Il n’y a pas que les vieux magazines dans la vie, il y a également les récents, et le dernier en date que je me suis procurer, il y a tout juste quelques jours et que j’ai tout bonnement dévoré, était consacré a l’une des plus grandes figures de l’histoire de l’humanité, probablement le plus grand conquérant de tous les temps, Alexandre le Grand :
Les Cahiers de Science & Vie : Alexandre le Grand, au delà du mythe
N° 122, Avril, Mai 2011
Au sommaire :
Alexandre le Grand : Au-delà du mythe
- La Macédoine se découvre
- Alexandre, la conquête de l'imaginaire
- Interview de Pierre Briant : « Alexandre le Grand sert de miroir à l'identité européenne »
La conquête d'Alexandre
- La Grèce au IVème siècle av J-C. L'harmonie derrière la discorde
- L'ascension d'une puissance
- Le rêve d'un empire universel
- Chevauchée vers l'infini
- Alexandre, un conquérant féru de sciences ?
- A la rencontre de la puissance Perse
- L'irrésistible armée d'Alexandre
L'empire d'Alexandre
- Dans les habits du roi perse
- Un commerce tourné vers la guerre
- Le grec gagne le monde connu
Les royaumes hellénistiques
- Une succession mal engagée
- Culture grecque en terre orientale
- Alexandrie, la cité qui éclairait le monde
- La bibliothèque d'Alexandrie, cité des savants
Forcement, vu ma passion depuis des années pour cet homme – si mon fils ainé s’appelle Alexandre, c’est qu’il y a une raison a cela - qui, dans l’antiquité et en quelques années à peine, réussi à conquérir l’intégralité de l’immense Empire Perse et a parvenir jusqu’aux limites du monde connu – par les grecs – d’alors, c'est-à-dire, a aller jusqu’aux rives de l’Indus, un tel numéro spécial ne pouvait que me passionner. Bien évidement, rien d’original a première vue ; après tout, comme avec les énigmes dans mon article précédent, des magazines, des reportages, des livres, que sais-je, des films même sur Alexandre, il en existe des tonnes et tout a été dit et redit sur le sujet depuis belle lurette. D’ailleurs, ce fut un peu ma première impression en le découvrant chez mon marchand de journaux : « a quoi bon puisque je connais tout sur Alexandre le Grand ? ». Sauf que, premièrement, on ne sait jamais tout sur un sujet, et sur ce point, je n’ai nullement la science infuse ; ensuite, en feuilletant ce numéro des Cahiers de Science & Vie, je me suis vite rendu compte que celui-ci méritait amplement son achat.
Et je ne me suis pas tromper. En toute sincérité, cela faisait bien longtemps que je n’achetais pas une revue aussi intéressante, qui m’aura autant passionné et que j’aurai lu de bout en bout a une rapidité record ; qui plus est, sur un sujet maintes fois abordés, faut-il le rappeler. Car, ce qui marque rapidement le lecteur, c’est la très grande qualité des articles proposés, et, surtout, le fait qu’ils soient complets, en tout cas, bien plus qu’en temps normal. Ainsi, cette fois ci, plutôt que de suivre bêtement les traces du conquérant (chose passionnante en soit mais connue), les auteurs de ce numéro des Cahiers de Science & Vie nous entrainent dans des sujets parallèles, peu abordés en temps normal, mais qui méritent amplement leur présence car primordiaux : en effet, quel plaisir de revenir sur l’affaiblissement – pour cause de conflits – des citées états grecques et sur la montée de la puissance macédonienne – des grecs eux aussi et non des barbares – dont en apprend plus sur la culture, bien plus raffinée qu’on pouvait le penser jusqu'à alors. De même, la réhabilitation de Philippe II, le père d’Alexandre, véritable instigateur des conquêtes à venir et dont l’importance fut trop longtemps sous estimée est plutôt bienvenue. Comme de s’intéresser a la Perse en elle-même : son Empire, son souverain, Darius III, ses richesses et son mode de fonctionnement, repris par Alexandre lui-même, pour contrôler un territoire aussi vaste et des peuples aussi différents. Ainsi, avec ce numéro des Cahiers de Science & Vie, c’est presque une autre lecture de la courte et tumultueuse vie d’Alexandre le Grand qui nous est proposée, car si, bien évidement, l’on fait la part belle a celui-ci, a son génie, sa vision, son audace et son courage sans oublier son œuvre, c'est-à-dire ses conquêtes, tout bonnement stupéfiantes, le fait de pouvoir en apprendre davantage sur le monde d’alors – et pas uniquement Grec – les rapports entre les peuples, les conséquences de ces conquêtes, les relations entre frères ennemis grecs/perses mais aussi les apartés sur des figures peu abordées en temps normal comme Philipe II et Darius III font de ce numéro des Cahiers de Science & Vie un incontournable pour tout amateur d’histoire digne de ce nom.
Les Cahiers de Science & Vie : Alexandre le Grand, au delà du mythe
N° 122, Avril, Mai 2011
Au sommaire :
Alexandre le Grand : Au-delà du mythe
- La Macédoine se découvre
- Alexandre, la conquête de l'imaginaire
- Interview de Pierre Briant : « Alexandre le Grand sert de miroir à l'identité européenne »
La conquête d'Alexandre
- La Grèce au IVème siècle av J-C. L'harmonie derrière la discorde
- L'ascension d'une puissance
- Le rêve d'un empire universel
- Chevauchée vers l'infini
- Alexandre, un conquérant féru de sciences ?
- A la rencontre de la puissance Perse
- L'irrésistible armée d'Alexandre
L'empire d'Alexandre
- Dans les habits du roi perse
- Un commerce tourné vers la guerre
- Le grec gagne le monde connu
Les royaumes hellénistiques
- Une succession mal engagée
- Culture grecque en terre orientale
- Alexandrie, la cité qui éclairait le monde
- La bibliothèque d'Alexandrie, cité des savants
Forcement, vu ma passion depuis des années pour cet homme – si mon fils ainé s’appelle Alexandre, c’est qu’il y a une raison a cela - qui, dans l’antiquité et en quelques années à peine, réussi à conquérir l’intégralité de l’immense Empire Perse et a parvenir jusqu’aux limites du monde connu – par les grecs – d’alors, c'est-à-dire, a aller jusqu’aux rives de l’Indus, un tel numéro spécial ne pouvait que me passionner. Bien évidement, rien d’original a première vue ; après tout, comme avec les énigmes dans mon article précédent, des magazines, des reportages, des livres, que sais-je, des films même sur Alexandre, il en existe des tonnes et tout a été dit et redit sur le sujet depuis belle lurette. D’ailleurs, ce fut un peu ma première impression en le découvrant chez mon marchand de journaux : « a quoi bon puisque je connais tout sur Alexandre le Grand ? ». Sauf que, premièrement, on ne sait jamais tout sur un sujet, et sur ce point, je n’ai nullement la science infuse ; ensuite, en feuilletant ce numéro des Cahiers de Science & Vie, je me suis vite rendu compte que celui-ci méritait amplement son achat.
Et je ne me suis pas tromper. En toute sincérité, cela faisait bien longtemps que je n’achetais pas une revue aussi intéressante, qui m’aura autant passionné et que j’aurai lu de bout en bout a une rapidité record ; qui plus est, sur un sujet maintes fois abordés, faut-il le rappeler. Car, ce qui marque rapidement le lecteur, c’est la très grande qualité des articles proposés, et, surtout, le fait qu’ils soient complets, en tout cas, bien plus qu’en temps normal. Ainsi, cette fois ci, plutôt que de suivre bêtement les traces du conquérant (chose passionnante en soit mais connue), les auteurs de ce numéro des Cahiers de Science & Vie nous entrainent dans des sujets parallèles, peu abordés en temps normal, mais qui méritent amplement leur présence car primordiaux : en effet, quel plaisir de revenir sur l’affaiblissement – pour cause de conflits – des citées états grecques et sur la montée de la puissance macédonienne – des grecs eux aussi et non des barbares – dont en apprend plus sur la culture, bien plus raffinée qu’on pouvait le penser jusqu'à alors. De même, la réhabilitation de Philippe II, le père d’Alexandre, véritable instigateur des conquêtes à venir et dont l’importance fut trop longtemps sous estimée est plutôt bienvenue. Comme de s’intéresser a la Perse en elle-même : son Empire, son souverain, Darius III, ses richesses et son mode de fonctionnement, repris par Alexandre lui-même, pour contrôler un territoire aussi vaste et des peuples aussi différents. Ainsi, avec ce numéro des Cahiers de Science & Vie, c’est presque une autre lecture de la courte et tumultueuse vie d’Alexandre le Grand qui nous est proposée, car si, bien évidement, l’on fait la part belle a celui-ci, a son génie, sa vision, son audace et son courage sans oublier son œuvre, c'est-à-dire ses conquêtes, tout bonnement stupéfiantes, le fait de pouvoir en apprendre davantage sur le monde d’alors – et pas uniquement Grec – les rapports entre les peuples, les conséquences de ces conquêtes, les relations entre frères ennemis grecs/perses mais aussi les apartés sur des figures peu abordées en temps normal comme Philipe II et Darius III font de ce numéro des Cahiers de Science & Vie un incontournable pour tout amateur d’histoire digne de ce nom.
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