jeudi 16 janvier 2014

MOTORSTORM APOCALYPSE


MOTORSTORM APOCALYPSE

MotorStorm Apocalypse est un jeu de courses sur PS3. Participez à des chevauchées en pleine ville apocalyptique dont les pistes et le décor tout entier s'effondrent. Le tracé du circuit change et vous pouvez influer sur l'environnement aux travers de QTE. Affrontez une dizaine d'adversaire sur différents circuits en destruction.


MotorStorm Apocalypse
Éditeur : Sony Computer Entertainment
Développeur : Evolution Studios
Concepteur : Paul Rustchynsky, Si Barlow
Date de sortie : 16 mars 2011
Pays d’origine : Royaume-Uni
Genre : Jeu de course arcade
Mode de jeu : Solo, Multijoueur hors-ligne (4 joueurs), en ligne (16 joueurs)
Média : Blu-Ray
Contrôle : Manette
Plate-forme : PlayStation 3

Mon avis : Il y a de cela environ un an, a quelques semaines prêt, je vous avais proposé sur ce même blog la critique d’un jeu de course d’arcade pour le moins excellent, MotorStorm Pacific Rift ; prenant place sur une ile du Pacifique, les divers circuits, liés aux quatre éléments, nous permettaient, que ce soit en solo ou à plusieurs, de vivre des courses pour le moins trépidantes, nerveuses et pour le moins accidentées, et ce, dans des décors souvent grandioses. Curieusement, après y avoir joué pas mal en début d’année 2013, j’avais un peu mis ce soft de côté pour m’y replonger franchement depuis le mois de novembre, en particulier grâce à mon fils cadet qui est, depuis, devenu un véritable fan… en plus d’etre plutôt excellent d’ailleurs au volant des divers bolides du jeu. Du coup, estimant avoir fait plus ou moins le tour de Pacific Rift (surtout que personnellement, les jeux de courses, ce n’est pas vraiment ma tasse de thé), en apprenant que celui-ci avait connu une suite, MotorStorm Apocalypse, je me suis empressé de me le procurer pour ce Noël, et, ma foi, je n’ai pas vraiment été déçu. Oh, certes, si je devrais comparer les deux MotorStorm, je pense ne pas me tromper en affirmant que Pacific Rift a encore ma préférence, cependant, même si l’effet de surprise n’est plus vraiment là, même si Evolution Studios a surtout repris les bonnes vieilles recettes pour nous offrir ce nouvel opus, même si l’on peut regretter ces spectaculaires courses ouvertes en pleine nature, comment ne pas reconnaitre que ce MotorStorm Apocalypse (sortit en pleine période pré-fin du monde, il était normal qu’il se nomme ainsi), s’il n’apporte pas grand-chose de nouveau à un concept sans surprise n’en reste pas moins un sacré bon jeu, aux courses toujours aussi trépidantes et rythmées et ce, dans des environnements certes urbains mais néanmoins parfaitement réussis. Bref, une suite sans véritable surprises, certes, mais qui n’enlève en rien la qualité d’une franchise qui ne peut que ravir les amateurs de courses d’arcade complètement déjantées.


Points Positifs :
- Son prédécesseur, MotorStorm Pacific Rift avait déjà placé la barre plutôt haute, et ici, si on ne peut pas parler véritablement de bon en avant flagrant pour ce qui est des graphismes, on note tout de même un effort quant aux couleurs, plus chatoyantes, ainsi que sur les circuits qui débordent de détails.
- Les circuits qui changent au gré des destructions qui surviennent au fil des tours.
- La possibilité d’affronter seize adversaires en mode solo.
- Le choix de véhicules, même s’il existe bien mieux par ailleurs.
- Le coté fun de la chose : c’est de l’arcade pure et dure et franchement, si on accroche au concept, c’est un régal.

Points Négatifs :
- Hélas, ici, on n’a droit qu’à des circuits en ville et pour un amoureux des grands espaces comme moi, c’est plutôt une mauvaise nouvelle.
- Le mode Histoire ne m’a guère passionné, mais bon, c’est souvent le cas avec ce genre de jeux, bien plus prenants dans les courses simples, surtout si on joue a plusieurs.
- Oui c’est plus beau, oui c’est plus coloré mais curieusement, par moments, je trouve que certaines portions de circuits sont un peu trop flashies ?! Probablement une affaire de gouts personnels.
- Peu de nouveautés finalement : on se contente juste de reprendre une recette qui marche, mais bon, dans le fond, qui s’en plaindra ?

Ma note : 7,5/10

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