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lundi 2 juillet 2012

LES CAHIERS DE SCIENCE & VIE 103 – D'OÙ VIENNENT LES MÉGALITHES ?



Juin avait été un mois fortement marqué par le nombre de billets que j’avais pu consacré à ce que je considère comme étant ma revue préférée, je veux bien évidement parler des Cahiers de Science & Vie, et il se pourrait bien que ce mois de juillet naissant aille dans le même sens puisque, entre le dernier numéro sortit en kiosques, le 130, que je n’ai pas encore finis de lire, et un ancien numéro, vieux de quatre ans, que je me suis procurer il y a quelques semaines et dont je vous parle aujourd’hui, nul doute que les Cahiers risquent fort, une fois de plus, de marquer de leur empreinte les semaines à venir :

Les Cahiers de Science & Vie n°103 : d'où viennent les Mégalithes ?
Février/Mars 2008

D'où viennent les Mégalithes ?
- Editorial : Roc à vif
I – La pierre se fait monument
- Dolmens, menhirs et mégalithisme
- Tour du monde des mégalithes
- L'Europe en marche vers la révolution
- « Tant que dureront les pierres » Interview de Jean-Paul Demoule
II – Mégalithes, mode d'emploi
- Les dolmens, antichambres de l'éternité
- Stonehenge : Lumière sur les pierres sacrées
- Carnac, chef de file des alignements
- Malte. Dans le sanctuaire de la déesse
III – Epreuves d'artistes
- Dans l'intimité des constructeurs de mégalithes
- Comment ils ont déplacé les montagnes
- Une nouvelle grammaire des signes
- L'art fait aussi sa révolution
IV – D'hier à aujourd'hui
- Pierre de légendes
- Comment faire parler les pierres
- Les derniers faiseurs de mégalithes
- « Survivances en Asie du Sud Est » Interview d'Antonio Guerreiro

Pour la petite histoire, dont, je pense, tout le monde s’en fout, ce cent troisième numéro des Cahiers de Science & Vie est paru au même moment où je débutais ce blog, c’est-à-dire, il y a quatre ans et demi a peu de choses près ; bien évidement, à l’époque, je n’écrivais pas de billets consacrés aux revues, cela n’étant venus que deux ans plus tard, mais pour ce qui est de ce numéro consacré aux Mégalithes, et comme je vous le disais en préambule, il m’aurait été difficile de vous en parler à l’époque puisque je ne l’ai acheter que le mois dernier, lors d’une commande spéciale d’anciens numéros que je souhaitais lire. Et franchement, si j’avais apprécié celui consacré au mythe arthurien, dont je vous ai parlé il n’y a pas très longtemps, ce numéro ci, lui, fut un véritable régal.

Déjà, ce qui fait la différence avec le précédent numéro des Cahiers de Science & Vie dont je vous ai parlé sur ce blog, c’est l’originalité incontestable du sujet principal de ce cent-troisième numéro : ainsi, si tout le monde ou presque connait plus ou moins bien le Roi Arthur et tout le folklore qui l’accompagne, il en est autrement des Mégalithes, encore nimbées, finalement, d’une aura mystérieuse qui ne les a pas quittés depuis des millénaires. Car, ce qui ressort principalement de ce numéro des Cahiers et des excellents articles qui le composent, c’est que l’on ne sait pas grand-chose sur ce, ou plutôt, devrais-je dire, ces peuples qui, un peu partout dans le monde – car le phénomène n’est pas uniquement européen, bien au contraire – ont élevés des rochers monumentaux pour diverses raisons dont, certaines, ne nous sont pas encore claires. Ce peuple, ces peuples, bien plus anciens que les gaulois dont on nous rabâchait les oreilles avec leurs menhirs (rien de plus faux), cette civilisation mégalithique dont les traces principales qu’elle a laissées étant, finalement, ces somptueux monuments cyclopéens, ce numéro des Cahiers essai, au mieux, de nous dévoiler tout ce que l’on sait d’eux, de leurs origines, leur histoire, leurs coutumes et surtout, leurs créations, au jour d’aujourd’hui, c’est-à-dire, à la fois pas grand-chose et bien plus qu’autrefois. Car, petit à petit, l’on fait des découvertes, de nouvelles hypothèses sont avancées et en effectuant des comparaisons avec les derniers bâtisseurs de Mégalithes (car oui, il en existe encore à notre époque), nous en savons de plus en plus sur nos anciens ancêtres, et leur formidables créations. Bien évidemment, ce ou plutôt ces anciens peuples garderont a jamais (manque d’écriture oblige) une importance nappe de mystère mais quoi qu’il en soit, tant que leurs œuvres, quatre ou cinq fois millénaires, seront debout, nous ne pourrons pas les oublier ; et ce numéro des Cahiers de Science & Vie, captivant au possible, leur rend le plus hommage qu’il soit. 

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