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samedi 31 décembre 2016

Bilan de l’année 2016


Bon bah voilà, comme chacun sait, nous sommes le 31 décembre 2016, à quelques heures à peine des douze coups de minuits qui annonceront la toute nouvelle année, 2017 ! Bien évidemment, et comme il est de coutume sur ce blog depuis sept ans désormais, je tenais à revenir sur les œuvres qui m’ont le plus marqués au cours de ces douze derniers mois. Bien sûr, je dois reconnaitre que cela n’a rien de bien original ; après tout, il est de coutume, dans les derniers jours d’une année, de rappeler les événements qui l’ont marqué (il suffit de regarder la télévision ou de lire la presse pour le constater), cependant, plutôt que de tourner autour du pot, il est temps de revenir sur cette année 2016 qui n’en a plus, désormais, pour très longtemps :


Livre de l’année : La Tour Sombre

Pour la toute première fois, depuis que ce blog existe, un seul et unique auteur aura été présent tout au long des douze mois qui composent une année, je veux bien évidement parler de Stephen King – d’ailleurs, pour être précis, celui-ci avait commencé dès la rentrée 2015 à pointer le bout de son nez. Du coup, et sans grande surprise, vu l’omniprésence du maitre de l’horreur, il était certain qu’une de ses œuvres serait le Livre de l’année 2016. Et là, sans la moindre surprise, mon choix c’est tout naturellement porté sur le Cycle de La Tour sombre, véritable chef d’œuvre du sieur King et, comme il le dit lui-même, pierre angulaire de tous ces romans.


BD de l’année : Walking Dead

Une année très riche pour ce qui est de la bande dessinée, particulièrement du coté des comics, de plus en plus présents sur ce blog depuis 2015. Et justement, vu l’importance prise par ces derniers ces dernières années et, surtout, l’immense qualité de bon nombre d’œuvres dites indépendantes – c’est-à-dire, en dehors des deux grosses maisons d’édition que sont Marvel et DC – ce ne fut pas une surprise que mon choix de BD de l’année se soit porter sur une œuvre nord-américaine. Et parmi celles-ci, s’il y en a une qui aura marqué indéniablement cette année 2016, ce fut incontestablement Walking Dead : en effet, si ce ne fut pas au cours de ces douze mois que j’ai débuté cette série, ce fut véritablement cette année que je me suis vraiment lancée dans sa lecture. Et puis, rien que pour le fait que l’œuvre de Robert Kirkman soit tout bonnement l’un des tous meilleurs comics de ces dix dernières années, il me semblait justifier qu’elle soit récompensée sur ce blog !


Film de l’année : Le Loup de Wall Street

2016, coté cinéma, fut indéniablement moins riche que sa devancière, pourtant, malgré une petite baisse du nombre de films vus cette année, j’ai eu l’occasion de découvrir quelques petits bijoux du septième art, certains récents, d’autres, comme Le Loup de Wall Street, plus anciens mais que je n’avais pas encore eu l’occasion de voir auparavant. Mais même si ce long métrage de Martin Scorsese date déjà d’il y a trois ans, rien que pour l’énorme performance d’acteur de Leonardo DiCaprio, pour le coté excessif du film mais aussi et surtout, pour toutes ses scènes plus coquasses les unes que les autres, je me suis dit que je tenais là le film de cette année 2016…


Série de l’année : Homeland

Comme ce fut le cas pour le cinéma, cette année, j’ai eu l’occasion de voir beaucoup moins de séries qu’en 2015, et parmi celles-ci, certaines m’ont même carrément déçue. Fort heureusement, dans le lot, j’ai eu droit à quelques belles surprises et des confirmations. Pas de chef d’œuvres véritables, certes, mais quelques bonnes voir de très bonnes séries et, parmi celles-ci, une découverte, Homeland. Une bonne série, plutôt captivante et avec des protagonistes plutôt charismatiques. Cependant, si l’on devait comparer cette série aux lauréates des années précédentes, on pourrait se dire que l’on perd en qualité, mais bon, sur ce point, j’ai vraiment l’impression d’avoir vu déjà toutes les grandes séries actuelles, ce qui fait que, désormais – et en attendant un éventuel futur chef d’œuvre – il faudra me contenter de ce qu’il y a.


Jeux Vidéo de l’année : The Witcher 3 – Wild Hunt

Au moins, pour ce qui est des jeux vidéos, les choses auront été simples, très simples même puisque, incontestablement, lorsque l’on tombe sur ce qu’il faut bien appeler un chef d’œuvre, quelque chose d’énorme et proche de la perfection, un soft qui nous occupe quasiment toute l’année, un truc qui marque son époque mais aussi sa vie de joueur, et bien, on s’incline humblement et on donne le trophée de Jeux Vidéo de l’année 2016 a The Witcher 3 ! Et histoire d’enfoncer le clou définitivement, quand en plus, on a droit a deux DLC qui sont a eux seuls aussi bons voir meilleurs qu’une bonne partie de la concurrence, que dire de plus ? Hum, que The Witcher 3 est le jeu de la décennie ? Eh bien, ma foi, on en reparlera sans nul doute en janvier 2018 !


Disque de l’année : Blackstar

Depuis que ce blog existe, jamais année ne fut aussi riche coté musique pour ma part et, par moments, je me serais presque cru du temps de ma jeunesse lorsque je m’enfilais albums sur albums, les uns après les autres. Cependant, si 2016 fut effectivement fort fournie en critiques musicales sur Le Journal de Feanor, mon choix s’était porter depuis très longtemps sur ce qui serait le Disque de l’année : Blackstar de David Bowie. Bien évidement, étant fan absolu du Major Tom depuis ma jeunesse, sa mort, survenue en janvier dernier, ne pouvait que me marquée et comme Blackstar fut son tout dernier album, je ne pouvais pas lui rendre l’hommage qu’il méritait. Et comme en plus, accessoirement, c’était un très bon album, il me semble que le fait que j’ai choisis le vainqueur de cette catégorie dès janvier 2016 ne souffre de la moindre contestation…


Revue de l’année : La Nouvelle Revue d’Histoire HS 12 – Être minoritaire en terre d’Islam

Comme chaque année, c’est la catégorie Presse qui conclue ma liste de trophées, et si parfois, mon choix n’est pas forcément évidant, cette année, cela fut assez facile, et ce, pour deux raisons : premièrement, par un manque de concurrence véritable – il y a eu de bons magazines mais pas vraiment des inoubliables – deuxièmement, pour la simple et bonne raison que ce hors série de La Nouvelle Revue d’Histoire, au titre si évocateur, Être minoritaire en terre d’Islam, rétablit tant de vérités, va tellement a l’encontre du politiquement correct de nos sociétés occidentales et ose pointer du doigt ce que nos médias, nos politiques et nos experts ont tellement de mal a reconnaitre, c’est-à-dire, le sort peu enviable subits par les minorités religieuses en terre d’Islam, que la lecture de ce hors-série est plus que salutaire. Après, il est clair que cela ne plaira pas a tout le monde, mais bon, si l’on a droit de critiquer la Chrétienté, pourquoi pas l’Islam !?

Bon bah voilà, il me semble que c’est tout pour cette année, il est donc temps pour moi de vous souhaiter de passer un excellent réveillon, de fêter comme il se doit (mais avec modération les amis, franchement, je vais joueur les vieux chiants mais tant pis, inutile de picoler comme des trous au point de rouler sous la table) l’année 2017 qui arrive dans quelques heures et de saluer, une dernière fois, 2016, une année faite de hauts et de bas, pas toujours heureuse, un peu comme sa devancière, au vu des nombreux événements qui l’ont émailler, mais une année faite aussi, d’un point de vu personnel, de bons voir de très bons moments – qui dit la victoire du Portugal lors de l’Euro ? Et pour finir, comme il se doit, je ne pouvais pas vous quitter sans la traditionnelle salutation d’usage : bonne année a tout le monde !

1 commentaire:

  1. Livre de l'année : Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur de Harper Lee
    (et je vais courant 2017 tenter d'enfin lire la tour sombre dont je n'ai lu que le pistolero, j'avoue...)

    BD de l'année : Mon ami Dahmer de Derf Backderf
    (je pense que c'est la seule que j'ai lue... Mais quelle Bd !)

    Film de l'année : The Witch de Robert Eggers

    Série de l'année : The Leftovers saison 2

    Jeu de l'année : aucun sauf sudoku sur mon iphone =)

    Album de l'année : Il nous restera ça de Grand Corps Malade et tout l'univers de Benjamin Biolay que je n'ai découvert qu'en 2016

    Belle année à toi aussi !

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