LES
CAHIERS DE SCIENCE & VIE 190 – AUX ORIGINES DES SOCIÉTÉS SECRÈTES
Janvier
2020
Au
sommaire :
- Édito :
Vivons groupés, vivons cachés
- Actualités
-
La Dame de Vix et son trésor dépoussiérés
-
Une fresque inédite raconte les gladiateurs
-
Aux Origines de la Grande Peste
-
L’impact innatendu sur le climat des paysans mayas
-
Une ancienne distillerie clandestine ?
-
Des îlots aussi vieux que mystérieux
-
Langues : lutter contre l’extinction
-
Le génie Léonard passé aux rayons X
- Dossier :
Aux Origines des Sociétés Secrètes
-
Cadrage
-
Les raisons d’un succès
-
Cinq mille ans de sociétés secrètes
-
Sociétés à Mystères : Dans le secret des sanctuaires
-
Sociétés Initiatiques : Illumination et réenchantement
-
Sociétés Politiques : Œuvrer dans la clandestinité
-
Sous le poids des fantasmes
-
Le XXIe siècle : eldorado des sociétés secrètes ?
- Interview : « Les
sociétés secrètes n’ont plus rien à cacher » de Jean-Pierre Brach
- Muséologies
-
Prenez soin de vous : archéologie du soin et de la santé
-
Le hasard de A à Z
-
Piercing
-
AlUla, merveille d’Arabie
-
Tolkien, voyage en Terre du Milieu
- Livres
& Idées
-
Actuel Moyen-âge
-
Urbex RDA
-
Voyager dans l’invisible
-
L’empire islamique
-
Générations historiennes
-
L’Amérique fantôme
-
César contre Vercingétorix
-
Histoire universelle de la connerie
Mon
avis : A priori, tous les éléments
étaient réunis pour faire de ce premier numéro de l’année des Cahiers de Science & Vie – en fait,
il est paru en décembre mais ce n’est pas très important – une réussite, a
défaut, bien entendu, d’être un incontournable : il faut dire que, sans
être original, la thématique des sociétés secrètes, a toujours attiré le grand
public, plus particulièrement depuis quelques années et l’importance prise par
internet dans nos sociétés où les théories les plus fumeuses pour ne pas dire
farfelues circulent bien plus rapidement que jadis. Or, malgré une thématique
intéressante, une couverture sobre mais efficace et, ma foi, une partie
actualité plus réussie que d’habitude, force est de constater que ce numéro des
Cahiers est loin d’être aussi bon qu’on
pouvait l’escompter… La raison, en fait, est toute simple : un dossier
principal court, terriblement court, indiciblement court, ce qui fait que, par
la force des choses, celui-ci, dans les grandes lignes, ne fait que survoler la
plupart des sujets, allant pas au fond de ces derniers. Cela est bien évidement
un problème majeur car la problématique des sociétés secrètes, vieilles comme
le monde, finalement, méritait un traitement plus approfondi et non un survol
qui donne l’impression que tout cela a été fait à la va-vite… Mais bon, quelque
part, le mal est plus profond et n’est que la conséquence, qui dure depuis
quelques années désormais, de cette fichue nouvelle formule des Cahiers et de cette perte de place dut a
l’importance, souvent inutile, des parties actualité, muséologie et sorties littéraires.
Parfois, cela ne gène pas trop le dossier principal, dans le cas présent, force
est de constater qu’il en souffre énormément…
Points
Positifs :
- La
thématique même du dossier principal est, bien entendu, intéressante, ce, pour
deux raisons : bien entendu, parce que les sociétés secrètes sont
captivantes et intéressent le grand public, ensuite, pour la simple et bonne
raison que, depuis l’importance prise par internet, celles-ci n’ont jamais été
autant a la mode.
-
Si vous êtes un parfait néophyte sur ce sujet, alors, ce dossier pourra, éventuellement,
vous convenir et représenter une bonne entrée en matière pour l’approfondir par
ailleurs.
-
Une partie actualité un poil plus intéressante que d’habitude.
Points
Négatifs :
-
Un dossier principal beaucoup trop court, surtout au vu de la richesse de sa
thématique. Du coup, le cas des sociétés secrètes, nombreuses et variées au fil
de l’histoire, sont trop rapidement survolées et on a plus l’impression d’avoir
affaire à un rapide résumé qu’a un dossier digne de ce nom…
-
Après tant d’années, peut-on encore parler de nouvelle formule ? Personnellement,
je ne le pense pas, cependant, depuis ce choix éditorial oh combien discutable,
force est de constater que la qualité d’ensemble de cette revue a nettement
baissée et ce numéro en est l’une des preuves les plus évidentes.
-
Les parties muséologie et sortie littéraires m’intéressent tellement que je ne
les lis même pas !
Ma
note : 6,5/10
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