STAR
WARS – LA MENACE FANTÔME
Avant
de devenir un célèbre chevalier Jedi, et bien avant de se révéler l’âme la plus
noire de la galaxie, Anakin Skywalker est un jeune esclave sur la planète
Tatooine. La Force est déjà puissante en lui et il est un remarquable pilote de
Podracer. Le maître Jedi Qui-Gon Jinn le découvre et entrevoit alors son
immense potentiel. Pendant ce temps, l’armée de droïdes de l’insatiable
Fédération du Commerce a envahi Naboo, une planète pacifique, dans le cadre
d’un plan secret des Sith visant à accroître leur pouvoir. Pour défendre la
reine de Naboo, Amidala, les chevaliers Jedi vont devoir affronter le
redoutable Seigneur Sith, Dark Maul.
Star Wars – La Menace fantôme
Réalisation : George
Lucas
Scénario : George
Lucas
Musique : John
Williams
Production : Lucasfilm
Genre : Science-Fiction,
Space Opera
Titre
en vo : Star Wars – The Phantom Menace
Pays
d'origine : États-Unis
Langue
d'origine : anglais
Date
de sortie : 19 mai 1999
Durée : 136
mn
Casting
:
Liam
Neeson : Qui-Gon Jinn
Ewan
McGregor : Obi-Wan Kenobi
Natalie
Portman : Reine Amidala / Padmé
Jake
Lloyd : Anakin Skywalker
Ian
McDiarmid : Sénateur
Palpatine / Dark Sidious
Pernilla
August : Shmi Skywalker
Oliver
Ford Davies : Sio Bibble
Hugh
Quarshie : Capitaine
Panaka
Ahmed
Best : Jar Jar Binks
Anthony
Daniels : C-3PO
Kenny
Baker : R2-D2
Frank
Oz : Yoda
Terence
Stamp : Chancelier Valorum
Brian
Blessed : Boss Nass
Andy
Secombe : Watto
Ray
Park : Dark Maul
Lewis
Macleod : Sebulba
Samuel
L. Jackson : Mace Windu
Mon avis :
Que l’on aime ou pas la science-fiction, je pense que, en toute honnêteté,
reconnaitre que Star Wars est sans
nul doute l’une des sagas les plus importantes du septième art n’est en aucune façon
une exagération, loin de là, car bon, depuis la sortie du tout premier volet,
il y a bientôt quatre décennies, occulter l’importante que cette saga a pris
dans le domaine cinématographique mais aussi, dans celui de la vie de tous les
jours, au point même que l’on puisse parler de mythe moderne (les Jedis, Dark
Vador, les répliques cultes, la musique, etc.) serait faire preuve d’une
mauvaise foi certaine. Ainsi, et alors que bientôt sortira sur nos écrans le…
septième film de la saga (début de la dernière trilogie), il était grand temps,
il me semble, d’enfin, mettre a l’honneur, sur ce blog, la saga Star Wars, chose qui, en sept ans d’existence
du Journal de Feanor, n’avait jamais
été fait ; ce qui peut paraitre incroyable, je le reconnais. Et pour cela,
autant débuter par le premier film, du moins, chronologiquement parlant, cette Menace Fantôme qui, selon moi, est aussi
le plus mauvais de la franchise. Voila, la chose est dite et, quelque part, ce
n’est même pas une surprise pour beaucoup, franchement déçus par ce premier
volet de la seconde trilogie et qui fut attendu pendant si longtemps – oui, dès
les années 80, la rumeur courrait que Lucas ne souhaitait pas en rester là et
prévoyait 9 films en tout. Car aussi incroyable que cela puisse paraitre,
malgré le succès qu’il connu en son temps (1999, un autre siècle, une autre
époque), La Menace Fantôme fut avant
toute chose une belle déception, et ce, pour de multiples raisons : déjà,
face a une si longue attente et le coté mythique de la saga, l’introduction de
nouveaux protagonistes et d’une nouvelle intrigue, n’importe quel film aurait
eu du mal face aux fans les plus hardcore. Cependant, quand on nous pond un
film avec, je suis désolé, un bras cassé insupportable comme Jar Jar Binks
(sans nul doute le pire personnage de tous les temps, tous genres confondus),
un méchant aussi charismatique qu’une huitre (Dark Maul et son expression
bovine), un jeune Dark Vador (non, ce n’est plus un spoiler depuis longtemps)
blond et que l’on a envie de claquer a chaque apparition, une course inspiré de
Ben Hur mais ennuyeuse au possible et
une flopée de bestioles absurdes échappées du Muppet Show, comment voulez vous que, malgré une Nathalie Portman plutôt
mignonne avec ses costumes extravaguant et un Liam Neeson assez crédible en
chevalier Jedi, l’on n’ai pas envie d’envoyer bouler tout le film, Jar Jar et,
bien entendu, George Lucas ?! Heureusement, la suite, elle, fut autrement
plus intéressante et réussie mais en 1999, que la déception fut immense avec ce
nouveau Star Wars…
Points
Positifs :
-
Jusqu’à la première apparition de l’insupportable Jar Jar Binks, on pouvait
encore ressentir un certain plaisir à retrouver l’univers de Star Wars.
-
Les costumes de Nathalie Portman : franchement, si ceux-ci lui donnent par
moments des airs ridicules, personnellement, j’ai adoré.
-
Liam Neeson s’en sort plutôt bien en chevalier Jedi, pourtant, ce n’était pas
gagné.
-
Quelques beaux décors, quelques idées sympas ainsi que quelques scènes plus ou
moins réussies.
Points
Négatifs :
-
Forcément, Jar Jar Binks : mais qu’est ce qui a pris a George Lucas de
donner un rôle aussi important a cet espèce d’idiot du village consanguin qui
parle comme un débile et qui, par-dessus le marché, n’est même pas drôle !?
Rien que par sa présence, le film perd deux points dans sa note finale !
-
Dans le genre bovin, Dark Maul est pas mal aussi : une seule expression de
visage tout au long de ses apparitions et, par-dessus le marché, ratée car bon,
comment dire, en toute sincérité, qui peut avoir véritablement peur d’un gus peinturluré
comme un gothique au gout de chiottes !?
-
Ah, le gamin qui joue le role d’Anakin
Skywalker enfant, une vrai tête à claque : déjà, avec sa coupe au bol
typiquement « film américain »,
il mérite des baffes, mais en plus, a chacune de ses apparitions, j’avais de
curieuses envie meurtre…
- La course a la Ben
Hur, un grand moment de… nullité absolue, tout simplement ; n’est pas Charlton
Heston qui veut…
- Quand la tête a claques, euh, pardon, le gamin
part dans l’espace et dégomme le vaisseau spatial, un grand moment de n’importe
quoi.
- Et Lucas nous pond des origines christiques à ce
sale gosse ; manquait plus que ça !
- Jar Jar Binks… oups, pardon, je l’avais déjà dit !
Ma note : 3,5/10
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire