GREY'S
ANATOMY – SAISON 11
Cristina
est partie. Meredith débarque chez Alex et fait sortir Jo du lit pour pouvoir
discuter avec lui. A l'hôpital, Owen tente d'oublier le départ de Cristina en
se plongeant dans le travail, ce qui fait penser aux autres qu'il souffre en
silence. Certains médecins tentent de l'inviter pour lui changer les idées.
Meredith et Alex se rapprochent après que celui-ci lui avoue que Cristina lui a
laissé ses parts de l'hôpital, son siège au conseil et Meredith, ce qui fait
qu'Alex devient son âme sœur. De son côté, Derek prend conscience qu’il ne veut
pas quitter sa famille et décide de quitter le programme de cartographie du
cerveau ce qui surprend Meredith. Margaret «
Maggie » Pierce, la nouvelle chef du service de cardiologie, fait la
connaissance de sa sœur Meredith mais ne lui avoue pas la vérité. Maggie
préfère ne rien dire par suite des rapports tendus entre elles. Bailey découvre
avec stupéfaction qu'Alex a reçu les parts de Cristina alors qu'elle pensait
obtenir la place vacante au conseil sur les recommandations de Richard Webber.
Grey's Anatomy – Saison 11
Réalisation
: Shonda Rhimes
Scénario
: Shonda Rhimes
Musique : Danny
Lux
Production : ABC
Studios, ShondaLand
Genre : Comédie
dramatique médicale, Soap
Titre
en vo : Grey's Anatomy 11
Pays
d’origine : États-Unis
Chaîne
d’origine : ABC
Diffusion
d’origine : 25 septembre 2014 – 14 mai 2015
Langue
d'origine : anglais
Nombre
d’épisodes : 25 x 42 minutes
Casting :
Ellen Pompeo : Meredith Grey
Justin Chambers
: Alex Karev
Chandra Wilson :
Miranda Bailey
James Pickens Jr
: Richard Webber
Sara Ramirez : Callie Torres
Kevin McKidd : Owen Hunt
Jessica Capshaw
: Arizona Robbins
Sarah Drew : April Kepner
Jesse Williams :
Jackson Avery
Caterina
Scorsone : Amelia Shepherd
Camilla
Luddington : Josephine Wilson
Jerrika Hinton :
Stephanie Edwards
Kelly McCreary :
Margaret « Maggie » Pierce
Patrick Dempsey
: Derek Shepherd
Patrick Fabian :
Dr Oliver Lebackes
Kate Burton : Ellis Grey
Geena Davis : Dr Nicole Herman
Annet Mahendru :
Ana
Connie Ray : Karen Kepner, mère d'April
Sally Pressman :
jeune Ellis Grey
Giacomo
Gianniotti : Dr Andrew DeLuca
Jason George : Dr Ben Warren
Mon
avis : Avec Grey’s Anatomy qui, cette année, en France, atteignait donc sa
onzième saison (plus une outre-Atlantique), c’est que l’on a d’entrée de jeu,
avec cette série, un problème qui est devenu récurant depuis quelques années :
ainsi, au fil des saisons, le scénario s’enlise dans une routine a n’en plus
finir, les personnages revivent sans arrêt les mêmes situations, ou presque,
quant a l’originalité, eh ben, comment dire… oh bah celle-ci est parti vers d’autres
lieux depuis belle lurette. Mais le problème, avec une série comme Grey’s Anatomy, c’est que malgré ce
constat plus qu’évidant (relisez donc ma critique de l’année
passée, elle est on ne peut plus révélatrice), année après année, on reste
fidèle au rendez vous, on continue à regarder, même si, bien évidement, on n’en
n’espère plus monts et merveilles… La force de l’habitude, peut-être, la
curiosité de savoir ce qui arrivera aux personnages, ces derniers faisant
presque parti de la famille après plus d’une décennie, plus surement. Alors
certes, et comme je l’ai dit, plus les saisons passent et moins Grey’s Anatomy vaut le coup : d’ailleurs,
c’est fou ce que j’ai put m’ennuyer au cours de cette onzième saison, pas
toujours mais beaucoup trop a mon gout. Et puis, il y a la problématique Grey,
l’héroïne si détestable toujours à geindre et tellement inintéressante, son
mari, dont, fort heureusement, le cas est réglé – accessoirement, de fort belle
manière – a la fin de la saison, et, car hélas, ce n’est pas finit, un
personnage comme Callie qui a énormément perdu de sa superbe, elle aussi. Alors
certes, il reste quelques temps forts, quelques moments, épisodes, qui font
que, au court de cette onzième saison, on a, par moments, retrouver un peu le
feu sacré de ce que fut cette série : la grossesse tragique d’April et ses
problèmes avec Avery, l’arrivée rafraichissante d’Amelia sans oublier, bien
sur, la présence pendant la première moitié de la saison du Dr Herman –
formidable Geena Davis – qui vint tirer tout ce petit monde de la routine. Mais
bon, malgré ces quelques bons moments, tout cela est peu, trop peu pour faire
de cette onzième saison de Grey’s Anatomy
un bon cru : l’intérêt de cette série est passé depuis longtemps, on ne
suit plus tout cela que par simple curiosité et puis, quand on se dit que l’on
ne retiendra véritablement qu’une seule chose de cette saison, c’est-à-dire, la
mort de Derek, cela laisse songeur… Mais bon, je râle, je râle mais vous vous
doutez bien que je serais au rendez vous lors de la douzième saison…
Points
Positifs :
-
Allez, même si la mort de Derek Shepherd est une bonne nouvelle (enfin débarrassé
de lui), force est de constater que sa mort fut fort bien réalisé : notre
beau gosse de service sauve des vies avant de perdre la sienne, un peu
connement (par la faute de médecins moins doués que nos héros), c’est plutôt touchant
et cela permet de quitter ce personnage de fort belle manière.
-
La grossesse dramatique d’April et tous les problèmes que celle-ci a entrainé a
son couple. C’était larmoyant, triste à souhait, mais au moins, cela marque les
esprits.
-
Geena Davis tout simplement excellente lors de la première partie de saison.
-
L’arrivée d’Amelia Shepherd en tant que personnage récurant dans la série.
Points
Négatifs :
-
Onze saisons, onze ! Et ce n’est pas finit ! Bien évidement, il est
clair que cela fait beaucoup pour une série, aussi bonne fut-elle lors de ses
débuts et que cela fait bien longtemps qu’elle a perdue énormément de son intérêt.
Du coup, on regarde par curiosité, certes, mais plus vraiment par passion…
-
Comme je le dis tous les ans, je déteste Meredith Grey : il faut dire que
dans le genre personnage inintéressant qui passe sa vie à geindre, à se
lamenter, à se prendre pour meilleur que les autres et a les juger, j’ai
rarement vu pire. Détestable, chiante au possible, chacune de ses apparitions
(et elles sont nombreuses, hélas) furent une souffrance… et alors, quand elle
pense a sa mère qui, accessoirement, était une véritable connasse, c’est le pompon !
-
Ils ne peuvent pas innover les scénaristes ? Car bon, nous refaire le coup
de la sœur caché de Meredith, c’est plus que léger…
-
Bigre, même Callie elle devient chiante !
Ma
note : 6/10
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