LES
CAHIERS DE SCIENCE & VIE 140 – AUX SOURCES DU VIN ET DE L’IVRESSE
Octobre 2013
Aux sources du Vin et
de l’ivresse
- Edito : In vino…
« civilitas »
- Cadrage : Une
histoire aux multiples rameaux
- Interview : «
Le vin est si merveilleux que son origine ne peut être que divine
» de Jean-Robert
Pitte
I – Aux origines
du Vin
- Première vendanges
- Grecs et Romains – Bacchus s’invite
à toutes les tables
- Les Gaulois – Ce nectar qui
élevait nos ancêtres
II – Les
religions du Livre et le Vin
- Judaïsme – Le raisin, fruit de la
Terre promise
- Christianisme – « Ceci est mon sang… »
- Islam – En attendant le Paradis
III – De l’art
à la science du Vin
- La France met le vin à sa carte
- Comment la science élève le vin
- La révolution anglaise
IV
– Les pouvoirs du Vin
- Une France au teint vermeil
- La politique investi le vin
- De l’ivresse a l’alcoolisme
- Boire est-il dans nos gènes ?
- Des buveurs célèbres
- Le bel avenir du vin !
Mon
avis : On pourra dire que ces derniers mois, j’aurai
vraiment pris mon temps pour lire les derniers numéros parus dans le commerce
de cette excellente revue qu’est pourtant les Cahiers de Science & Vie, la faute a un manque de temps
évidant, mais aussi, comme ce fut franchement le cas pour celui-ci a un sujet
qui ne me passionnait guère. Il faut dire que même avec toute la meilleure volonté
du monde, prétendre que le vin est un thème qui me passionne serait franchement
vous mentir : certes, de façon occasionnelle, il m’arrive d’en boire, mais
bon, non seulement je ne suis pas un grand amateur du nectar de la vigne mais
qui plus est, je n’y connais pas grand-chose – je pourrais même aller plus
loin, cela ne m’a jamais intéressé. Mais bon, ayant pris depuis quelques années
l’habitude de me procurer chaque numéro des Cahiers
de Science & Vie, qui est, pour rappel, ma revue préférée, je n’ai pas dérogé
à la règle avec celui-ci, même s’il ne m’enchantait guère… mais bon, c’était peut-être
l’occasion, justement, d’en apprendre davantage sur le sujet ? Et, ma foi,
et d’ailleurs, ce n’est pas la première fois que cela m’arrive avec les Cahiers, je ne peux que constater qu’à
la lecture de ce numéro, désormais, si je ne suis pas devenu un expert sur la
chose viticole, force est de constater que je ne suis plus vraiment un néophyte :
ainsi, entre l’histoire de la culture de la vigne depuis l’antiquité jusqu’à l’époque
moderne, sur sa place au sein de la société, sur ses bienfaits et ses méfaits
ainsi que le regard que les hommes portent sur le vin, désormais, celui-ci n’est
plus un parfait inconnu pour moi. Bien sûr, malgré cela, je ne suis pas devenu
un passionné subitement, et d’ailleurs, le fait que la lecture de ce numéro ce
soit étalée sur plusieurs mois est l’évidence même qu’achever la lecture de celui-ci
ne fut pas chose aisée, mais bon, au moins, désormais, je serais un peu moins
inculte sur la viticulture et le vin, c’est déjà ça ; j’espère juste que
le prochain numéro des Cahiers de Science
& Vie me passionnera davantage ?!
Points Positifs :
- Comme tout numéro des Cahiers de Science & Vie, la qualité
des articles est une fois de plus au rendez-vous, c’est clair, net, précis et l’on
apprend tout un tas de choses sur un sujet finalement peu connu du grand
public.
- Le choix, justement, de consacrer
un numéro au vin et à la vigne : même un parfait néophyte dans mon genre
qui ne s’intéresse absolument pas au sujet en sait désormais davantage sur l’art
viticole.
Points Négatifs :
- Comment dire, malgré toute la
meilleure volonté au monde, un sujet sur le vin, ce n’est pas non plus ce qu’il
y a de plus passionnant, loin de là, alors, si on compare ce numéro avec d’autres
des Cahiers, force est de constater
qu’on a déjà connu mieux.
Ma note : 6,5/10
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