EVERYBODY KNOWS THIS IS NOWHERE
Neil Young (1969)
1-Cinnamon Girl - 2:58
2-Everybody Knows This Is Nowhere - 2:26
3-Round & Round (It Won't Be Long) - 5:49
4-Down By The River - 9:13
5-The Losing End (When You're On) - 4:03
6-Running Dry (Requiem For The Rockets) - 5:30
7-Cowgirl In The Sand - 10:06
Avec ce deuxième album, tous ceux qui pouvaient encore douter du talent indéniable de Neil Young seront fixés : le bestiau était sacrément doué (comme on s’en doutait déjà, à l’époque du Buffalo Springfield, et sur son premier LP) et les années a venir verraient la confirmation de celui-ci (au point, d’ailleurs, que le magazine Rolling Stones, le considéra, une décennie plus tard, comme l’artiste des années 70, ce qui est amusant lorsque l’on sait que le canadien ne connu qu’un unique numéro un dans les charts dans sa carrière, Heart of Gold). Mais en 69, lorsque paru Everybody Knows This Is Nowhere, le loner était encore loin de tout ça et avait encore beaucoup à prouver. Avec cet album, pourtant, tout était déjà dit en quelque sorte puisque des celui-ci, on possède le matériau que l’on retrouvera par la suite : LP très épuré avec des mélodies admirables et ce son brut qui sera désormais la "marque de fabrique" de Neil Young & Crazy Horse. Tient, justement, la rencontre de Young et de ce qui deviendra son groupe fétiche, ex-Rockets, sera primordiale dans la carrière de celui-ci est des leur premier album en commun, on comprend tout de suite que leur rencontre apportera énormément au canadien (même si celui-ci, fidèle à sa légende, altérera régulièrement tout au long de ses nombreux albums, il reviendra toujours a son « Cheval fou »). Du coup, loin d’un premier essai en solo assez moyen (la faute surtout a un son véritablement exécrable, malheureusement), ce deuxième album nous propose immédiatement trois titres qui deviendront immédiatement des standarts du maître : Cinnamon Girl, Down By The River, et Cowgirl in The Sand. Personnellement, je ne me lasse pas, près de quinze ans après avoir découvert cet album, des deux premiers, que j’écoute toujours avec autant de plaisir, tout comme le reste d’un excellant album, décidément inoubliable et qui défie les générations. Une vraie petite perle a écouté encore et encore…
Neil Young (1969)
1-Cinnamon Girl - 2:58
2-Everybody Knows This Is Nowhere - 2:26
3-Round & Round (It Won't Be Long) - 5:49
4-Down By The River - 9:13
5-The Losing End (When You're On) - 4:03
6-Running Dry (Requiem For The Rockets) - 5:30
7-Cowgirl In The Sand - 10:06
Avec ce deuxième album, tous ceux qui pouvaient encore douter du talent indéniable de Neil Young seront fixés : le bestiau était sacrément doué (comme on s’en doutait déjà, à l’époque du Buffalo Springfield, et sur son premier LP) et les années a venir verraient la confirmation de celui-ci (au point, d’ailleurs, que le magazine Rolling Stones, le considéra, une décennie plus tard, comme l’artiste des années 70, ce qui est amusant lorsque l’on sait que le canadien ne connu qu’un unique numéro un dans les charts dans sa carrière, Heart of Gold). Mais en 69, lorsque paru Everybody Knows This Is Nowhere, le loner était encore loin de tout ça et avait encore beaucoup à prouver. Avec cet album, pourtant, tout était déjà dit en quelque sorte puisque des celui-ci, on possède le matériau que l’on retrouvera par la suite : LP très épuré avec des mélodies admirables et ce son brut qui sera désormais la "marque de fabrique" de Neil Young & Crazy Horse. Tient, justement, la rencontre de Young et de ce qui deviendra son groupe fétiche, ex-Rockets, sera primordiale dans la carrière de celui-ci est des leur premier album en commun, on comprend tout de suite que leur rencontre apportera énormément au canadien (même si celui-ci, fidèle à sa légende, altérera régulièrement tout au long de ses nombreux albums, il reviendra toujours a son « Cheval fou »). Du coup, loin d’un premier essai en solo assez moyen (la faute surtout a un son véritablement exécrable, malheureusement), ce deuxième album nous propose immédiatement trois titres qui deviendront immédiatement des standarts du maître : Cinnamon Girl, Down By The River, et Cowgirl in The Sand. Personnellement, je ne me lasse pas, près de quinze ans après avoir découvert cet album, des deux premiers, que j’écoute toujours avec autant de plaisir, tout comme le reste d’un excellant album, décidément inoubliable et qui défie les générations. Une vraie petite perle a écouté encore et encore…
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