SCIENCES
ET AVENIR HS 185 – LE FABULEUX HÉRITAGE DES EMPIRES DISPARUS
Avril/Mai
2016
Sciences
et Avenir HS 185 – Le fabuleux héritage des empires disparus
- Edito :
Aux sources de notre humanité
- Rencontre :
Jean-Luc Martinez : « Effacé le passé, c’est déshumaniser
l’homme »
- Syrie
- Palmyre.
Une cité impériale surgie du désert
- Alep,
Mari, Krak des chevaliers, Apamée, Douras Europolos…
- Enquête :
Antiquités du sang, la lutte s’organise
- Entretien :
France Desmarais : « Nous n’avons aucune idée de l’ampleur
actuelle du trafic »
- Irak
- Ninive.
La cité guerrière rivale de Babylone
- Olivier
Christin : « Le Coran ne proscrit pas l’usage d’images »
- Khorsabad,
Nimroud, Tikrit, Monastère de Saint-Elie…
- Portfolio :
D’or et d’ivoire, les trésors des musées
- Entretien :
Jean Devallon : « Etrangers, les objets du passé permettent
de se confronté à l’altérité »
- Lybie
- Cyrène.
Un rêve grec en Afrique
- Leptis
Magna, Sabratha, Acacus…
- Afghanistan
- Bamiyan.
Sur les traces de Bouddha
- Bactres,
Aï Khanoum, Mes Aynak…
-
High-tech : L’archéologie 3.0 au secours du patrimoine
-
Mali
-
Tombouctou. La mémoire retrouvée d’une ville de légende
-
Yémen
-
Sanaa. Témoin fragile d’une Arabie heureuse
-
Marib, Shibām, Saada, Barakish…
-
Exposition : Ariane Thomas : « La Mésopotamie, ce berceau de l’humanité »

Points
Positifs :
- Une
fort instructive compilation de tous les sites archéologiques actuels détruits
ou en danger. Des plus connus aux plus obscurs, de ceux dont les médias ont
fait les choux gras (les Bouddhas de Banyan, les sites mésopotamiens détruits
par Daesh) a ceux dont ils ne parlent jamais (le Yémen), que l’on soit néophyte
ou pas, on ne s’ennui pas un instant a la lecture de cette revue.
-
Justement, on pourrait craindre que ce numéro ne mette en avant que les cas les
plus connus, or, fort heureusement, il n’en est rien et c’est l’une des grandes
forces de celui-ci.
-
Illustrations, cartes, chronologies des civilisations abordées : le tout
est plutôt complet.
Points
Négatifs :
-
Pas véritablement de points négatifs dans ce numéro sauf que l’on peut éventuellement
regretter que certains chapitres ne soient pas un peu plus développés,
particulièrement vers la fin.
-
Certes, il ne faut pas se voiler la face, le fondamentalisme islamique est la
plus grande menace qui soit au jour d’aujourd’hui (pour les vestiges
archéologiques comme pour l’humanité en général), cependant, ce n’est pas le
seul danger, loin de là, et il n’aurait pas été superflu de pointer du doigt
décisions gouvernementales et certaines multinationales tout aussi néfastes par
moments pour certains vestiges archéologiques.
Ma
note : 7,5/10
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