Incroyable,
fantastique, merveilleux ! Alors que je n’y croyais plus depuis des
lustres, voici que j’ai finalement finis par achever la lecture du
cent-trente-deuxième numéro des Cahiers
de Science & Vie ; pourtant, que ce fut dur, mais alors, très dur…
Déjà, il faut dire que je ne m’attendais pas à vous en parler avant la nouvelle
année, après tout, ne vous avais-je pas dit, lors de mon billet consacré à Ça
m’Intéresse Histoire, il y a quelques jours à peine, que celui-ci serait
le dernier de la catégorie Presse
pour cette année 2012 ? Et puis, finalement, hier soir, pris d’un coup de
folie, je me suis décidé, une bonne fois pour toutes, a en finir avec ce numéro
sur lequel je bloquais depuis… oh, septembre dernier – et oui, alors qu’en
2012, les Cahiers de Science & Vie,
anciens comme nouveaux numéros, avaient tenus la dragée haute à tous les autres
magazines, la dernière fois dont je vous avais parler de ce magazine, datait de…
début
aout dernier ! Bref, une éternité ! Enfin bon, tout cela pour
vous dire que ce numéro des Cahiers m’aura
donné bien du fil a retorde, mais avant de vous dire ce que j’en ai pensé,
place au sommaire :
Les Cahiers de Science
& Vie n°132 : L'homme et la machine
Septembre/Octobre
2012
L'homme et la machine
-
Cadrage : Réanimer des mécanismes oubliés.
-
Interview : « La guerre
et le jeu ont inspiré les inventeurs à travers les époques » de Bruno
Jacomy
I - La machine prolonge
le corps
-
Et l'homme inventa la machine
-
Premières technologies
-
Mésopotamie. Des ingénieurs inventifs et dynamiques.
-
Egypte. Les techniciens du beau.
-
Indus. Les maîtres de l'urbanisme.
-
Génie grec, pragmatisme romain
-
La Chine, à la source des innovations
II - Vers les machines
modernes
-
Le monde arabo-musulman
-
La mécanique au rang de science.
-
Europe médiévale
-
Les prémices d'une révolution.
-
Renaissance
-
L'ingénieur, théoricien de la modernité.
-
Age classique
-
La machine de Marly.
-
Révolution industrielle
-
Transport vers l'ère moderne.
III - La machine
prolonge l'esprit
-
Alan Turing : le concept de machine universelle
-
De la machine à penser à l'ordinateur
-
L'homme artificiel, la quête de la machine idéale
-
Musée imaginaire
-
Les automates ou la mécanique du merveilleux.
IV - D'hier à
aujourd'hui
-
La machine affranchit-elle l'homme de l'évolution ?
-
Quand l'homme et la machine ne font plus qu'un
-
Crimes et chiffrement
-
Interview : « L'ordinateur
exprime la spécificité de l'homme : jouer avec les symboles » de
Jean-Michel Salanskis
L’on
aurait pu penser que si j’ai pris quatre mois pour achever ce numéro des Cahiers de Science & Vie, c’est que
le sujet de celui-ci ne me plaisait pas, or, si je dois reconnaitre que l’évolution
des machines dans l’histoire humaine n’avait pas de quoi me faire sauter au
plafond, j’étais tout de même curieux d’en apprendre davantage sur la chose.
Pourtant, comme vous l’avez compris, que ce fut dur… au début, pendant les
premières semaines après l’achat de ce numéro, j’ai essayé et réessayer en recommençant
à chaque fois la lecture de celui-ci, avant de, finalement, laisser tomber en
me disant que je le lirais bien un jour ou l’autre ; mais le problème, c’est
que, pendant que les mois s’écoulaient, d’autres numéros des Cahiers paraissaient en kiosque et que, à
un moment donné, je me suis retrouver avec trois d’entre eux à lire, pendant
que d’autres revues, elles, aussitôt elles étaient achetées, aussitôt elles
étaient lues avec passion. Bref, je commençais à me dire que j’avais un
problème avec les Cahiers de Science
& Vie, alors que, jusque-là, tout baignait, ou presque.
Et
puis, finalement, ces derniers jours, je me suis relancé pour de bon dans ce
cent-trente-deuxième numéro, quitte à me forcer, comme je l’ai fait hier, car
oui, et je regrette de dire cela : je n’en ai pas tiré un grand plaisir. Sincèrement,
le premier tiers du dossier, consacré à la préhistoire et l’antiquité valait le
coup ; de même, la partie sur le moyen-âge n’était pas inintéressante,
mais déjà, la renaissance m’a paru trop courte, mais alors, la révolution
industrielle, son traitement fut une véritable honte tant elle fut
rapidement expédié. Et tout cela pour quoi ? Pour se taper un gros tiers
de la revue consacré à l’ordinateur dans tous ses états : origines,
spéculations à son sujet, historique en long et en large, internet, avenir de celui-ci
etc. Alors certes, je ne dis pas que ce n’est pas inintéressant, mais à un
moment donné, l’histoire des machines, ce n’est pas que l’ordinateur ou je me
trompe ? Et puis, déjà que ça me gonflait un peu, voilà qu’en plus c’était
écrit dans un jargon pour initiés, histoire de me décourager davantage.
Dommage,
oui, dommage car finalement, tout n’était pas à jeter dans ce numéro des Cahiers de Science & Vie : le
premier tiers de la revue, la partie consacrée aux automates, et celle,
spéculative, sur l’intelligence artificielle. Par contre, comment accorder une
telle place à l’ordinateur au détriment de la révolution industrielle, aux
machines à vapeur, aux débuts de l’électricité etc., pour moi, une faute
impardonnable. Oui, dommage pour une revue que j’adore sincèrement, au point
que je la considère comme ma préférée, et qui, jusqu’à maintenant, ne m’avait
jamais déçu ; espérons juste que les deux autres numéros que j’ai en
réserve soient d’un autre acabit !?
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