QUO
VADIS
A
Rome, le général Marcus Vinicius rencontre Lygie, une esclave, dont il tombe
amoureux. Mais elle est chrétienne et ne veut rien avoir à faire avec un homme
de guerre. Marcus la rachète pourtant à l'empereur Néron, mais elle s'échappe
avec l'aide d'un ami. En la retrouvant, Marcus va apprendre à connaître les chrétiens.
Quo Vadis
Réalisation : Mervyn
LeRoy
Scénario : S.
N. Behrman, Sonya Levien, John Lee Mahin, d'après le roman-éponyme de Henryk
Sienkiewicz
Musique : Miklós
Rózsa
Production : Metro-Goldwyn-Mayer
Genre : Péplum,
Historique
Titre
en vo : Quo Vadis
Pays
d'origine : États-Unis
Langue
d'origine : anglais
Date
de sortie : 8 novembre 1951
Durée : 171
mn
Casting
:
Robert
Taylor : Marcus Vinicius
Deborah
Kerr : Lygie, fille du roi de ce
pays
Leo
Genn : Pétrone
Peter
Ustinov : Néron
Patricia
Laffan : Poppée
Buddy
Baer : Ursus
Finlay
Currie : Pierre
Abraham
Sofaer : Paul
Nora
Swinburne : Pomponia
Felix
Aylmer : Plautius
Marina
Berti : Eunice
Ralph
Truman : Tigellin
Norman
Wooland : Nerva
Nicholas
Hannen : Sénèque
Rosalie
Crutchley : Acté
Arthur
Walge : Croton
D.
A. Clarke-Smith : Phaon
Peter
Miles : Nazarius
Adrienne
Corri : une jeune fille chrétienne
Richard
Garrick : un esclave
Sophia
Loren : une fille qui applaudit
Vinicius
Walter
Pidgeon : le narrateur
Bud
Spencer : un garde impérial
Elizabeth
Taylor : une prisonnière chrétienne
dans l'arène

Points
Positifs :
-
Un des maitres étalons du péplum, tout bonnement ! Il faut dire que l’on
retrouve ici tous les canons du genre et parfaitement maitrisés par une mise en
scène et un coté grandiloquent qui font que l’on ne s’ennui pas une seule
seconde pendant les presque trois heures que dure ce film !
-
Un casting cinq étoiles et au top avec Robert Taylor, Deborah Kerr, Leo Genn, Patricia
Laffan et, surtout, un Peter Ustinov tout simplement exceptionnel en Néron.
-
Décors grandioses, costumes magnifiques, des tonnes de figurants… Certes, cette
reconstitution de la Rome impériale est très marquée hollywoodienne mais bon,
elle n’en reste pas moins magnifique.
-
L’intrigue, finalement, est assez simple puisque le général romain arrogant et
sur de lui finit par tomber amoureux de la belle chrétienne et par épouser ses
croyances, mais bon, souvent, les histoires les plus simples sont les
meilleures. Et puis, il y a le coté historique de la chose, Néron, l’incendie
de Rome, le massacre des chrétiens, etc.
-
Mine de rien, le héros, interprété par Robert Taylor est quand même un gros con
arrogant au début. Alors certes, il évolue au fil de l’intrigue, mais au début,
il est loin d’être conforme a ce que Hollywood avait l’habitude de nous servir,
la plupart du temps.
Points
Négatifs :
- Il
est clair que Quo Vadis accuse un peu
son age par moments – après tout, il date de 1951. Certes, si l’on est âgé, on
est habituer a ce genre de films avec des effets spéciaux parfois limites et
des décors en carton pate, mais si l’on est jeune, par contre, et que l’on n’a
connu que le tout numérique, cela peut poser un problème.
-
Le coté un peu gnangnan de certaines scènes, surtout celles où les gentils
chrétiens vont se faire dévorer par des lions en chantant.
-
Les intégristes laïcs détesteront ce film.
-
Le bâton de Pierre qui reste debout et ne tombe jamais ! D’ailleurs,
histoire d’enfoncer le clou, le film s’achève sur un gros plan du bâton qui,
entretemps, a germé !
Ma
note : 8,5/10
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