jeudi 1 décembre 2011

Les Cahiers de Science & Vie n°125 : Les Gaulois, qui étaient-ils vraiment ?


En rentrant de mes dernières vacances, enfin, de celles où je suis parti car actuellement, vous l’avez compris, je suis – encore – en vacances, bref, en rentrant de Belgique, il y a environ un mois, je me suis procurer, sur une aire d’autoroute (bah quoi, c’est un endroit comme un autre pour faire ses emplettes, non ?), le dernier numéro en date de l’excellente revue bimensuelle qu’est Les Cahiers de Science & vie, revue qui, comme les habitués l’auront probablement remarquer, a souvent droit à ses critiques – positives au demeurant – sur ce blog. Pourtant, à première vue, le sujet de ce nouveau numéro n’était pas du genre à m’emballer vu qu’il traitait des Gaulois, peuple qui, en toute franchise, ne m’a jamais véritablement intéresser jusqu’à ce jour. Mais bon, comme on dit par ailleurs, place au sommaire :

Les Cahiers de Science & Vie n°125 : Les Gaulois, qui étaient-ils vraiment ?

Octobre/Novembre 2011

Au sommaire :

  • Les Gaulois, qui étaient-ils vraiment ?
  • - Nos ancêtres les Gaulois
  • - « Peuple rural, les Gaulois ont aussi cultivé la ville » Interview de Matthieu Poux
  • L'identité gauloise
  • - Mondes celtes
  • - La véritable histoire des Gaulois
  • - De la ferme au village l'espace s'organise
  • - Le Gaulois constructeur
  • - L'oppidum, une invention urbaine
  • La société gauloise
  • - Etat Gaulois : Un régime de classes et de factions
  • - Religion : Les promesses de l'au-delà
  • - Agriculture : Ils ont modelé nos campagnes
  • - L'art de la guerre : La culture du héros
  • - Carnet d'un voyageur : Le retour d'un enfant de Bibracte
  • Culture et savoir-faire
  • - Ces mots qui sonnent gaulois
  • - Les druides, têtes pensantes
  • - Le temps des maîtres artisans
  • - Romains avant l'heure
  • - « Les Celtes sont plus à l'heure de l'Europe que les Gaulois » Interview de Michael Dietler

Est-ce part le fait que je ne suis pas d’origine française, est-ce par le fait qu’entre les Romains, classieux, a la puissance inégalée à l’époque et à la civilisation raffinée, et des barbares hirsutes et moustachus, j’ai toujours eu une préférence pour les premiers, ou est-ce aussi en raison d’Astérix qui me gonfle un peu, depuis tout petit, avec sa potion magique a deux balles et l’autre gros balourd d’Obélix, voir même, qui sait, parce que cette fichue expression « nos ancêtres les Gaulois » m’a souler étant petit, force est de constater que les Gaulois, franchement, n’ont jamais été ma tasse de thé. Du coup, forcément, ce numéro des Cahiers de Science & Vie qui leur est consacré ne partait pas sous les meilleurs auspices. Pourtant, j’ai fait des efforts depuis quelques années et ai commencé, petit à petit, à regarder d’un œil nouveau et bien plus intéresser la civilisation Celtique ; cela, je l’avoue, je le dois aux œuvres de Robert Holdstock, principalement, mais aussi à quelques bande dessinées, comme par exemple Keltos (dont au passage, on attend toujours le troisième tome) ainsi qu’à pas mal de reportages – ARTE mon ami – qui m’ont appris pas mal de choses sur un peuple finalement encore bien méconnu de nos jours. Car après tout, que furent les Gaulois si ce n’est des Celtes vivant dans l’actuelle France ? Et si, descendant de Celte-Ibère que je suis, ces dernières années ont vu une modification radicale et un intérêt renouveler pour le peuple Celte, pourquoi est-ce que cela aurait dut en être autrement pour les Gaulois ? Ne pouvais-je ne pas leur laisser une seconde chance ?

Eh bien, comment dire, disons que je ne suis pas aussi radicale que j’ai pu l’être pendant longtemps à l’encontre des Gaulois mais que, même ainsi, et malgré toutes les qualités de ce numéro des Cahiers de Science & Vie qui leur est consacré – qualité de la revue en règle général, des dossiers etc. – ce n’est pas encore cette fois ci que je pourrais dire : « oui, les Gaulois m’intéressent ! ». C’est un peu dommage, je le reconnais, surtout que ce numéro est assez intéressant et surtout, nous montre que bien des idées reçues à l’encontre de ce peuple sont à revoir, cependant, j’ai beau eu faire, j’ai eu beau le lire jusqu’au bout, j’ai eu parfois du mal à accrocher. Cela n’a strictement rien à voir avec la revue en elle-même, rien à redire à son sujet, mais bon, quand je n’aime pas, je n’aime pas, et la, franchement, et malgré quelques articles intéressants (en particulier sur les villes gauloises), je me suis un peu ennuyer ; et oui, je crois que les Gaulois ne serons jamais ma tasse de thé.

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