LES
CAHIERS DE SCIENCE & VIE 194 – LA VALLÉE DES ROIS RESSUSCITÉE
Septembre/Octobre
2020
Au
sommaire :
- Édito :
Dans la vallée des mystères
- Actualités
-
Por-Bajin, site le plus mystérieux de Russie se dévoile
-
Le mythe des Amazones prend à nouveau corps
-
Les Rouleaux de la Mer Morte passés à l’ADN
-
Une figurine d’oiseau témoigne des origines de la sculpture en Chine
-
Trésor et soins du corps
-
Des peintures Mayas réalisées pendant l’époque coloniale
-
Le Vésuve, un tueur aux multiples techniques
-
Les Kofun, clés du Japon pro-impérial
- Dossier :
La Vallée des Rois Ressuscitée
-
Cadrage
-
Des secrets qui tombent
-
La vie dans la Cité des Morts
-
Un village d’artiste au service des tombes royales
-
Le chantier de toute une vie
-
Au cœur des plus beaux tombeaux
-
Embaumement : l’art de traverser les siècles
-
Des momies et des noms
-
La mort de la nécropole
-
Les aventuriers de la Vallée perdue
-
TT320, la royale surprise
-
Des merveilles encore à venir
-
Toutankhamon, l’éternel recommencement
- Interview : « Et
si l’on donnait à la Vallée des Rois sa physionomie antique ? » de
Christian Leblanc
- Muséologies
-
Les trésors cachés du Musée Guimet
-
Le Louvre pour tous
-
Fantastique Fantasy
- Livres
& Idées
-
Apprendre, archéologie de la transmission des savoirs
-
Les maitresses du Roi
Mon
avis : Après un cent-quatre-vingt-treizième
numéro qui m’avait franchement enthousiasmer – il faut dire que son dossier
principal, traitant des diverses fins du monde, me plaisait fortement – je dois
reconnaitre que ce fut avec un certain scepticisme que je me suis procurer son prédécesseur,
paru dans les kiosques a la fin de l’été et dont je n’ai achever la lecture qu’il
y a quelques jours à peine… Il faut dire que, en découvrant la couverture et, donc,
le sujet de son dossier principal, la première chose que je me suis dit, ce fut :
oh non, encore ! D’ailleurs, je ne vais pas vous mentir, pour la toute première
fois depuis des années, j’ai hésiter à me procurer ce numéro des Cahiers de Science & Vie car bon,
comment dire… l’Egypte antique, les Pharaons, les Pyramides, les Momies, eh
bien, c’est du vu et du revu et que cela fait longtemps, très longtemps même,
que le sujet m’a lasser et me laisse pour le moins froid. Cependant, même si j’ai
pester, pour la énième fois, quand au fait que, décidément, la presse
spécialisée a bien du mal a nous proposer des sujets vraiment originaux, ma collectionnite
aigue a frapper et je me suis tout de même procurer cette revue… Ainsi, sans
grand enthousiasme, sans envie et en prenant tout mon temps, j’ai finit par
lire celle-ci, chapitre après chapitre, semaine après semaine et, au final, je
me suis dit deux choses : objectivement, le dossier est bon, intéressant,
bien écrit, deuxièmement, si vous connaissez un tant sois peu le sujet, vous
pouvez passer votre chemin ! J’exagère ? Sincèrement, pas le moins du
monde alors, si vous êtes un néophyte de l’Egypte antique, le jeu en vaut la
chandelle, si ce n’est pas le cas, eh bien, patientez donc jusqu’au prochain
numéro des Cahiers qui sera, j’en
suis persuader, nettement plus original !
Points
Positifs :
- Malgré
le manque total d’originalité du dossier principal, force est de constater que
celui-ci n’en reste pas moins plutôt intéressant et franchement instructif.
Bien évidement, celui-ci est à réserver, principalement, à celles et ceux qui connaissent
mal voir pas du tout l’Egypte antique, mais, si c’est le cas, n’hésitez pas une
seconde, le jeu en vaut la chandelle.
-
Il faut reconnaitre que si l’on connait fort bien les Pyramides, c’est un peu
moins le cas pour ce qui est de la Vallée des Rois et que, ma foi, l’ensemble n’est
pas inintéressant.
-
Comme c’est toujours le cas avec les Cahiers,
l’ensemble est bien écrit et suffisamment clair pour ravir le grand public.
-
Des illustrations nombreuses et de qualité.
Points
Négatifs :
-
Un manque total d’originalité ! Je suis désolé mais bon, au bout d’un
moment, la civilisation Egyptienne, c’est du vu et du revu et, a moins d’être
un parfait néophyte, comment ne pas ressentir comme un certain sentiment de
déjà-vu en parcourant les pages de cette revue ?
-
Il y a vraiment de quoi s’énerver, par moments, devant le manque de risque pris
par la presse spécialisée : n’y a-t-il pas d’autres civilisations antiques
dont on pourrait nous parler ?!
-
Une partie actualité loin d’être enthousiasmante quand a celles consacrées aux
musés ou aux sorties littéraires, disons qu’elles font plus remplissage qu’autre
chose…
Ma
note : 6,5/10
VINLAND
SAGA – TOME 18
Thorfinn
se réveille après un épouvantable cauchemar. Einar lui apprend alors qu’il a
dormi une journée entière depuis son duel contre Hild et que cette dernière
avait menti à propos du poison. Seulement, Thorfinn a de grosses blessures et
sa jambe est brisée. Le groupe ne pourra donc pas repartir avant le printemps.
Thorfinn s’excuse mais, à sa grande surprise, ce n’est pas pour cela qu’Einar
lui en veut. En fait, ce qui a vraiment énervé Einar, c’est que Thorfinn
renonce à vivre au moment où Hild allait lui porter le coup de grâce. Thorfinn en
a autant à son propos quand il est intervenu pour le sauver. Ils se
réconcilient, sans de douter des ennuis qu’ils auront en reprenant la mer...
Vinland Saga – Tome 18
Scénariste
: Makoto
Yukimura
Dessinateur : Makoto
Yukimura
Genre : Seinen
Type
d'ouvrage : Aventure, Historique
Titre
en vo : Vinland Saga vol.18
Parution
en vo : 23 août 2016
Parution
en vf : 14 septembre 2017
Langue
d'origine : Japonais
Éditeur : Kurokawa
Nombre
de pages : 213
Mon
avis : Après l’entrée en matière pour le
moins tonitruante de la redoutable Hild qui, finalement, aura décider de
laisser la vie sauve à Thorfinn et de suivre ce dernier, repoussant sa
vengeance à plus tard, comme on avait put le voir dans le tome
précédent, Vinland
Saga, œuvre de Makoto Yukimura revient avec un dix-huitième volume qui,
sans être exceptionnel, n’en confirme pas moins tout le bien que l’on peut
penser de ce manga et, surtout, maintient l’intérêt du lecteur à un niveau que
l’on peut qualifier d’élever. Il faut dire que ce nouveau tome, en apparence
plus calme que ses prédécesseurs, n’en reste pas moins tout aussi bon, ce, pour
de multiples raisons : ainsi, c’est dans celui-ci que nous retrouvons,
avec plaisir, de vieilles connaissances comme Thorkell et Floki, le premier
étant toujours aussi fantasque, ensuite, le retour de ces deux protagonistes
annoncent de nouveaux enjeux à venir, enjeux que l’on peut qualifier de, pour
le moins, innatendu – après tout, qui aurait put croire que Thorfinn allait
être mêler à une lutte de succession ? – pour finir, l’humour, déjà
présent dans certains volumes précédents, fait un retour plutôt fracassant sans
que celui-ci ne nuise à l’ensemble, ce qui, ma foi, est plutôt une bonne chose.
Bref, un beau petit mélange qui fonctionne à merveille dans ce dix-huitième
tome de Vinland Saga, de nouveaux
enjeux et des protagonistes toujours aussi attachants fait que, dès que l’on
parvient à la fin, on a qu’une seule envie : découvrir la suite, bien sur !
Points
Positifs :
-
Un tome plutôt innatendu puisque, entre le retour de vieilles connaissances et
un scénario qui commence à prendre une drôle de tournure au vu des nouveaux
enjeux en court, il y a de quoi ravir les fans du manga qui, une fois de plus,
seront captiver par la tournure prise par le scénario du sieur Makoto Yukimura.
-
L’humour est pour le moins omniprésent dans ce dix-huitième volume, cependant,
malgré bon nombre de situations pour le moins coquasses – Gudrid, Gros-Yeux et Thorkell
y sont, naturellement, pour beaucoup – force est de constater que celui-ci ne
nuit nullement à l’intrigue.
-
Comme je le souligne à chaque fois, une des grandes forces de Vinland
Saga, c’est, bien entendu, sa partie graphique : Makoto Yukimura est
un dessinateur fort talentueux qui nous livre, une fois de plus, des planches détaillées
pour ne pas dire magnifiques.
-
On sent le travail en amont de la part de l’auteur, ce qui renforce la
crédibilité de l’ensemble, ce, même si, bien entendu, Vinland Saga reste
une œuvre de fiction.
Points
Négatifs :
- L’omniprésence de l’humour dans ce tome risque de déplaire à
certains lecteurs, il faut le reconnaitre.
-
On retrouve une certaine exagération propre a la série – et aux mangas en
général – qui pourra déplaire à certains comme la force ou l’habilité de
certains protagonistes qui apparaissent, pour le moins, surhumains…
Ma
note : 7,5/10
GIDEON
FALLS – LE PENTOCULUS
Après
un voyage dans le temps et l'espace, Norton et Clara sont piégés dans la petite
ville de Gideon Falls avec un psychopathe meurtrier. Pendant ce temps, dans une
autre dimension, le père Fred et Angie affrontent l'évêque dans la grande ville
Gideon Falls et les secrets n'ont jamais été aussi près d'être révélés. Le vrai
combat contre le centre et celui qui vit dans son ombre ne fait que
commencer...
Gideon Falls – Le Pentoculus
Scénario : Jeff Lemire
Dessins
: Andrea
Sorrentino
Encrage : Andrea Sorrentino
Couleurs : Dave Stewart
Couverture : Andrea Sorrentino
Genre : Fantastique,
Horreur
Editeur
: Image Comics
Titre en vo
: Gideon Falls – The
Pentoculus
Pays
d’origine : Etats-Unis
Parution
: 23
juin 2020
Langue
d’origine : anglais
Editeur
français : Urban Comics
Date
de parution : 18 septembre 2020
Nombre
de pages : 136
Liste
des épisodes
Gideon Falls 17-21
Mon
avis : Fort heureusement, alors que,
depuis quelques mois et la crise du Covid-19 qui n’en finit pas, moult
publications ont été repoussées aux calendes grecques – et je ne parle pas des
sorties cinéma, c’est encore pire – je n’ai pas eu à attendre bien longtemps
pour avoir droit à la suite de Gideon
Falls puisque, après un troisième
tome dévoré avec délectation en juillet dernier, le quatrième volet est
paru il y peu de temps de par chez nous et, ma foi, une fois de plus, je n’ai
qu’une seule chose à dire : c’est toujours aussi bon ! Ainsi, dès la
couverture, superbe – mais il faut dire que, de ce point de vu là, la série est
un pur régal – nous entrons dans le vif du sujet et replongeons avec plaisir
dans ce scénario oh combien complexe mais génial d’un Jeff Lemire plus inspiré
que jamais et si le tome précédent avait été riche en révélations en tout
genre quand aux explications des différents Gideon Falls – en fait, tout est
une histoire d’univers parallèles – ici, le lecteur suit les pérégrinations des
différents protagonistes principaux qui, chacun de leurs cotés, luttent contre
cette indicible menace venue du centre de tout… Lemire nous rappelle, par
moments, les meilleurs Stephen King, quand à Andrea Sorrentino, force est de
constater que l’artiste est plus en forme que jamais et nous livre une
prestation graphique de toute beauté qui nous prouve, une fois de plus, a quel
point celui-ci est non seulement imaginatif mais aussi et, surtout, oh combien
talentueux. Bref, vous l’avez compris, encore un très bon album de Gideon Falls qui confirme tout le bien
que je pense de cette BD et même si je dois reconnaitre que j’ai préféré les
premiers volumes, moins axé action et plus silybins, ce quatrième tome m’aura conforter
dans mon opinion et m’aura donner envie de découvrir la suite, mais bon, là, il
se peut que je doive attendre un peu plus longtemps pour y avoir droit…
Points
Positifs :
-
Une fois de plus, Gideon Falls confirme tout le bien que l’on peut
penser à son sujet, même si, au bout de quatre tomes, ce n’est plus vraiment
une surprise. Disons que, après les révélations du volume précédent, Jeff
Lemire réussi la gageure de nous tenir toujours autant en haleine avec un
synopsis complexe mais qui rappelle les meilleurs romans de Stephen King, c’est
pour dire !
-
Les dessins d’Andrea Sorrentino, bien entendu ! Fidèle a son habitude,
l’artiste nous livre une prestation exceptionnelle et ses planches,
cinématographiques, décloisonnées, d’une inventivité rare, sont pour beaucoup
pour la réussite de ce Gideon Falls.
-
Une intrigue captivante qui vous tient en haleine de la première à la dernière
page, des protagonistes toujours aussi intéressants, une ambiance toujours
aussi particulière et qui oscille entre un l’horreur et le fantastique, quant à
l’intrigue elle même, disons que celle-ci fourmille toujours autant d’idées
pour le moins géniales.
-
Une couverture magnifique : cette fois ci, les éditions Urban ont fait un bon choix.
Points
Négatifs :
-
Comme je l’avais souligné dans ma critique des précédents volets de Gideon
Falls, il se peut que le scénario de Jeff Lemire déplaise au grand public
en raison d’une certaine complexité, ce, même s’il faut reconnaitre qu’il y a
pire dans le même genre…
-
Le style d’Andrea Sorrentino est tellement particulier qu’il risque de déplaire
a pas mal de monde, plus habitués a des dessinateurs plus conventionnels et,
accessoirement, plus passe partout mais aussi et surtout plus fades.
-
Un tome peut-être moins marquant que ses prédécesseurs. Est-ce en raison que l’effet
de surprise est passé ou par une certaine omniprésence de scènes d’actions, je
ne sais pas, mais bon, dans l’ensemble, cela reste très bon.
Ma
note : 8/10
RANDOM
ACCESS MEMORIES
Daft
Punk
1
- Give Life Back to Music (Thomas Bangalter /
Guy-Manuel de Homem-Christo) 4:34
Collaboration :
Nile Rodgers (guitare)
2
- The Game of Love (Thomas Bangalter / Guy-Manuel de
Homem-Christo) 5:21
Collaboration :
Néant
3
- Giorgio by Moroder (Thomas Bangalter / Guy-Manuel de
Homem-Christo) 9:04
Collaboration :
Giorgio Moroder (voix)
4
- Within (Thomas Bangalter / Guy-Manuel de
Homem-Christo) 3:48
Collaboration :
Chilly Gonzales (piano)
5
- Instant Crush (Thomas Bangalter / Guy-Manuel de
Homem-Christo) 5:37
Collaboration :
Julian Casablancas (chant, guitare, production)
6
- Lose Yourself to Dance (Thomas Bangalter /
Guy-Manuel de Homem-Christo) 5:53
Collaboration :
Nile Rodgers (guitare), Pharrell Williams (chant)
7
- Touch (Thomas Bangalter / Guy-Manuel de
Homem-Christo) 8:18
Collaboration :
Paul Williams (chant et paroles)
8
- Get Lucky (Thomas Bangalter / Guy-Manuel de
Homem-Christo) 6:07
Collaboration :
Nile Rodgers (guitare), Pharrell Williams (chant)
9
- Beyond (Thomas Bangalter / Guy-Manuel de
Homem-Christo) 4:50
Collaboration :
Paul Williams (paroles)
10
- Motherboard (Thomas Bangalter / Guy-Manuel de
Homem-Christo) 5:41
Collaboration :
Néant
11
- Fragments of Time (Thomas Bangalter / Guy-Manuel de
Homem-Christo) 4:39
Collaboration :
Todd Edwards (chant)
12
- Doin' It Right (Thomas Bangalter / Guy-Manuel de
Homem-Christo) 4:11
Collaboration :
Panda Bear (chant)
13
- Contact (Thomas Bangalter / Guy-Manuel de
Homem-Christo) 6:21
Collaboration :
DJ Falcon
Random Access Memories
Musicien
: Daft
Punk
Parution
: 17 mai 2013
Enregistré : 2008
– 2012
Durée : 74:24
Genre
: Nu-Disco,
Funk, Synthpop, House, French Touch
Producteur : Daft
Punk
Label
: Daft
Life Ltd, Columbia
Musiciens :
Daft
Punk : chant,
synthétiseur modulaire, clavier, guitare, production, concept, direction
artistique
Panda
Bear : chants sur la
piste 12
Julian
Casablancas : chants,
guitare solo, coproduction sur la piste 5
Todd
Edwards : chants,
coproduction sur la piste 11
DJ
Falcon : synthétiseur
modulaire (avec Daft Punk) et coproduction sur la piste 13
Chilly
Gonzales : claviers
(piste 1), piano (piste 4)
Giorgio
Moroder : voix sur la
piste 3
Nile
Rodgers : guitare sur
les pistes 1, 6, 8
Paul
Williams : chants sur la
piste 7, paroles sur la piste 9
Pharrell
Williams : chants sur les
pistes 6 et 8
Greg
Leisz : pedal steel
guitar, lap steel guitar sur les pistes 1 à 3, 7 à 11
Chris
Caswell : claviers sur
les pistes 1 à 4, 7 à 11, orchestration, arrangements
Paul
Jackson, Jr. : guitare sur
les pistes 1 à 3, 7 à 11
Nathan
East : basse sur les
pistes 1 à 6, 8 et 11
James
Genus : basse sur les
pistes 3, 7, 9, 10, 11, 13
John
"J.R." Robinson : batterie sur les pistes 1 à 6
Omar
Hakim : batterie sur
les pistes 3, 7 à 11, 13
Quinn :
percussions sur les pistes 1, 3 à 5, 7, 10, 11
Thomas
Bloch : ondes Martenot
sur la piste 7, cristal Baschet sur la piste 10
Douglas
Walter : Chef
d'orchestre
Mon
avis : Ce disque là, en toute sincérité, cela
fait des lustres que j’aurais dut vous en proposer la critique. Non pas, en
fait, parce que celui-ci date de 2013 et que, depuis, sept années se sont
écoulées mais plutôt pour la simple et bonne raison que, dès début 2014, moins
d’un an, donc, après la sortie dans les bacs de ce Random Access Memories, je m’étais procurer cet album. Or, alors
que j’avais passé des mois à écouter, quasiment en boucle, des titres comme Get Lucky et Instant Crush et à lire moult critiques pour le moins élogieuses vis-à-vis
de cet opus, il m’aura donc fallut des années pour, enfin, écouter pour la
toute première fois cet album. La raison ? Disons qu’elle est stupide :
à chaque fois, je me disais que je m’y attaquerais la prochaine fois et cette
prochaine fois, eh bien, disons qu’elle est arrivé en ces congés de la
Toussaint 2020… Mais bon, comme il est de coutume de le dire, mieux vaut tard
que jamais et donc, finalement, sept années après sa sortie, j’ai put vérifier
par moi-même si ce Random Access Memories
était un bon album et, ma foi, non seulement j’ai put le constater mais, qui
plus est, j’irais même plus loin et j’estime que le dernier album en date de
Daft Punk est un grand album, en tous cas, musicalement parlant, un des
derniers chef d’œuvres incontestable du genre – mais bon, sur ce point, vu ce
qu’est devenu la musique depuis un peu plus d’une décennie, ce n’est pas
difficile, faute de concurrence… Car oui, mille fois oui, avec Random Access Memories, Daft Punk nous
aura pondu non seulement un grand album mais aussi, en sortant de leur zone de
confort, en prenant de terribles risques et en nous offrant un fort beau voyage
dans un certain paysage musical des années 70, un album qui se donne le luxe d’être
innovant, étonnant et qui, malgré quelques petites faiblesses, n’en reste pas
moins grandiose. Car oui, même si certains ont critiquer Thomas Bangalter et
Guy-Manuel de Homem-Christo pour avoir un peu mis de coté les boites à rythmes
et le son très typé des débuts pour un opus qui sonne le funk et le disco des
seventies, force est de constater que leur choix s’est avéré payant, au vu du résultat
final : par le talent des deux hommes, bien évidement mais aussi par les
nombreuses collaborations prestigieuses qui parsèment cet opus et qui apportent
un plus indéniable à l’ensemble. Ainsi, de Nile Rodgers à DJ Falcon en passant
par Giorgio Moroder, Julian Casablancas, Pharrell Williams ou Paul Williams
(pour ne citer que quelques exemples), il est clair que Daft Punk,
formidablement bien accompagné, nous livre un disque magistral, un des derniers
dans son genre, terriblement imaginatif et qui, selon moi, aurait gagner, peut-être,
à être un poil moins long – mais bon, là-dessus, je n’ai jamais été un grand
fan des disques trop longs. Bref, vous l’avez compris, selon moi, Random Access Memories est un grand
album, un incontournable que tout amateur de musique se doit d’avoir écouter au
moins une fois dans sa vie, alors certes, il n’est pas parfait et ne peut donc
pas être qualifier comme étant un chef d’œuvre incontestable, mais bon, malgré
cela, il n’en reste pas moins très bon et aura confirmer, définitivement, que
Daft Punk est un grand groupe, un des tous derniers d’ailleurs et que oui, même
de nos jours, certains sont encore capables de sortir de grands albums…
Points
Positifs :
-
Un superbe album que ce Random Access
Memories. Quasiment parfait de bout en bout, terriblement bien maitrisé par
notre duo casqué qui aura mis bien du cœur à l’ouvrage pour ce disque et qui
aura pris bien des risques, cet opus est, sans aucune contestation possible, un
des meilleurs des dix dernières années. Bref, un indispensable pour tout fan de
musique digne de ce nom !
-
Random Access Memories s’éloigne fort
des débuts de Daft Punk et lorgne allègrement du coté du Funk et du Disco,
cependant, ce bel hommage à ces genres musicaux des années 70 fonctionne à
merveille et l’oreille attentive reconnaitra, ici et là, quelques sonorités
plus expérimentales propres au groupe.
-
Daft Punk a sut fort bien s’entourer dans cet album et force est de constater
que Nile Rodgers, DJ Falcon, Giorgio Moroder, Julian Casablancas, Pharrell
Williams, Paul Williams, Todd Edwards, Panda Bear et Chilly Gonzales sont pour
beaucoup pour la réussite de cet opus et que leur implication dans celui-ci est
superbe.
-
Des titres comme Instant Crush, Give Life Back to Music, Lose Yourself to Dance, Doin' It Right ou Get Lucky sont, bien entendu, de superbes chansons, cependant,
reconnaissons que Touch est un des
grands moments de l’album et que, selon moi, Giorgio by Moroder et ses neuf minutes, est tout bonnement
magistral !
-
Une pochette a priori simple mais plutôt réussie.
Points
Négatifs :
-
Malheureusement, je trouve que Random
Access Memories est trop long et aurai gagné à être plus concis. Ainsi,
certains titres – deux ou trois – sont dispensables et cassent un peu le rythme
de l’ensemble, ce qui est dommage.
-
Les fans ultras des débuts auront peut-être du mal avec cet album a mille lieux
de leurs habitudes et qui sonne si bien les années 70…
Ma
note : 8,5/10
MONSTRE
SACRÉ
Pendant
des décennies, Paul Finchley a formé un duo comique avec Karl. Moins adulé que
ce dernier mais toujours aimé du public, il finit paisiblement sa carrière en
animant un quiz télévisé. Sa vie bascule le jour où deux femmes l'accusent de
viol, des faits remontant à vingt ans. Troublée, son épouse, Marie, l'assure
néanmoins de son soutien. Sa fille, Dee, en cure de désintoxication,
s'interroge sur sa relation à son père et sur sa mémoire défaillante. A-t-elle
refoulé des souvenirs ?
Monstre Sacré
Réalisation
: Marc Munden
Scénario
: Jack Thorne
Musique : Cristobal
Tapia de Veer
Production : The
Forge Entertainment
Genre : Drame
Titre
en vo : National Treasure
Pays
d’origine : Grande-Bretagne
Chaîne
d’origine : Channel 4
Diffusion
d’origine : 20 septembre 2016 – 11 octobre
2016
Langue
d'origine : anglais
Nombre
d’épisodes : 4 x 48 minutes
Casting :
Robbie
Coltrane : Paul Finchley
Julie
Walters : Marie Finchley
Andrea
Riseborough : Danielle Dee
Finchley
Tim
McInnerny : Sir Karl
Jenkins
Babou
Ceesay : Jerome Sharpe
Mark
Lewis Jones : Gerry
Nadine
Marshall : DI Palmer
Kate
Hardie : Rebecca
Thornton
Susan
Lynch : Christina
Farnborough
Graeme
Hawley : Dan
Cara
Barton : Dee Finchley
jeune
William
Wright-Neblett : Billy
Trystan
Gravelle : Paul Finchley
jeune
Lucy
Speed : Marie Finchley
jeune
Kerry
Fox : Zoe Darwin
Renaee-Mya
Warden : Frances
Jeremy
Swift : Simon
Rosalind
Eleazar : Georgina
Ed
Eales White : Karl Jenkins
jeune
Sarah
Middleton : Rebecca
Thornton jeune
Ruby
Ashbourne Serkis : Christina
Farnborough jeune
David
Fleeshman : Le Juge
Darren
Boyd : Hamish
Mon
avis : Bien avant la tristement affaire Weinstein,
quelques années auparavant, en 2012, la Grande-Bretagne avait été touchée par
une sordide affaire d’agressions sexuelles touchant une icône nationale, Jimmy
Savile, grand comique britannique mort en 2011 et véritable prédateur sexuel
qui aurait fait, grosso modo, environ 300 victimes ! De cette sordide
affaire est donc né ce Monstre Sacré,
mini-série en quatre parties qui s’inspire fortement de celle-ci et nous
présente donc une vieille vedette nationale, Paul Finchley – formidablement interprété
par Robbie Coltrane – loin de sa gloire d’antant et qui présente désormais un
quizz télévisuel et qui, a l’hiver de sa vie, se voit rattraper par de sombres
affaires de viols. Un postulat de départ plutôt intéressant, donc, parfaitement
dans l’air du temps et qui fait de ce Monstre
Sacré une série qui, à défaut d’être excellente, loin de là, se doit d’être
regarder, ce, principalement pour deux raisons : la performance d’acteur
de Robbie Coltrane, donc, quasiment parfaite dans ce rôle de ce vieux comique
autrefois auréolé de gloire et homme à femmes, mais aussi pour un scénario tout
en nuances qui nous fait hésiter, jusqu’au bout, sur la véritable culpabilité
de cet homme, l’accent étant mis, selon moi, fort bien, sur les conséquences de
ces révélations sur la vie familiale de ce dernier. Ajoutons à cela une belle
mise en accusation sur ce milieu télévisuel oh combien machiste où les
attouchements étaient la norme et les femmes ne servaient qu’a servir les
appétits sexuels de ces monsieur ainsi qu’une vision pour le moins complexe de
la relation entre les vedettes et leurs fans et l’on obtient, au final, une
mini-série qui n’est peut-être pas exempt de défauts mais qui n’en reste pas
moins suffisamment intéressante pour ravir les amateurs du genre. Et comme,
fort heureusement, depuis quelques années, les choses semblent bien changer et
la parole des victimes se déliée, je pense qu’une œuvre comme Monstre Sacré mérite vraiment le détour…
Points
Positifs :
-
Une série parfaitement dans l’air du temps et qui revient de manière plutôt intelligente
sur ces vedettes qui s’avèrent être de véritables prédateurs sexuels et qui,
pendant trop de décennies, ont put sévir a la vue de tous et sous la
complaisance de leurs pairs sans que personne ne trouve rien à redire.
-
Monstre Sacré met en accusation un
certain machisme qui aura sévit bien trop longtemps dans le milieu de la
télévision britannique – entre autres – mais revient aussi sur la relation
complexe et pas toujours claire entre les vedettes et leurs fans.
-
Davantage que de s’intéresser à l’affaire a proprement parlée, la série met l’accent
sur les conséquences de celle-ci sur la famille et les proches de l’accusé, et,
ma foi, d’une manière plutôt intéressante.
-
La performance d’acteur de Robbie Coltrane se doit d’être soulignée : à la
fois inquiétant et drôle, charismatique et hanté, il nous propose un personnage
bien plus complexe qu’on aurait put le penser de prime abord.
Points
Négatifs :
-
Même si Monstre Sacré n’est composé
que de quatre épisodes, cette série souffre de pas mal de longueurs et je n’ai
pas put m’empêcher de me dire que le format film aurait parfaitement suffit.
-
La mise en avant de la famille et des proches de l’accusé est une bonne chose,
c’est un fait, dommage, malgré tout, que les victimes brillent presque par leur
absence du coup.
-
Robbie Coltrane est tellement bon que le reste du casting, pourtant correct, a
du mal à souffrir la comparaison avec lui.
Ma
note : 7/10
DIABLO
3 – ETERNAL COLLECTION
Vingt
ans se sont écoulés depuis que les démons primordiaux ont été vaincus et bannis
du monde de Sanctuaire. Il vous faut aujourd’hui revenir là où tout a commencé,
dans la ville de Tristram, et enquêter sur les rumeurs parlant d’une étoile
tombée du ciel. Car c’est là le premier signe du retour du Mal, et le présage
de la fin des temps. Maniez les forces dévastatrices que vous confère votre
statut héroïque ! Faites trembler la terre, soufflez le feu et la glace sur vos
ennemis, invoquez des créatures venues d’autres mondes... Réduisez à néant les
légions infernales dans un environnement 3D aléatoire, où aucune partie ne se
ressemblera : affrontez d’innombrables ennemis démoniaques, découvrez des lieux
uniques et mettez la main sur un butin généré spécialement pour vous !
Dépouillez les cadavres de vos ennemis de tout leur or et utilisez votre
fortune pour vous acheter de fabuleuses armes et armures, ou appelez-en à vos
talentueux artisans pour parachever votre arsenal tout-puissant ! Des
légendaires tours de Caldeum aux remparts assiégés du donjon de la Redoute, le
monde des mortels est tombé sous l’influence corruptrice des Enfers. Défendez
Sanctuaire avant que le monde ne soit complètement annihilé par les démons.
Diablo 3 – Eternal Collection
Éditeur
: Activision
Blizzard
Développeur
: Blizzard
Entertainment
Concepteur
: Josh
Mosquiera, Leonard Boyarsky, Jay Wilson
Musique
: Russell
Brower, Derek Duke, Glenn Stafford
Date
de sortie : 19 août 2014
Pays
d’origine : Etats-Unis
Genre
: Hack
'n' slash
Mode
de jeu : Solo, Multijoueur
Média : Blu-Ray
Contrôle : Manette
Plate-forme
: PS4
Mon
avis : Il y a de cela précisément cinq
ans, en 2015, donc, je vous avais parlé, sur ce blog, d’un jeu vidéo qui m’avait
plutôt enthousiasmé et qui m’avait fait passer de bons moments pendants
quelques mois, un certain Diablo 3.
Bien entendu, les amateurs de Hack 'n' slash le savent très bien, depuis le premier volet,
paru en 1998 et qui reste, selon moi, le meilleur de la saga, Diablo est le maitre étalon d’un genre
peu présent sur console – malheureusement – mais que j’apprécie suffisamment
pour ne pas passer a coté de la sortie d’un nouveau volet – d’ailleurs, sur ce
point, j’ai hâte que sorte Diablo 4,
attendu depuis bien longtemps. Mais au fait, pourquoi, aujourd’hui, vous parler
d’un soft qui à déjà eu droit à sa critique sur Le Journal de Feanor ? Eh bien, tout simplement parce qu’après sa
première version, sur PS3, puis son
extension, Reaper
of Souls, cinq années se sont écoulées et je n’avais pas eu l’occasion
de retrouver un jeu du même genre, du coup, en cet automne 2020, je me suis
laisser par sa version PS4, version
qui comportait le jeu principal, son extension, de nouveaux personnages
jouables comme le Croisé ou le Nécromancien ainsi que quelques petites améliorations
graphiques – assez logiques – et quelques objets et autres armes ou armures.
Cela fait peu, vous en convenez et en toute franchise, si vous posséder déjà la
version PS3, je ne pense pas que ce
portage sur PS4 soit vraiment
indispensable, loin de là : le jeu est plus beau, les temps de chargements
moins longs, mais bon, en toute sincérité, si cela ne faisait pas cinq ans que
j’avais finis Diablo 3 et son
extension, je pense ne pas me tromper en affirmant que je n’aurais pas été au
bout de sa version PS4… Après, si
vous n’avez jamais eu l’occasion de jouer à un volet de la saga voir à Diablo 3 et que vous êtes fan de Hack
'n' slash, franchement, ce jeu est fait pour vous : durée de vie,
bestiaire, lieux visités, adversaires, scénario, graphismes, c’est du tout bon
même si je continue à dire que le premier volet lui reste supérieur. Bref, un
bon jeu, incontestablement, mais un peu inutile pour moi vu que je l’avais déjà
finit deux ou trois fois il y a quelques années. Mais bon, cela m’aura un peu occupé
en attendant le fameux Diablo 4 qui
se fait terriblement attendre depuis beaucoup trop longtemps à mon avis…
Points
Positifs :
- Fans
de Hack and Slash, n’hésitez pas une seule seconde, Diablo 3 est
le jeu qu’il vous faut, surtout si vous jouez uniquement sur console comme
c’est mon cas. Fidèle successeur des deux premiers volets qui, en leur temps,
avaient déjà marqué leur époque, reprenant toutes les vieilles recettes qui
avaient fait le succès de la saga, nous avons là un soft sans grande surprise
mais fidèle à ce que l’on attendait de lui.
-
Cette version PS4 est composée du jeu
initial, de son extension, Reaper of
Souls et de quelques petites nouveautés comme de nouvelles classes de
personnages, des compagnons, etc. Bref, un soft indispensable pour les amateurs
du genre qui n’y auraient pas joué sur PS3.
-
Une durée de vie colossale : premièrement, finir le jeu une première fois
est déjà long, surtout que, si vous souhaitez vous faciliter la tache, vous
referez d’entrée de jeu certains passages afin de monter plus rapidement de
niveau, mais ensuite, une fois le mode histoire achevé, vous aurez envie de
refaire le jeu dans un mode plus difficile, où les ennemis sont plus coriaces,
le challenge plus élevé, les récompenses plus somptueuses… bref, un jeu qui
peut vous occuper des mois et des mois !
-
Franchement, ce soft est magnifique et cette version PS4 sublime a merveille la précédente : ainsi, que ce soient
les décors, nombreux, variés et qui fourmillent de détails, les monstres et les
protagonistes, les effets de lumières et autres sorts, tout est fait pour le
plaisir de nos yeux… et puis, dans certains niveaux, pensez donc a jeter un œil
aux décors en arrière plan, cela vaut le coup…
-
La prise en main du soft est d’une simplicité évidente, les menus faciles
d’accès et en quelques minutes, on comprend aisément où il faut aller pour
s’équiper, pour choisir ses spécialités, celles de son compagnon, etc. Mine de
rien, ce n’est pas toujours le cas dans ce genre de jeux.
-
Un choix varié pour ce qui est des classes des personnages : Barbare,
Moine, Magicien, Chasseur de Démons, Fétichiste – marrant celui-là – et, bien
entendu, le Croisé.
-
La montée de niveaux est la même pour tout le monde et on obtient alors de
nouvelles spécialités : a nous ensuite d’en faire ce que l’on veut sans
que l’on reste bloquer pendant des heures quand au choix à faire.
-
Si les monstres sont nombreux et variés, les boss nous permettent de retrouver
de vieux compagnons de route comme le roi Leoric et le Boucher, mais aussi, de
faire connaissance avec la sorcière Maghda ainsi que les démons Asmodan et
Baal.
-
Bonne idée que celle de pouvoir avoir un compagnon tout au long de l’aventure –
perso, j’ai choisis le Templier.
-
La possibilité de jouer a plusieurs sur le même écran, comme au bon vieux
temps…
-
Les cinématiques sont somptueuses mais hélas, rares.
Points
Négatifs :
-
Bien évidement, ce soft est complètement inutile si vous avez déjà joué a sa
version PS3 et il faut dire que ce
portage sur PS4 ne vous apportera,
quasiment, aucune nouveauté – bref, si vous connaissez déjà ce jeu, vous pouvez
facilement enlever deux points a ma note finale.
-
Je ne suis pas un grand fan des jeux trop difficiles, cependant, dans le cas
présent, force est de constater que Diablo
3 est trop facile : on devient puissant trop rapidement et j’ai achevé
les cinq chapitres non seulement sans mourir une seule fois mais, pire, sans
jamais avoir été mis en danger a aucun moment !
-
Il faut reconnaitre que tuer des centaines de monstres qui vous tombent dessus,
au bout d’un moment, cela peut lasser, ensuite, on est obliger de faire sans
arrêt des allers retours pour vendre son matériel qui ne sert a rien, réparer
son équipement, etc. N’oublions pas que, scénaristiquement, c’est plutôt
basique et certains dialogues sont même navrants… Il y aurait probablement à
faire de ce coté là…
-
Les monstres sont très nombreux et plutôt variés, hélas, on s’aperçoit que
certains ne sont que des déclinaisons, ce qui, ma foi, est dommage…
-
C’est un peu pareil pour certains décors : certes, ils sont variés mais
par moments, on tombe un peu dans la facilité et le rouge démoniaque l’emporte
un peu trop souvent par moments vers la fin.
-
C’est une bonne idée d’avoir l’aide d’un compagnon ; personnellement,
j’aurai souhaité pouvoir partir à l’aventure avec les trois au même temps.
-
Mais qu’est ce que c’est que cette fin !? Diablo vaincu, on discute deux
minutes, quelqu’un affirme que le mal n’est jamais tout à fait vaincu et… hop,
c’est le générique de fin !? Mouais, un grand bof. Quand a Reaper of Souls, sa conclusion est
encore plus rapide !
Ma
note : 8/10