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vendredi 27 décembre 2013

LES CAHIERS DE SCIENCE & VIE 140 – AUX SOURCES DU VIN ET DE L’IVRESSE


LES CAHIERS DE SCIENCE & VIE 140 – AUX SOURCES DU VIN ET DE L’IVRESSE
Octobre 2013

Aux sources du Vin et de l’ivresse
Edito : In vino… « civilitas »
Cadrage : Une histoire aux multiples rameaux
Interview : « Le vin est si merveilleux que son origine ne peut être que divine
 » de Jean-Robert Pitte
I – Aux origines du Vin
- Première vendanges
- Grecs et Romains – Bacchus s’invite à toutes les tables
- Les Gaulois – Ce nectar qui élevait nos ancêtres
II – Les religions du Livre et le Vin
- Judaïsme – Le raisin, fruit de la Terre promise
- Christianisme – « Ceci est mon sang… »
- Islam – En attendant le Paradis
III – De l’art à la science du Vin
- La France met le vin à sa carte
- Comment la science élève le vin
- La révolution anglaise
IV – Les pouvoirs du Vin
- Une France au teint vermeil
- La politique investi le vin
- De l’ivresse a l’alcoolisme
- Boire est-il dans nos gènes ?
- Des buveurs célèbres
- Le bel avenir du vin !

Mon avis : On pourra dire que ces derniers mois, j’aurai vraiment pris mon temps pour lire les derniers numéros parus dans le commerce de cette excellente revue qu’est pourtant les Cahiers de Science & Vie, la faute a un manque de temps évidant, mais aussi, comme ce fut franchement le cas pour celui-ci a un sujet qui ne me passionnait guère. Il faut dire que même avec toute la meilleure volonté du monde, prétendre que le vin est un thème qui me passionne serait franchement vous mentir : certes, de façon occasionnelle, il m’arrive d’en boire, mais bon, non seulement je ne suis pas un grand amateur du nectar de la vigne mais qui plus est, je n’y connais pas grand-chose – je pourrais même aller plus loin, cela ne m’a jamais intéressé. Mais bon, ayant pris depuis quelques années l’habitude de me procurer chaque numéro des Cahiers de Science & Vie, qui est, pour rappel, ma revue préférée, je n’ai pas dérogé à la règle avec celui-ci, même s’il ne m’enchantait guère… mais bon, c’était peut-être l’occasion, justement, d’en apprendre davantage sur le sujet ? Et, ma foi, et d’ailleurs, ce n’est pas la première fois que cela m’arrive avec les Cahiers, je ne peux que constater qu’à la lecture de ce numéro, désormais, si je ne suis pas devenu un expert sur la chose viticole, force est de constater que je ne suis plus vraiment un néophyte : ainsi, entre l’histoire de la culture de la vigne depuis l’antiquité jusqu’à l’époque moderne, sur sa place au sein de la société, sur ses bienfaits et ses méfaits ainsi que le regard que les hommes portent sur le vin, désormais, celui-ci n’est plus un parfait inconnu pour moi. Bien sûr, malgré cela, je ne suis pas devenu un passionné subitement, et d’ailleurs, le fait que la lecture de ce numéro ce soit étalée sur plusieurs mois est l’évidence même qu’achever la lecture de celui-ci ne fut pas chose aisée, mais bon, au moins, désormais, je serais un peu moins inculte sur la viticulture et le vin, c’est déjà ça ; j’espère juste que le prochain numéro des Cahiers de Science & Vie me passionnera davantage ?!


Points Positifs :
- Comme tout numéro des Cahiers de Science & Vie, la qualité des articles est une fois de plus au rendez-vous, c’est clair, net, précis et l’on apprend tout un tas de choses sur un sujet finalement peu connu du grand public.
- Le choix, justement, de consacrer un numéro au vin et à la vigne : même un parfait néophyte dans mon genre qui ne s’intéresse absolument pas au sujet en sait désormais davantage sur l’art viticole.

Points Négatifs :
- Comment dire, malgré toute la meilleure volonté au monde, un sujet sur le vin, ce n’est pas non plus ce qu’il y a de plus passionnant, loin de là, alors, si on compare ce numéro avec d’autres des Cahiers, force est de constater qu’on a déjà connu mieux.

Ma note : 6,5/10

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