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samedi 18 mai 2013

Les Cahiers de Science & Vie 136 : Vivre à Rome au temps des Césars



A la fin du mois de mars dernier, paraissait dans nos kiosques le cent trente sixième numéro de ce qui est ma revue préférée, je veux bien évidement parlé des Cahiers de Science & Vie, consacré à la vie quotidienne des Romains. Or, et comme vous avez pu le constater, il m’aura fallu un certain temps pour en venir à bout puisque, mine de rien, nous sommes déjà mi-mai passé. Alors, est-ce par la faute d’un numéro moins intéressant que d’habitude ou pour d’autres raisons, c’est ce que je vais vous expliquer après le sommaire :

Les Cahiers de Science & Vie n°136 : Vivre à Rome au temps des Césars
Avril 2013

Vivre à Rome au temps des Césars
Edito : Nehil novi sub sole ?
Cadrage : La grandeur de Rome
Interview : « A Rome, des systèmes de solidarité assurent le minimum vital » de Gilles Sauron
I – Le Citoyen
Rome : l’opulence et la misère
Des citadins éternels nostalgiques de la campagne
Donnez-nous nos jeux quotidiens
Des bavards impénitents
La bonne entente avec les dieux
II – La Société
Le Romain et le reste du monde
Des inégalités à tous les étages
La force du sexe faible
La famille au nom du pater
- Le travail, face cachée des Romains
III – Dans l’intimité
Les Romains, débauchés pudibonds
Une existence jalonnée de rites
Animaux de très chère compagnie
Dis mois ce que tu manges…
L’antichambre des festins
L’archéologie des saveurs 

Bon, je ne vais pas vous cacher que la toute première fois que j’ai appris quel allait etre le sujet de ce nouveau numéro des Cahiers de Science & Vie, j’ai été loin, très loin même de sauter au plafond. Pourtant, ayant visité Rome en mars dernier, l’on pouvait imaginer que le dossier de ce numéro d’avril tombait décidément à pic, or, il n’en était rien : en effet, l’Empire Romain, de sa création a sa chute, est un sujet maintes et maintes fois aborder et sincèrement, j’ai pu lire tellement d’articles, vu tant de reportages sans parler des films sur le sujet que, au bout d’un moment, comment dire, disons que celui-ci me lassait un peu – surtout quand celui-ci est régulièrement mis en avant. D’où, probablement, un manque d’enthousiasme a me lancer une bonne fois pour toutes dans la lecture de ce numéro, a quoi il faut ajouter un manque de temps ces dernières semaines où, pour etre tout à fait franc, j’avais préféré avancer dans la lecture de Gagner la guerre de Jean-Philippe Jaworski plutôt que de perdre du temps (pensai-je alors) avec un magazine qui ne m’apprendrait pas grand-chose de nouveau. Or, je me suis bien tromper !

Et pourtant, j’aurais dut m’en douter : en effet, il suffisait de lire le titre, Vivre à Rome au temps des Césars, et de réfléchir cinq secondes pour comprendre le fond du sujet de ce numéro des Cahiers de Science & Vie qui, plutôt que de nous ressortir pour la énième fois la chronologie de l’Empire Romain s’attarderait sur la vie quotidienne de ses habitants, les fameux Romains, dont on va s’apercevoir, assez rapidement, que l’on connait bien mal. Car une fois de plus avec les Cahiers, bien des certitudes vont tomber et, au fil des pages, c’est tout bonnement une ville, Rome, et un peuple, les Romains (Citoyens, esclaves, étrangers) presque inconnus que l’on va rencontrer, et, alors que la lecture de ce numéro avance, on ne peut aller que de surprises en surprises – un exemple, un seul, saviez-vous qu’une femme, lorsqu’elle épousait un homme, restait sous l’autorité de son père et non de son mari ? Du coup, et même si je dois admettre que tous les sujets n’ont pas eu le même intérêt à mes yeux, au final, ce numéro des Cahiers de Science & Vie fut une bonne surprise et m’aura appris tout un tas de la vie quotidienne des Romains que je ne soupçonnais même pas. Alors oui, il m’aura fallu énormément de temps pour le lire en entier (l’ai finis en Bretagne), mais dans l’ensemble, un bon numéro… comme d’habitude ? Oui, effectivement. 

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