BLEACH :
QUINCY ARCHER HATES YOU
Adolescent
de quinze ans, Ichigo Kurosaki possède un don particulier : celui de voir les
esprits. Un jour, il croise la route d'une belle Shinigami (un être spirituel)
en train de pourchasser une « âme perdue », un esprit maléfique qui hante notre
monde et n'arrive pas à trouver le repos. Mise en difficulté par son ennemi, la
jeune fille décide alors de prêter une partie de ses pouvoirs à Ichigo, mais ce
dernier hérite finalement de toute la puissance du Shinigami. Contraint
d'assumer son nouveau statut, Ichigo va devoir gérer ses deux vies : celle de
lycéen ordinaire, et celle de chasseur de démons... Volume complètement décalé,
en opposition avec le côté nostalgique et dramatique du volume précédent. Quincy Archer Hates You commence par les
aventures palpitantes du pervers du lion le plus petit !! Mais ouui c’est Kon
qui cherche un nouvel endroit où loger… Dur, dur … Un nouveau personnage
complètement loufoque fait son apparition : Don Kan’onji « BWAHAHAHHAAH Spirit ArE AlwAys WitH YoU !!!!! ». Cependant la
remarque surprenante de l’insouciante Inoue : « l’empreinte laissée à ce moment… avaient changé à jamais la destinée
de chacun d’entre nous », nous ramène au suspens de l’aventure avec l’apparition
d’un nouveau personnage. Un jeune nommé Ishida qui se dit Quincy et qui hait
les Shinigamis !!...
Un
an, il m’aura fallu un an pour que je me décide enfin à replonger dans la suite
d’un manga que j’ai découvert l’été dernier, et dont les deux volumes, dont je
vais vous parler aujourd’hui, étaient en ma possession depuis tout ce temps-là !
Cela peut paraitre incroyable, inimaginable ? Oui, je le conçois, comme
si, en douze mois, je n’avais pas trouver le temps de les lire ; certes,
je pourrais toujours rétorquer que j’avais toujours mieux à faire, qu’il existe
tant de bande dessinées de qualité à découvrir, de films à regarder, de romans à
lire, de jeux a… euh… jouer, mais aussi, car la vie, ce ne sont pas que ces
quelques loisirs, des tas d’occupations comme travailler, dormir, m’occuper des
enfants, regarder la télévision, partir en vacances, essayer malgré moi d’avoir
une vie sociable et même, ne l’oublions pas, m’occuper de ce blog, bref, je
suis tellement occuper que je pourrais trouver des excuses bidons du genre :
« mais je n’avais pas le temps
messieurs, dames ! », sauf que, en un an, je ne vais tout de même
pas prétendre que je n’ai pas trouver deux ou trois heures, grand maximum, pour
les lire ces fichus deux tomes !? Oui, je l’avoue, du temps, j’en ai eu,
et plus qu’à foison, par contre, pour ce qui était de l’envie…
Pourtant,
lorsqu’on se replonge dans les critiques des trois premiers volumes de Bleach
– puisque c’est de ce manga que je vous parle – vous pouvez constater que j’avais
été plus qu’enthousiasmer par ceux-ci ; et loin de moi l’idée de renier ce
que j’ai pu écrire alors, bien au contraire. Mais alors, pourquoi avoir délaissé
ces deux tomes, pourquoi, alors que je les possédais déjà lorsque j’ai finis le
troisième, dont la critique remonte au 17
juillet 2011 (bigre), et que, en aout, non seulement, j’étais en vacances
mais qui plus est, j’étais partie en Vendée avec eux, je ne les ai pas lu ?
A ce moment-là, j’étais à fond dedans encore, motiver pour découvrir la suite,
le temps n’avait pas fait ses ravages… Oh, vous savez ce que c’est, au début,
on se dit qu’on a autre chose à lire, puis, on se dit qu’on les lira en
vacances, puis, une fois la bas – et nous avons là une fois de plus la preuve
de mon indicible folie – on se dit qu’en rentrant du camping, il faudra
reprendre le travail, et qu’on sera en septembre, et qu’on n’aura pas le temps
d’écrire tous les billets en retard (oui, septembre n’est pas aout, il est vrai
que cette année, c’est presque comme si mes congés duraient deux mois vu que j’écris
bon nombre de mes billets du travail) ; et donc, on se dit qu’on les
laisse pour plus tard, pour les prochaines vacances par exemple, sauf que là,
on part aussi, puis après c’est Noël, puis… puis… bah après on s’en fout un peu
de Bleach, tout simplement !
C’était
dommageable, en vue de ce manga qui, sincèrement, me plaisait bien, mais ce fut
ainsi, je n’y peux rien. Sauf que, une année plus tard, donc, je m’étais promis
de réparer cette faute et donc, finalement, de lire enfin les tomes quatre et
cinq de la série de Tite Kubo – c’est le petit nom de l’auteur, pour ceux qui
ne connaitraient pas – sauf que, forcément, vu que tant de temps avait passé, j’avais
presque tout oublier sur ce qui c’était passé lors des trois premiers tomes ;
ni une, ni deux, décision fut prise de partir à Lacanau équipé comme il se
devait, c’est-à-dire, avec mes cinq tomes de Bleach – entre autres joyeusetés mais si vous suivez ce blog,
vous savez de quoi je parle. Et donc, sur deux jours, je me suis remis à jour
avec la relecture des premiers volumes, histoire de remettre les noms sur les
visages, de qui faisait quoi et d’où en était l’histoire ; ensuite, j’étais
fin prêt pour enfin (et je pèse mes mots) découvrir ce fameux et tellement
attendu quatrième tome des aventures de Ichigo Kurosaki !
Comme
je vous le disais précédemment (bref, pour ceux qui suivent, il y a plus d’un
an), le précédant tome, Memories in the
rain, avait été le plus sombre jusque-là : en effet, malgré la violence
non dissimulée du manga, les débuts avaient été finalement assez enjouées et
les morceaux de bravoure étaient entrecoupée de scènes pour le moins
humoristiques. Dans Memories in the rain,
il n’en était rien : dévoilant les circonstances de la mort de la mère de
notre héros, celui-ci marquait indéniablement un tournant dans l’intrigue et
ajoutait un coté plus sombre qu’on ne connaissait pas encore dans cette série. Or,
comme si, après un épisode pour le moins peu joyeux, il fallait décompresser un
peu, sa suite directe, ce fameux Quincy
archer hates you, donc, est tout bonnement sa parfaite antithèse, démarrant
sur les chapeaux de roue avec toute un épisode entièrement dédié à la fugue de
Kon – déjà, avec son look improbable – et se poursuivant ensuite dans le grand
n’importe quoi le plus total, avec l’apparition d’un nouveau personnage
complètement loufoque : Don Kan’onji, une espèce de médium du pauvre qui
fait des exorcismes dans une émission de télé réalité ! Du coup, c’est l’intégralité
de ce quatrième tome qui en devient presque un fou rire général tant les
dialogues et les agissements des nombreux protagonistes tombent dans le grand
guignolesque, au point même que les scènes les plus tragiques réussissent
presque à nous faire rire ! Décidément, il m’aura fallu énormément de
temps pour replonger dans Bleach mais
sincèrement, quand je vois le contenu de ce quatrième tome de la saga, je ne
regrette pas de m’y etre remis !
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