jeudi 25 février 2010

FIFA 99


FIFA 99

Que de souvenirs, mais que de souvenirs avec ce Fifa 99, tout bonnement, à mes yeux, mon jeu de foot préféré de tous les temps, même si une dizaine d’années se sont écoulées depuis sa sortie et que, d’un point de vue des graphismes (pour ne citer que le plus apparent), il est obsolète depuis des lustres. Mais sincèrement, et en avouant que je n’y joue plus depuis belle lurette (hum, de mémoire, je me suis fais quelques matchs pour rigoler à l’été 2008), jamais je n’oublierais le plaisir ressenti avec ce jeu, toutes les parties endiablées que j’ai put y faire, seul ou avec mon frère, et ses qualités, que, personnellement, je n’ai quasiment plus jamais retrouver par la suite dans un jeu de foot. Mes propos semblent forts, exagérés ? Probablement aux yeux de la majorité d’entre vous. Pourtant, je suis persuader que les vieux romantiques, ceux qui, un jour, auront été émerveiller par un (ou plusieurs, peut importe) jeu, comprendront les sentiments qui m’habitent au moment où j’écris ces quelques lignes. Mais si la nostalgie peut se comprendre, pourquoi donc ais-je dis, un peu plus haut, que je n’ai plus retrouver les qualités de Fifa 99 dans ses suivants ? En fait, c’est assez simple.

Tous ceux qui joue au foot pour les équipes nationales ou uniquement pour pouvoir jouer avec les grosses écuries européennes (genre Real, Milan, Manchester etc.) se moqueront littéralement de ce qui m’a toujours préoccuper (et m’inquiète encore) lors de l’achat d’un jeu de foot : la présence d’un maximum de clubs de tous les pays européens, comme les habituels grands absents des divers Fifa et autre PES, les Etoile Rouge de Belgrade, le Dynamo de Kiev, le Steua de Bucarest, pour ne citer que les plus connus, mais aussi les représentants hongrois, bulgares, russes etc. Soit on en a quelques uns (au mieux), soit personne, ce qui est plus que contestable au plus haut point pour les amoureux fous des Coupes d’Europe. Personnellement, j’en fais partis, d’où mon habituelle colère. Dans l’édition 99 de Fifa, donc, pas de soucis, il y a de quoi faire avec bon nombre de clubs, d’où la possibilité (et c’est la que pour moi, cela devient important) de faire des tournois dignes des Coupes d’Europe d’antan, où les clubs de l’est sont présent, plutôt que la quatrième division anglaise dont je me fiche royalement. Personnellement, un seul autre jeu fais mieux (parmi tous ceux que j’ai put essayer), le très contester Monde des bleus, que je m’étais uniquement procuré a l’époque pour cela (mais c’est vrai que la, j’étais plus que gâté, Fifa 99 étant reléguer très loin derrière). Alors cela peut paraître futile, pourtant, des le Fifa suivant, le 2000 donc, les choses s’étaient gâtés, au point que les versions modernes soient tout simplement limitées de ce coté là. Un jour, il faudrait que je pense a demander aux tètes pensantes d’Electronic Arts pourquoi les clubs de l’est n’ont pas leur place dans leur saga phare (mais bon, du coté de PES, c’est guère mieux sauf exception). Enfin bon…

Du coup, reste les souvenirs, tout bonnement excellents des tournois de l’époque ; d’ailleurs, ce qu’il restera de Fifa 99, personnellement, c’est la constatation suivante : « le foot, c’est un jeu où le Milan AC gagne à la fin », phrase bien évidement tirée de Gary Lineker et de son célèbre « Le foot, c’est un jeu où l’Allemagne gagne à la fin ». Toujours ! Des tournois dont j’avais noté les matchs et dont je me suis replongé ces derniers temps, au point que l’envie de remettre tout cela au propre (informatiquement, voir sur un nouveau blog ?) me vienne petit à petit. Mais bon, ceci est une autre histoire.

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