JURASSIC PARK III
Huit ans après les événements
surréalistes survenus lors de sa visite au Jurassic Park du richissime John
Hammond, le paléontologue Alan Grant se rappelle toujours de sa rencontre,
d'abord magique puis effroyable, avec ces dinosaures ramenés à la vie grâce aux
incroyables progrès de la génétique. À l'origine, ces créatures de la
Préhistoire n'étaient pas censées se reproduire ni survivre, mais elles ont
déjoué les plans des scientifiques. Elles sont probablement toujours en vie sur
l'île Isla Sorna. Alan étudie l'intelligence des Velociraptors. Cependant, il
manque de subventions pour financer ses recherches. Paul Kirby et sa femme
Amanda, un couple richissime, lui proposent alors une grosse somme d'argent
s'il leur fait survoler la fameuse île. Alan accepte leur offre. Mais celui-ci
flaire une entourloupe lorsque le pilote amorce sa descente sur l'île. Il
découvre alors les vraies raisons de l'excursion organisée par les Kirby :
sauver Eric, leur fils disparu dans les environs. Ces derniers avaient besoin
de son aide, car il est le seul à connaître l'île et ses mystérieux occupants.
Cependant, au moment où l'avion s'apprête à redécoller, un Spinosaure tente de
piétiner l'appareil...
Jurassic Park III
Réalisation : Joe
Johnston
Scénario : Michael
Crichton, Peter Buchman, Alexander Payne et Jim Taylor
Musique : Don
Davis, John Williams
Société de
production : Universal Pictures
Genre : Science-fiction,
aventure
Titre en vo : Jurassic
Park III
Pays d’origine : Etats-Unis
Parution : juillet
2001
Langue d'origine : anglais
Durée : 92
mn
Casting :
Sam Neill : Pr Alan Grant
William H. Macy : Paul Kirby
Téa Leoni : Amanda Kirby
Alessandro Nivola : Billy Brennan
Trevor Morgan : Erik Kirby
Michael Jeter : Udesky
John Diehl : Cooper
Bruce Young : Nash
Laura Dern : Pr Ellie Sattler
Mon
avis : L’un des événements cinématographiques de cette
année 2013 aura été sans nul doute le retour sur grand écran, vingt ans après,
de Jurassic
Park, premier du nom, et ce, sous un habillage 3D, histoire de marquer
le coup malgré le fait que cet artifice n’aura strictement rien apporté au
film. Bien évidemment, ce n’était pas la première fois que je regardais ce
film, premier volet d’une licence qui marqua indéniablement le début des années
90 et alla alors jusqu’à provoquer une folie pour les dinosaures au sein des
plus jeunes d’entre nous. Mais comme chacun le sait, Jurassic Park ne se limita pas à ce film original, le préféré de la
plus part des fans : quelques années plus tard, sorti Le
monde perdu, accessoirement, une suite plutôt correcte et que, malgré
tout un tas de défauts, j’avais bien aimé, et, pour finir (et en attendant un
quatrième opus, prévu en 2015, Jurassic
World), ce troisième épisode dont je vous parle aujourd’hui, et que, pour
la petite histoire, je n’avais jamais eu l’occasion de regarder en entier jusqu’à
ce jour… Et franchement, si une petite dernière heure, entraperçue il y a de
cela quelques années m’avait déjà laissé pour le moins dubitatif, force est de
constater que la vision de cette… euh… bouse… aura confirmé ce que je craignais
au sujet de ce film. Franchement, si les deux premiers n’étaient pas des
merveilles du septième art, loin de là, au moins, ils possédaient un petit
quelque chose qui faisait qu’on passait outre leurs défauts, mais ici, que
trouver de positif à ce Jurassic Park III ?
Les dinosaures ? Mouais, et encore, on ne peut pas vraiment dire qu’ils
soient légions, le pire étant que par moments, l’animation de ceux-ci laisse à
désirer. Mais le reste… tout le reste en fait est une catastrophe absolue entre
un scénario ridicule, une intrigue convenue et ennuyeuse au possible, des
personnages inintéressants et l’impression qu’on se fout littéralement de nous
tout au long du film, il apparait clairement que ce Jurassic Park III est une véritable arnaque sans grand intérêt…
Points Positifs :
- Les quelques dinosaures, et
encore, quand ils daignent apparaitre à l’écran.
- La fin : on est tellement
heureux quand s’achève cette catastrophe !
Points Négatifs :
- Scénario insipide et sans
surprise, il réussit l’exploit, a lui seul, d’etre encore plus niais que celui
du premier volet de la saga, mais en plus, il possède tous les défauts
possibles et inimaginables du cinéma hooliwwodien.
- Franchement, en comparaison des
deux premiers volets de la saga, il y a bien moins de dinosaures et, surtout,
ils sont moins présents à l’écran.
- Aucun personnage charismatique en
dehors d’un pauvre Alan Grant qui doit se demander ce qu’il est venu faire dans
cette galère.
- Hollywood dans toute sa gloire :
les héros, les enfants, les parents des enfants, possèdent visiblement l’option
invulnérabilité.
- Rien n’est crédible dans ce film,
ni les réactions des personnages, encore moins celles des dinosaures.
- Alan Grant qui communique avec
des Raptors, un grand moment de n’importe quoi…
- Ces mêmes Raptors qui repartent tranquillement
avec les œufs, comme si de rien n’était.
- Deux portes avions, des hélicos,
un commando de marines, tout cela pour aller récupérer quatre pèlerins sur une
ile, mais oui, on y croit…
Ma note : 3/10
Moi j'aime bien. Mais je suis une totale fan-girl :p
RépondreSupprimerEn fait, plus le temps passe et plus je préfère le deuxième, le premier ayant une place a part pour son coté nostalgique, mais celui-là, franchement, je ne peux pas...
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