mardi 23 janvier 2018

THE FALL – SAISON 3


THE FALL – SAISON 3

Paul Spector est pris en charge aux urgences. Il subit une lourde intervention qui se passe bien. Jim Burns défend Stella Gibson auprès de Frank afin que l'affaire ne lui soit pas retirée. Il est décidé que ce ne sera plus elle qui donnera les conférences de presse


The Fall – Saison 3
Réalisation : Allan Cubitt
Scénario : Allan Cubitt, Jakob Verbruggen
Musique : Keefus Ciancia
Production : BBC
Genre : Thriller
Titre en vo : The Fall – Season 3
Pays d’origine : Royaume-Uni
Chaîne d’origine : BBC Two, RTÉ One
Diffusion d’origine : 29 septembre 2016 – 28 octobre 2016
Langue d'origine : anglais
Nombre d’épisodes : 6 x 57 minutes

Casting :
Gillian Anderson : Stella Gibson, superintendant de la Metropolitan Police Service
Jamie Dornan : Paul Spector
John Lynch : Jim Burns, assistant du chef de police
Bronagh Waugh : Sally-Ann Spector
Colin Morgan : Tom Anderson, sergent détective
Niamh McGrady : Danielle Ferrington, agent de police
Aisling Franciosi : Katie Benedetto
Emmett Scanlan : Glen Martin, inspecteur de police
Stuart Graham : Matthew Eastwood, inspecteur-chef
Karen Hassan : Annie Brawley
Bronágh Taggart : Gail McNally
Nick Lee : Ned Callan
Valene Kane : Rose Stagg
Jonjo O'Neill : Tom Stagg
Kelly Gough : Hagstrom
Sean McGinley : Peter Jensen
Ben Peel : James Olson, sergent de police
Ian McElhinney : Morgan Monroe
Aoibhín Garrihy : Lyndsey Conklin

Mon avis : Si la première saison de The Fall avait sut renouveler de fort belle manière les thrillers où officient des tueurs en séries, il est évidant que la seconde, sans être mauvaise, était apparu comme étant un poil décevante, le scénario commençant a briller davantage par ses incohérences et ses lieux communs que par ses qualités. Hélas, d’entrée de jeu, cette troisième saison débutait mal, très mal même, et ce, par les mêmes défauts qui avaient déjà plombé la saison précédente mais en pire… Ainsi, d’entrée de jeu, comment ne pas pointer du doigt la monumentale incohérence, que dis-je, la débilité profonde et pathétique qui aura nuit aux deux premiers épisodes et, dans un sens plus large, a cette saison dans son ensemble, car bon, comment passer après cela : ainsi, est-ce que vous trouvez normal que dans un hôpital de Belfast – que l’on peut imaginer suffisamment grand – l’on ait placer dans une chambre un tueur en série très dangereux et, en face, dans le couloir, sa dernière victime en date, et ce, tandis que les forces de l’ordre sont relégués fort loin et brillent du coup par leur absence !? Incohérent, que dis-je… ridicule oui ! Le problème, c’est qu’en débutant d’une telle manière, les choses étaient fort mal engagées et comme en plus, l’on retrouve une bonne part des défauts que l’on avait déjà remarquer dans la seconde saison, arrivé sensiblement vers la moitié de cette troisième saison, le deuil qualitatif de The Fall semblait bel et bien prononcer. Fort heureusement, et alors qu’on ne l’attendait plus, un sursaut qualitatif eut lieu, une légère montée en puissance qui amène, mine de rien, cette ultime saison jusqu’à un final que l’on peut qualifier sans le moindre problème de bon, plutôt bon même. De quoi pavoiser ? Oh certes non surtout qu’au vu de la première saison, excellente, elle, il est clair que, d’un point de vu personnel, j’étais en droit d’attendre bien plus de The Fall. Hélas, ce ne fut pas le cas et il restera, finalement, après tout cela, comme un arrière gout d’inachevé et, surtout, de déception…


Points Positifs :
- La conclusion, plutôt logique au vu de tout ce qui c’était dérouler auparavant et qui marque les esprits.
- Le duo Gillian Anderson / Jamie Dornan, toujours aussi excellent !
- La seconde moitié de cette troisième saison est une lente montée qualitative qui sauve un peu les meubles.
- Cette dernière saison de The Fall est davantage axée sur les dialogues entre les nombreux protagonistes, cependant, ceux-ci sont de qualité et certains dialogues méritent le détour.

Points Négatifs :
- Un sentiment final de déception, surtout si l’on se souvient de la première saison, proche de la perfection, elle.
- On reprend les défauts de la seconde saison et on recommence, mais en pire : sous intrigues complètement oubliées, personnages jetées aux oubliettes, etc.
- Les deux premiers épisodes sont une purge monumentale !
- Mais comment ont-ils fait pour quasiment occulter le sort de la famille de Paul Spector !?
- L’incohérence monumentale qui ouvre le bal avec, dans l’hôpital, la chambre du tueur en face du lit de sa victime, située, elle, dans le couloir, et ce, sans la moindre présence policière proche. Mais quelle débilitée…

Ma note : 6/10

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