LE
PHARE AUX ORQUES
Pour
permettre à son fils autiste, Tristan, de rencontrer un éleveur d'orques de la
Péninsule Valdés, qui l’a fasciné lorsqu’il l’a vu à la télévision, sa mère
Lola va traverser l'océan et aller jusqu'en Patagonie. La vitalité de la nature
et le contact avec les cétacés vont faire des miracles pour l'enfant.
Le Phare aux Orques
Réalisation : Gerardo
Olivares
Scénario : José
María Morales
Musique : Pascal
Gaigne
Production : Historias
Cinematográficas Cinemanía, Wanda Visión S.A., Pampa Films
Genre : Drame
Titre
en vo : El Faro de las Orcas
Pays
d'origine : Espagne, Argentine
Langue
d'origine : espagnol
Date
de sortie : 16 décembre 2016
Durée : 110
mn
Casting :
Maribel
Verdú : Lola
Joaquín
Furriel : Beto
Joaquín
Rapalini Olivella : Tristán
Ana
Celentano : Marcela
Ciro
Miró : Manolo
Osvaldo
Santoro : Bonetti
Federico
Barga : Quiñones
Zoe
Hochbaum : Martina
Alan
Juan Pablo Moya : Inti
Juan
Antonio Sánchez : Junco
Eduardo
Domínguez : Anciano
Mon
avis : Ne sachant guère trop faire ce
samedi soir – eh oui, je suis ainsi – je me suis laisser tenter par ce Phare aux Orques, film espagnol et
argentin qui nous narrait la rencontre, tirée d’une histoire vraie, entre un
ranger spécialiste des orques et un jeune autiste, fasciné par ces animaux.
Bref, vous l’avez compris d’entrée de jeu : voilà un long métrage plein de
bons sentiments, sans grande surprises et avant toute chose familial, c’est-à-dire,
pas de quoi sauter au plafond, pas de quoi hurler au génie, mais un synopsis de
départ suffisamment plaisant pour faire passer un bon moment aux spectateurs
qui ne cherchent pas a se compliquer la vie… De plus, Le Phare aux Orques mérite le détour pour deux raisons,
principalement : pour le rapport qui va s’établir entre ce jeune autiste
et les orques, plutôt fascinant, mais aussi et surtout pour ses paysages de
Patagonie, tout bonnement superbes de par leur coté sauvages. Si l’on ajoute à
cela une petite romance entre le ranger et la mère, ce qui n’est pas
négligeable pour attirer le chaland et l’on obtient, au final, un film
franchement sympathique, avec une bonne histoire et qui, en plus de vous faire
passer un bon moment, vous montrera quelques belles et superbes d’images d’orques,
ce, sans tomber dans le grand guignolesque d’un certain Sauver Willy…
Points
Positifs :
-
Un film hautement sympathique à la thématique simple mais efficace : un
homme renfermé sur lui-même et uniquement préoccupé par les orques, un jeune
enfant autiste fasciné par les cétacés, une mère prête a tout pour son enfant.
Un trio peu original, convenu, certes, mais suffisamment plaisant pour nous
faire passer un bon moment.
-
Les magnifiques paysages de Patagonie, les scènes où l’on voit des orques.
-
Pour ce qui est des acteurs, rien à redire, ceux-ci font le job convenablement.
Points
Négatifs :
-
Pas de quoi sauter au plafond non plus. Le
Phare aux Orques est sympathique mais ce n’est pas un grand film, loin de
là : trop conventionnel, sans surprises, il nous fera tout juste passer un
bon moment, sans plus…
-
C’est bien de nous dire que ce film est tiré d’une histoire vraie – le ranger
se nomme Roberto Bubas – mais bon, dommage que l’on n’en sache pas plus sur ce
qui est arrivé aux protagonistes de l’histoire.
Ma
note : 6,5/10
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire