CALL
THE MIDWIFE – SAISON 1
East
End, Londres, 1957. Sage-femme fraîchement diplômée, la jeune Jenny Lee
s'apprête à entrer dans la vie active. Mais en lieu et place de l'hôpital où
elle croit avoir été embauchée, c'est un couvent qui l'attend : Nonnatus House.
Elle va y découvrir l'âpre réalité d'un quartier défavorisé, mais aussi faire
la connaissance de femmes qui sont de véritables héroïnes.
Call the Midwife – Saison 1
Réalisation
: Heidi Thomas
Scénario
: Heidi Thomas
Musique : Maurizio
Malagnini
Production : Neal
Street Productions
Genre : Médical
Titre
en vo : Call the Midwife – Season 1
Pays
d’origine : Royaume-Uni
Chaîne
d’origine : BBC One
Diffusion
d’origine : 15 janvier 2012 – 15 janvier 2012
Langue
d'origine : anglais
Nombre
d’épisodes : 6 x 50 minutes
Casting :
Jessica
Raine : Jenny Lee
Miranda
Hart : Chummy Browne (Camilla
Fortescue-Cholmondeley-Browne)
Jenny
Agutter : Sœur Julienne
Pam
Ferris : Sœur Evangelina
Judy
Parfitt : Sœur Monica Joan
Helen
George : Trixie Franklin
Bryony
Hannah : Cynthia Miller
Laura
Main : Sœur Bernadette/Shelagh
Cliff
Parisi : Fred
Stephen
McGann : Dr Turner
Ben
Caplan : Agent de police Peter
Noakes
George
Rainsford : Jimmy
Amy
McAllister : Mary
Mon
avis : Je ne vais pas vous mentir, ce ne
fut pas avec un grand enthousiasme que je m’étais lancer dans le visionnage de
la première saison de ce Call the Midwife,
énième série britannique dont le synopsis s’intéressait a la vie de sages
femmes vivant dans un couvent dans la Grande-Bretagne des années 50. Certes, le
postulat de départ pouvait apparaitre comme étant un poil original, certes, les
critiques que j’avais put lire ici ou là étaient loin d’être mauvaises et
certes, forcément, c’était une série britannique et quand on connait le talent
de ces derniers pour ce genre de productions, il y a toujours de quoi être un
minimum optimistes. Bref, même si je n’en n’attendais pas monts et merveilles,
il était évidant, d’un autre coté, que j’attendais tout de même que ce Call the Midwife, a défaut de me marquer
durablement, me fasse au moins passer un bon moment… or, et a ma grande
surprise – désagréable, au demeurant – même cela, je ne l’ai pas eu, ou alors,
quasiment pas… Car bon, comment dire… quand une saison est composée de six
petits épisodes et que, dès la fin du troisième, on n’attend plus qu’une seule
chose, c’est-à-dire la fin, c’est qu’il y a un sacré problème, vous ne trouvez
pas ?! Mais ce n’est pas tout, hélas, car lorsqu’un personnage principal
vous indispose au plus haut point, lorsque vous le trouvez niais et chiant au
possible et que la seule chose que vous souhaitez, c’est qu’il n’apparaisse pas
trop alors qu’il est omniprésent, c’est un énorme problème, il faut en convenir…
Alors du coup, malgré une idée de départ pas trop mauvaise, quelques
protagonistes plutôt sympathiques – impayable Chummy – et une première moitié
de saison qui tient la route, il apparait que cette première saison de Call the Midwife est beaucoup trop moyenne
pour me donner envie de poursuivre l’aventure, d’ailleurs, pour être tout à
fait franc, ce serait vraiment une énorme surprise que, un jour prochain, je me
lance dans la seconde saison… Eh oui, on ne peut pas tomber juste à chaque fois…
Points
Positifs :
-
Un postulat de départ plutôt intéressant puisque et qui nous permet d’en
connaitre davantage sur comment vivaient les sages femmes d’un couvent dans les
quartiers pauvres de Londres des années 50 – qui plus est, on s’aperçoit qu’environ
une décennie après la guerre, de nombreuses ruines subsistent encore et que les
conditions de vie de la population sont difficiles.
-
Chummy, la seule à sortir véritablement du lot : pour son apparence, sa
maladresse et son coté comique.
-
Une reconstitution plutôt bonne du Londres des années 50.
-
La première partie de saison se laisse regarder.
Points
Négatifs :
-
Jenny Lee, l’héroïne, est inintéressante au possible et fait partie de ces
personnages qui agacent plus qu’autre chose. Il faut dire qu’a force de la voir
geindre, se lamenter en permanence et juger les autres, on a envie que d’une
seule chose : lui collet une paire de claques !
-
Si la première moitié de saison – trois petits épisodes – se laissent regarder,
ce n’est pas vraiment le cas de la seconde et, assez rapidement, la seule chose
que l’on attend, c’est d’arriver au bout afin de pouvoir passer à autre chose…
-
Une saison de six épisodes, on peut se dire que c’est court, or, qu’est ce que
j’ai trouvé tout cela bourré de longueurs.
-
Tous les protagonistes et les intrigues les plus intéressantes sont mis de coté
ou escamotés au détriment des états d’âme de l’héroïne, hélas…
Ma
note : 6/10
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