samedi 21 octobre 2017

CALL THE MIDWIFE – SAISON 1


CALL THE MIDWIFE – SAISON 1

East End, Londres, 1957. Sage-femme fraîchement diplômée, la jeune Jenny Lee s'apprête à entrer dans la vie active. Mais en lieu et place de l'hôpital où elle croit avoir été embauchée, c'est un couvent qui l'attend : Nonnatus House. Elle va y découvrir l'âpre réalité d'un quartier défavorisé, mais aussi faire la connaissance de femmes qui sont de véritables héroïnes.


Call the Midwife – Saison 1
Réalisation : Heidi Thomas
Scénario : Heidi Thomas
Musique : Maurizio Malagnini
Production : Neal Street Productions
Genre : Médical
Titre en vo : Call the Midwife – Season 1
Pays d’origine : Royaume-Uni
Chaîne d’origine : BBC One
Diffusion d’origine : 15 janvier 2012 – 15 janvier 2012
Langue d'origine : anglais
Nombre d’épisodes : 6 x 50 minutes

Casting :
Jessica Raine : Jenny Lee
Miranda Hart : Chummy Browne (Camilla Fortescue-Cholmondeley-Browne)
Jenny Agutter : Sœur Julienne
Pam Ferris : Sœur Evangelina
Judy Parfitt : Sœur Monica Joan
Helen George : Trixie Franklin
Bryony Hannah : Cynthia Miller
Laura Main : Sœur Bernadette/Shelagh
Cliff Parisi : Fred
Stephen McGann : Dr Turner
Ben Caplan : Agent de police Peter Noakes
George Rainsford : Jimmy
Amy McAllister : Mary

Mon avis : Je ne vais pas vous mentir, ce ne fut pas avec un grand enthousiasme que je m’étais lancer dans le visionnage de la première saison de ce Call the Midwife, énième série britannique dont le synopsis s’intéressait a la vie de sages femmes vivant dans un couvent dans la Grande-Bretagne des années 50. Certes, le postulat de départ pouvait apparaitre comme étant un poil original, certes, les critiques que j’avais put lire ici ou là étaient loin d’être mauvaises et certes, forcément, c’était une série britannique et quand on connait le talent de ces derniers pour ce genre de productions, il y a toujours de quoi être un minimum optimistes. Bref, même si je n’en n’attendais pas monts et merveilles, il était évidant, d’un autre coté, que j’attendais tout de même que ce Call the Midwife, a défaut de me marquer durablement, me fasse au moins passer un bon moment… or, et a ma grande surprise – désagréable, au demeurant – même cela, je ne l’ai pas eu, ou alors, quasiment pas… Car bon, comment dire… quand une saison est composée de six petits épisodes et que, dès la fin du troisième, on n’attend plus qu’une seule chose, c’est-à-dire la fin, c’est qu’il y a un sacré problème, vous ne trouvez pas ?! Mais ce n’est pas tout, hélas, car lorsqu’un personnage principal vous indispose au plus haut point, lorsque vous le trouvez niais et chiant au possible et que la seule chose que vous souhaitez, c’est qu’il n’apparaisse pas trop alors qu’il est omniprésent, c’est un énorme problème, il faut en convenir… Alors du coup, malgré une idée de départ pas trop mauvaise, quelques protagonistes plutôt sympathiques – impayable Chummy – et une première moitié de saison qui tient la route, il apparait que cette première saison de Call the Midwife est beaucoup trop moyenne pour me donner envie de poursuivre l’aventure, d’ailleurs, pour être tout à fait franc, ce serait vraiment une énorme surprise que, un jour prochain, je me lance dans la seconde saison… Eh oui, on ne peut pas tomber juste à chaque fois…


Points Positifs :
- Un postulat de départ plutôt intéressant puisque et qui nous permet d’en connaitre davantage sur comment vivaient les sages femmes d’un couvent dans les quartiers pauvres de Londres des années 50 – qui plus est, on s’aperçoit qu’environ une décennie après la guerre, de nombreuses ruines subsistent encore et que les conditions de vie de la population sont difficiles.
- Chummy, la seule à sortir véritablement du lot : pour son apparence, sa maladresse et son coté comique.
- Une reconstitution plutôt bonne du Londres des années 50.
- La première partie de saison se laisse regarder.

Points Négatifs :
- Jenny Lee, l’héroïne, est inintéressante au possible et fait partie de ces personnages qui agacent plus qu’autre chose. Il faut dire qu’a force de la voir geindre, se lamenter en permanence et juger les autres, on a envie que d’une seule chose : lui collet une paire de claques !
- Si la première moitié de saison – trois petits épisodes – se laissent regarder, ce n’est pas vraiment le cas de la seconde et, assez rapidement, la seule chose que l’on attend, c’est d’arriver au bout afin de pouvoir passer à autre chose…
- Une saison de six épisodes, on peut se dire que c’est court, or, qu’est ce que j’ai trouvé tout cela bourré de longueurs.
- Tous les protagonistes et les intrigues les plus intéressantes sont mis de coté ou escamotés au détriment des états d’âme de l’héroïne, hélas…

Ma note : 6/10

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