans des circuits plus ou moins convenus. Mais justement, lorsque l’on parle de ceux-ci, comment ne pas s’extasier devant certains comme le parcours endiablé en montagne ou mon préféré, dans une espèce de Grand Canyon ? Tout simplement superbe, de part les décors (pour l’époque, une révolution) mais aussi par leur difficulté. Ah, que de souvenirs de parties endiablées a batailler ferme pour essayer de remporter des courses ou la moindre erreur dans le dernier virage pouvait être fatale. Un must, tout simplement. Mais ce qui a fait la légende de la série des Need For Speed, c’est bien entendu le mode poursuite, où cette fois ci, plutôt que de faire simplement une course, il faut échapper aux forces de l’ordre dans des poursuites endiablées et jouissives, un peu comme dans bon nombre de films ou séries américaines. Un véritable régal qui a sut séduire en son temps bon nombre de joueurs et que, sincèrement, je n’ai jamais retrouvé par ailleurs.

Voilà donc pourquoi, une dizaine d’années après sa sortie, Need For Speed III reste à mes yeux mon jeu de course préféré et l’un des tous meilleurs, tous genres confondus. Un jeu que j’ai eu le plaisir de réessayer hier soir, pendant quelques heures et qui, encore maintenant, me procure toujours autant de plaisir.