CHARLIE ET LA CHOCOLATERIE
Charlie est un enfant issu d'une famille pauvre. Travaillant pour subvenir aux besoins des siens, il doit économiser chaque penny, et ne peut s'offrir les friandises dont raffolent les enfants de son âge. Pour obtenir son comptant de sucreries, il participe à un concours organisé par l'inquiétant Willy Wonka, le propriétaire de la fabrique de chocolat de la ville. Celui qui découvrira l'un des cinq tickets d'or que Wonka a caché dans les barres de chocolat de sa fabrication gagnera une vie de sucreries.
« Charlie et la chocolaterie » est l'adaptation cinématographique du classique de la littérature enfantine « Charlie and the Chocolate Factory », écrit en 1964 par Roald Dahl et qui se vendit à plus de 13 millions d'exemplaires à travers le monde et qui fut traduit dans pas moins de 32 langues. Cependant, l’adaptation de Tim Burton n’est que le remake d’une première version, datant elle de 1971 et qui n’a pas à rougir de celle qui nous occupe aujourd’hui : j’eu l’occasion de la voir l’année dernière, sensiblement à la même époque, et, franchement, j’avoue avoir été agréablement surpris. Certes, un « Burton » avec son alter ego, Johnny Depp et sa compagne, la belle Helena Bonham Carter, cela ne se refuse pas. Cependant, cela suffit il à en faire un film inoubliable ? Pas forcement comme nous allons le voir.
« Charlie et la chocolaterie » semblait être fait pour Tim Burton au moins autant que celui-ci était fait pour cette œuvre ; la logique voulait que tôt ou tard, le réalisateur s’atèle à sa réalisation et c’est ce qui arriva. De même, Johnny Depp était fait pour jouer le rôle de l’ambigu Willy Wonka, à qui il sut insufflé un coté plutôt inquiétant par moments, voir pas vraiment sain d’esprit, tout en le rendant plus humain en de certaines occasions. Alors, certes, nous nous retrouvons devant un merveilleux conte, qui plaira autant aux petits comme aux grands (ce qui n’est pas plus mal pour le regarder en famille) et dont l’univers féerique est fort bien retranscris mais, on ne m’enlèvera pas de l’esprit que je trouve Tim Burton plus à l’aise devant des œuvres plus « sombres » comme avaient pu l’être « Sleepy Hollow », « Les Noces Funèbres » ou « Edward aux mains d’argent ». En particulier celui-ci, aux décors tout autant « colorés » que « Charlie », mais dont émanait une certaine tristesse quasiment absente de ce dernier. En effet, dans « Charlie et la chocolaterie », nous nous retrouvons dans un univers bien plus gai et malicieux, où les « méchants » caricaturés au possible, disparaîtrons les uns après les autres au fil d’une logique implacable et sans surprise. Mais bon, malgré ce fait, propre à l’histoire en elle-même, nous nous trouvons néanmoins devant un bon film, aux décors réussis et qui, même si des le départ on sait pertinemment que ce brave Charlie sera le vainqueur du concours organiser par le mystérieux Willy Wonka, n’en est pas moins captivant. Certes, l’atmosphère est insouciante, voir enfantine, mais cela ne gâche pas forcement le plaisir du spectateur. Et puis, rien que pour la performance (habituelle devrais je rajouter) de Johnny Depp, pourquoi s’en priver. Alors, même si comme moi, vous préférez des ambiances plus sombres et inquiétantes, ne passez pas à coté de ce « Charlie » qui n’en ai pas moins enchanteur et vous fera passer un agréable moment.
Charlie est un enfant issu d'une famille pauvre. Travaillant pour subvenir aux besoins des siens, il doit économiser chaque penny, et ne peut s'offrir les friandises dont raffolent les enfants de son âge. Pour obtenir son comptant de sucreries, il participe à un concours organisé par l'inquiétant Willy Wonka, le propriétaire de la fabrique de chocolat de la ville. Celui qui découvrira l'un des cinq tickets d'or que Wonka a caché dans les barres de chocolat de sa fabrication gagnera une vie de sucreries.
« Charlie et la chocolaterie » est l'adaptation cinématographique du classique de la littérature enfantine « Charlie and the Chocolate Factory », écrit en 1964 par Roald Dahl et qui se vendit à plus de 13 millions d'exemplaires à travers le monde et qui fut traduit dans pas moins de 32 langues. Cependant, l’adaptation de Tim Burton n’est que le remake d’une première version, datant elle de 1971 et qui n’a pas à rougir de celle qui nous occupe aujourd’hui : j’eu l’occasion de la voir l’année dernière, sensiblement à la même époque, et, franchement, j’avoue avoir été agréablement surpris. Certes, un « Burton » avec son alter ego, Johnny Depp et sa compagne, la belle Helena Bonham Carter, cela ne se refuse pas. Cependant, cela suffit il à en faire un film inoubliable ? Pas forcement comme nous allons le voir.
« Charlie et la chocolaterie » semblait être fait pour Tim Burton au moins autant que celui-ci était fait pour cette œuvre ; la logique voulait que tôt ou tard, le réalisateur s’atèle à sa réalisation et c’est ce qui arriva. De même, Johnny Depp était fait pour jouer le rôle de l’ambigu Willy Wonka, à qui il sut insufflé un coté plutôt inquiétant par moments, voir pas vraiment sain d’esprit, tout en le rendant plus humain en de certaines occasions. Alors, certes, nous nous retrouvons devant un merveilleux conte, qui plaira autant aux petits comme aux grands (ce qui n’est pas plus mal pour le regarder en famille) et dont l’univers féerique est fort bien retranscris mais, on ne m’enlèvera pas de l’esprit que je trouve Tim Burton plus à l’aise devant des œuvres plus « sombres » comme avaient pu l’être « Sleepy Hollow », « Les Noces Funèbres » ou « Edward aux mains d’argent ». En particulier celui-ci, aux décors tout autant « colorés » que « Charlie », mais dont émanait une certaine tristesse quasiment absente de ce dernier. En effet, dans « Charlie et la chocolaterie », nous nous retrouvons dans un univers bien plus gai et malicieux, où les « méchants » caricaturés au possible, disparaîtrons les uns après les autres au fil d’une logique implacable et sans surprise. Mais bon, malgré ce fait, propre à l’histoire en elle-même, nous nous trouvons néanmoins devant un bon film, aux décors réussis et qui, même si des le départ on sait pertinemment que ce brave Charlie sera le vainqueur du concours organiser par le mystérieux Willy Wonka, n’en est pas moins captivant. Certes, l’atmosphère est insouciante, voir enfantine, mais cela ne gâche pas forcement le plaisir du spectateur. Et puis, rien que pour la performance (habituelle devrais je rajouter) de Johnny Depp, pourquoi s’en priver. Alors, même si comme moi, vous préférez des ambiances plus sombres et inquiétantes, ne passez pas à coté de ce « Charlie » qui n’en ai pas moins enchanteur et vous fera passer un agréable moment.
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