Juin
avait été un mois fortement marqué par le nombre de billets que j’avais pu
consacré à ce que je considère comme étant ma revue préférée, je veux bien
évidement parler des Cahiers de Science
& Vie, et il se pourrait bien que ce mois de juillet naissant aille
dans le même sens puisque, entre le dernier numéro sortit en kiosques, le 130,
que je n’ai pas encore finis de lire, et un ancien numéro, vieux de quatre ans,
que je me suis procurer il y a quelques semaines et dont je vous parle aujourd’hui,
nul doute que les Cahiers risquent fort, une fois de plus, de marquer de leur
empreinte les semaines à venir :
Les Cahiers de Science
& Vie n°103 : d'où viennent les Mégalithes ?
Février/Mars
2008
D'où viennent les
Mégalithes ?
-
Editorial : Roc à vif
I
– La pierre se fait monument
-
Dolmens, menhirs et mégalithisme
-
Tour du monde des mégalithes
-
L'Europe en marche vers la révolution
-
« Tant que dureront les
pierres » Interview de Jean-Paul Demoule
II
– Mégalithes, mode d'emploi
-
Les dolmens, antichambres de l'éternité
-
Stonehenge : Lumière sur les pierres sacrées
-
Carnac, chef de file des alignements
-
Malte. Dans le sanctuaire de la déesse
III
– Epreuves d'artistes
-
Dans l'intimité des constructeurs de mégalithes
-
Comment ils ont déplacé les montagnes
-
Une nouvelle grammaire des signes
-
L'art fait aussi sa révolution
IV
– D'hier à aujourd'hui
-
Pierre de légendes
-
Comment faire parler les pierres
-
Les derniers faiseurs de mégalithes
-
« Survivances en Asie du Sud
Est » Interview d'Antonio Guerreiro
Pour
la petite histoire, dont, je pense, tout le monde s’en fout, ce cent troisième
numéro des Cahiers de Science & Vie
est paru au même moment où je débutais ce blog, c’est-à-dire, il y a quatre ans
et demi a peu de choses près ; bien évidement, à l’époque, je n’écrivais
pas de billets consacrés aux revues, cela n’étant venus que deux ans plus tard,
mais pour ce qui est de ce numéro consacré aux Mégalithes, et comme je vous le
disais en préambule, il m’aurait été difficile de vous en parler à l’époque
puisque je ne l’ai acheter que le mois dernier, lors d’une commande spéciale d’anciens
numéros que je souhaitais lire. Et franchement, si j’avais apprécié celui
consacré au mythe
arthurien, dont je vous ai parlé il n’y a pas très longtemps, ce numéro ci,
lui, fut un véritable régal.
Déjà,
ce qui fait la différence avec le précédent numéro des Cahiers de Science & Vie dont je vous ai parlé sur ce blog, c’est
l’originalité incontestable du sujet principal de ce cent-troisième numéro :
ainsi, si tout le monde ou presque connait plus ou moins bien le Roi Arthur et
tout le folklore qui l’accompagne, il en est autrement des Mégalithes, encore
nimbées, finalement, d’une aura mystérieuse qui ne les a pas quittés depuis des
millénaires. Car, ce qui ressort principalement de ce numéro des Cahiers et des excellents articles qui
le composent, c’est que l’on ne sait pas grand-chose sur ce, ou plutôt,
devrais-je dire, ces peuples qui, un peu partout dans le monde – car le
phénomène n’est pas uniquement européen, bien au contraire – ont élevés des
rochers monumentaux pour diverses raisons dont, certaines, ne nous sont pas
encore claires. Ce peuple, ces peuples, bien plus anciens que les gaulois dont
on nous rabâchait les oreilles avec leurs menhirs (rien de plus faux), cette
civilisation mégalithique dont les traces principales qu’elle a laissées étant,
finalement, ces somptueux monuments cyclopéens, ce numéro des Cahiers essai, au mieux, de nous dévoiler
tout ce que l’on sait d’eux, de leurs origines, leur histoire, leurs coutumes
et surtout, leurs créations, au jour d’aujourd’hui, c’est-à-dire, à la fois pas
grand-chose et bien plus qu’autrefois. Car, petit à petit, l’on fait des
découvertes, de nouvelles hypothèses sont avancées et en effectuant des
comparaisons avec les derniers bâtisseurs de Mégalithes (car oui, il en existe
encore à notre époque), nous en savons de plus en plus sur nos anciens ancêtres,
et leur formidables créations. Bien évidemment, ce ou plutôt ces anciens
peuples garderont a jamais (manque d’écriture oblige) une importance nappe de
mystère mais quoi qu’il en soit, tant que leurs œuvres, quatre ou cinq fois
millénaires, seront debout, nous ne pourrons pas les oublier ; et ce
numéro des Cahiers de Science & Vie,
captivant au possible, leur rend le plus hommage qu’il soit.
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