THE
FALL – SAISON 3
Paul
Spector est pris en charge aux urgences. Il subit une lourde intervention qui
se passe bien. Jim Burns défend Stella Gibson auprès de Frank afin que
l'affaire ne lui soit pas retirée. Il est décidé que ce ne sera plus elle qui donnera
les conférences de presse
The Fall – Saison 3
Réalisation
: Allan Cubitt
Scénario : Allan Cubitt, Jakob Verbruggen
Musique : Keefus Ciancia
Production : BBC
Genre : Thriller
Titre
en vo : The Fall – Season 3
Pays
d’origine : Royaume-Uni
Chaîne
d’origine : BBC Two, RTÉ One
Diffusion
d’origine : 29 septembre 2016 – 28 octobre
2016
Langue
d'origine : anglais
Nombre
d’épisodes : 6 x 57 minutes
Casting :
Gillian
Anderson : Stella Gibson, superintendant de la
Metropolitan Police Service
Jamie
Dornan : Paul Spector
John
Lynch : Jim Burns, assistant du chef de police
Bronagh
Waugh : Sally-Ann Spector
Colin
Morgan : Tom Anderson, sergent détective
Niamh
McGrady : Danielle Ferrington, agent de police
Aisling
Franciosi : Katie Benedetto
Emmett
Scanlan : Glen Martin, inspecteur de police
Stuart
Graham : Matthew Eastwood, inspecteur-chef
Karen
Hassan : Annie Brawley
Bronágh
Taggart : Gail McNally
Nick
Lee : Ned Callan
Valene
Kane : Rose Stagg
Jonjo
O'Neill : Tom Stagg
Kelly
Gough : Hagstrom
Sean
McGinley : Peter Jensen
Ben
Peel : James Olson, sergent de police
Ian
McElhinney : Morgan Monroe
Aoibhín
Garrihy : Lyndsey Conklin
Mon
avis : Si la première
saison de The Fall avait sut renouveler
de fort belle manière les thrillers où officient des tueurs en séries, il est
évidant que la
seconde, sans être mauvaise, était apparu comme étant un poil décevante, le
scénario commençant a briller davantage par ses incohérences et ses lieux
communs que par ses qualités. Hélas, d’entrée de jeu, cette troisième saison
débutait mal, très mal même, et ce, par les mêmes défauts qui avaient déjà plombé
la saison précédente mais en pire… Ainsi, d’entrée de jeu, comment ne pas
pointer du doigt la monumentale incohérence, que dis-je, la débilité profonde
et pathétique qui aura nuit aux deux premiers épisodes et, dans un sens plus
large, a cette saison dans son ensemble, car bon, comment passer après cela :
ainsi, est-ce que vous trouvez normal que dans un hôpital de Belfast – que l’on
peut imaginer suffisamment grand – l’on ait placer dans une chambre un tueur en
série très dangereux et, en face, dans le couloir, sa dernière victime en date,
et ce, tandis que les forces de l’ordre sont relégués fort loin et brillent du
coup par leur absence !? Incohérent, que dis-je… ridicule oui ! Le
problème, c’est qu’en débutant d’une telle manière, les choses étaient fort mal
engagées et comme en plus, l’on retrouve une bonne part des défauts que l’on
avait déjà remarquer dans la seconde saison, arrivé sensiblement vers la moitié
de cette troisième saison, le deuil qualitatif de The Fall semblait bel et bien prononcer. Fort heureusement, et
alors qu’on ne l’attendait plus, un sursaut qualitatif eut lieu, une légère
montée en puissance qui amène, mine de rien, cette ultime saison jusqu’à un
final que l’on peut qualifier sans le moindre problème de bon, plutôt bon même.
De quoi pavoiser ? Oh certes non surtout qu’au vu de la première saison,
excellente, elle, il est clair que, d’un point de vu personnel, j’étais en
droit d’attendre bien plus de The Fall.
Hélas, ce ne fut pas le cas et il restera, finalement, après tout cela, comme
un arrière gout d’inachevé et, surtout, de déception…
Points
Positifs :
-
La conclusion, plutôt logique au vu de tout ce qui c’était dérouler auparavant
et qui marque les esprits.
-
Le duo Gillian Anderson / Jamie Dornan, toujours aussi excellent !
-
La seconde moitié de cette troisième saison est une lente montée qualitative
qui sauve un peu les meubles.
-
Cette dernière saison de The Fall est
davantage axée sur les dialogues entre les nombreux protagonistes, cependant, ceux-ci
sont de qualité et certains dialogues méritent le détour.
Points
Négatifs :
-
Un sentiment final de déception, surtout si l’on se souvient de la première
saison, proche de la perfection, elle.
-
On reprend les défauts de la seconde saison et on recommence, mais en pire :
sous intrigues complètement oubliées, personnages jetées aux oubliettes, etc.
-
Les deux premiers épisodes sont une purge monumentale !
-
Mais comment ont-ils fait pour quasiment occulter le sort de la famille de Paul
Spector !?
-
L’incohérence monumentale qui ouvre le bal avec, dans l’hôpital, la chambre du
tueur en face du lit de sa victime, située, elle, dans le couloir, et ce, sans
la moindre présence policière proche. Mais quelle débilitée…
Ma
note : 6/10
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