On dit que nous perdons tous
Il y a tout juste deux ans – a quelques jours prêts – j’avais découvert un film, Babel, et un réalisateur, Alejandro González Inárritu, que j’avais alors bien apprécier, même si, pour être tout a fait franc, mon état de forme ce soir la (et oui, j’étais tomber dans les bras de Morphée a un moment donné du film, ce qui fait que les dernières minutes avaient été un peu obscures pour moi), avait fait qu’il m’avait fallut un second visionnage de cette œuvre pour en apprécier toute la qualité. Et puisque je parle de qualité, force est de constater que ce Babel, œuvre atypique (c'est-à-dire, complètement en dehors des sentiers battus des canons hollywoodiens) avec ses multiples destins croisés de ces personnages, aux quatre coins du monde, sans rapport apparent entre eux et que l’on suivait tout le long de l’intrigue (bref, tout pour ne pas plaire au grand public qui préfère ne pas réfléchir devant un énième film d’action sans intérêt), bref, quand je parle de qualité, force est de constater que cette œuvre en était plus que pourvue et que tous ceux qui l’avaient apprécier, ne peuvent qu’en garder un excellent souvenir.
Ainsi donc, lorsqu’hier soir, ma chaine préférée – ARTE mon amie – proposa une autre œuvre du sieur Alejandro González Inárritu (ouf, heureusement que le copié/collé existe !), je veux bien évidement parler de
Et les débuts de ce
Et tandis que certains auront vite abandonné la partie pour retourner a Secret Story, je me suis accrocher, je me suis battu et puis, tout simplement – car le film est ainsi – petit a petit, les pièces de cet indicible puzzle se mettent en place, on commence à comprendre qui a fait quoi et avec qui et surtout, quand, et la, tel Newton regardant une pomme tomber, l’illumination nous vient, notre esprit littéralement perdu jusque la s’éclaire subitement et ces simples mots s’échappent de nos lèvres : « ah ouais ! ». Et bah oui, on commence à voir où ce diable d’Alejandro González Inárritu veut en venir, l’intrigue, subitement, devint claire comme une eau de roche et les tenants et les aboutissements ne sont plus un secret mystérieux enfouis dans le cerveau du réalisateur. Et sincèrement, arrivé à ce moment précis du film, je ne peux que dire : « génial », tout bonnement. Car oui, Inárritu m’aura fait baver mais que ce fut bon car tout le plaisir, en dehors d’une histoire, touchante, dramatique et finalement sans grand espoir pour ses protagonistes, toute pleine de rédemption avortée, d’espoirs déçus, de drames horribles et d’acteurs que l’on ne peut que qualifier, tout bonnement, d’inspirés, que ce soit Sean Penn (normal, la classe), Benicio Del Toro (logique), Naomi Watts (idem) et même Charlotte Gainsbourg (et oui), bref, tout le plaisir repose surtout sur la compréhension, que dis-je, la résolution de ce fameux puzzle, lorsqu’enfin, toutes les pièces sont mises bout et a bout et que l’on se dit, finalement : « ah oui, c’est pour ca qu’a un moment, il y avait ca… et qu’après etc. ». Et franchement, a ce moment là, on ne peut que reconnaître que Alejandro González Inárritu est tout de même un sacré bon réalisateur et que ce
2 commentaires:
Essaie de voir Amours Chiennes du même réalisateur, tu ne seras pas déçu.
Karim
Il est commander depuis hier, j’espère le recevoir bientôt !
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