ALICE AU PAYS DES MERVEILLES
Lors d'une organisation mondaine, Alice Kingsley est demandée en mariage par Hamish Ascot, homme arrogant et peu séduisant. C'est alors qu'elle aperçoit un étrange lapin blanc possédant une montre à gousset, et lui donnant le signe de la suivre. Alice s'enfuit, prétendant que « cela arrive un peu trop rapidement » et part à la poursuite du lapin jusqu'à ce qu'elle arrive devant un curieux arbre mort au tronc détruit, sous lequel se trouve dans le sol, entre les racines, un terrier dont l'intérieur est plongé dans l'obscurité. S'y baissant trop près, Alice tombe et se retrouve dans une longue chute mouvementée jusqu'à atterrir dans un monde qu'elle avait déjà visité des années auparavant : le Pays des Merveilles. Alice, ne se souvenant de rien de ce précédent voyage, rencontre tous les personnages de cette curieuse contrée, devenue sombre et inquiétante, tels que le fameux Lapin Blanc ainsi que le Chat du Cheshire, le Lièvre de Mars, le Loir, les jumeaux Tweedle-Dum et Tweedle-Dee, qui semblent tous très bien la connaitre et en particulier le Chapelier Fou. Ne sachant point ce qui est arrivé de navrant au Pays des Merveilles, Alice apprend, qu'après son départ, la Reine Rouge a pris le pouvoir en relâchant le Jabberwock, une terrible créature aux allures de dragon. Pour que le bien et la paix puissent régner à nouveau au Pays des Merveilles, Alice devra s'allier du déjanté Chapelier Fou et de l'excentrique Reine Blanche Mirana afin de se débarrasser de la tyrannie de la Reine Rouge et refaire régner la justice.
Incontestablement, quel magnifique tour de force que de s’atteler à un chef d’œuvre de la littérature connu de tous, Alice au pays des merveilles, et de réussir, malgré tout, à en faire une réussite, indéniable. Ce n’est pas nouveau et ce n’est pas une surprise pour personne, Tim Burton est tout simplement un génie, l’un des derniers qui reste encore dans le milieu du cinéma, un réalisateur fantasque certes, a l’univers bien défini, et qui, années après années, films après films, réussi l’exploit (n’ayons pas peur des mots) de nous émerveiller, de nous surprendre et de nous faire rêver, encore et encore au point que l’on se demande parfois, comment fait il pour être aussi génial. Car génial, il l’est, c’est une évidence, sa nombreuse filmographie est là pour nous le rappeler et d’ailleurs, il n’a plus grand-chose à prouver, sa place au panthéon des plus grands lui étant d’hors et déjà acquise, mais peut être son coté un peu loufoque tient une place non négligeable dans sa réussite ? Alors, tel un Chapelier forcement fou, Tim Burton distille son talent, nous offrant des œuvres inoubliables et enchanteresses dont on ne se lasse pas. Mais il n’est pas seul.
Que serait donc le grand Tim Burton sans son alter ego, son quasi jumeau, le grand également, Johnny Depp ? Et lui-même, qu’aurait donc été sa carrière sans le réalisateur ? Forcement, si ces deux là ne se seraient pas rencontrer, l’Histoire du cinéma de ces vingt dernières années n’aurait pas été la même, et la part du rêve du septième art ne serait pas aussi savoureuse. Le duo Burton/Depp restera dans les annales du cinéma comme étant indissociable, et, malgré le talent indéniable des deux hommes, lorsqu’ils ne sont pas ensemble, il semble presque manquer un petit quelque chose… Alors, Johnny Depp, acteur aussi génial que célèbre, qui lui aussi n’a plus rien à prouver, réussi, lui aussi, a nous étonner et nous émerveiller, film après film, encore et encore. Et sa prestation dans le rôle de ce fou de Chapelier en est, une fois de plus, la preuve la plus éclatante.
Alors oui, adapter Alice au pays des merveilles était une gageure. Non pas que l’on ne croie pas au talent de Burton, mais surtout parce que cette œuvre, de part sa célébrité dans le monde entier est trop connue, beaucoup trop. Nul besoin de la lire pour la connaître par cœur, et ce, quelque soit notre origine. Et sincèrement, il n’est jamais simple, forcement, d’obtenir un résultat satisfaisant, les comparaisons étant inévitables, soit avec le livre de Lewis Caroll, soit, bien entendu, avec le dessin animé de Disney… mais aussi, ne nous leurrons pas, avec les anciennes productions du duo qui, pour certains, sont toujours forcement meilleurs que les plus récentes. Et la réussite, pourtant, est au rendez vous, incontestablement.
Oui, cette version Burtonnesque d’Alice au pays des merveilles est tout simplement… merveilleuse (oui, je sais, sur ce coup, le raccourcis est très facile). A cela, deux choses : premièrement, la symbiose parfaite entre l’univers enchanteur et rêveur de Caroll et celui tout aussi onirique et bien souvent inquiétant de Burton. De ce coté là, on pouvait se demander ce que le réalisateur allait bien pouvoir nous sortir de sa boite à idées qu’est son cerveau et le résultat, ce subtile mélange de merveilleux, avec cet univers de l’autre coté du miroir, tout bonnement époustouflant et somptueusement retranscrit à l’écran, et ce coté sombre, violent où plane la souffrance et la mort, même si l’humour n’en reste pas moins présent, ce résultat donc, est à la hauteur de nos espérances les plus folles. Car plutôt que de se contenter d’adapter bêtement l’œuvre original, Burton nous en offre la suite, avec une Alice adulte, et superbement interprétée par Mia Wasikowska, jeune actrice australienne qui était jusqu’à hier une parfaite inconnue pour moi, qui revient au Pays des merveilles, et qui le trouve dans un bien triste état : la Reine Rouge, Helena Bonham Carter (il fallait bien que madame Burton soit de la partie) toujours égal à elle-même, y fait régner la terreur et la mort et l’espoir sembles avoir quitter le cœur des habitants. Semble car en fait, une prophétie annoncerait qu’Alice pourrait venir à bout du terrifiant Jabberwocky, l’arme ultime de la Reine. Alors, forcement réticente au départ, par la force des choses, et accompagné des divers habitants du pays des merveilles, en particulier le Chapelier fou (Johnny Depp tout bonnement excellant dans un rôle qui semble, après coup avoir été tailler pour lui), Alice se lancera dans une folle aventure, à la fois drôle, enchanteresse, parfois terrifiante, jusqu'à un somptueux final d’une violence que l’on n’attendais peut être pas d’une œuvre qui a la base, est plutôt destinée aux enfants. D’ailleurs, sur ce point, un conseil si comme moi vous êtes parents : Alice au pays des merveilles n’est pas destiné aux plus jeunes, loin de la, et certaines scènes sont assez spéciales. Alors, réfléchissez y donc a deux fois avant de les amener (a priori, je pense que huit, neuf ans est correct, en dessous, prudence). Bref, entre une intrigue captivante de bout en bout, un univers somptueusement bien retranscrit a un point tel que l’on croirait véritablement que celui-ci soit réel, une histoire a la fois semblable et différente que celle de l’œuvre originale et d’excellents acteurs et des effets spéciaux tout bonnement époustouflants, il ne faut pas hésiter une seule et unique seconde, Alice au pays des merveilles se doit d’être vu et est, incontestablement, Le grand film de ce début d’année. En tout cas, une réussite, tout simplement que l’on n’est pas prêt d’oublier de si tôt.
Pour conclure, je tenais à vous parler du deuxième point dont j’avais fait mention plus haut dans ma critique. Et celui-ci est la 3D. Fini la vieille fausse 3D d’antan, avec ses lunettes ridicules rouges et bleues, mais cela, les spectateurs le savent et ce n’est plus une surprise. Mais il y a des films, il me semble, auquel la 3D n’apporte rien (sur ce point, j’ai vu une bande annonce d’un truc de mode ou je me demande où était l’intérêt réel de la chose, a part l’effet de mode ?), mais cet Alice au pays des merveilles, si je ne doute pas qu’il doive être magnifique sans la 3D, aurait perdu beaucoup de sa magie sans elle. Sincèrement, c’était tout simplement incroyable : non seulement les décors et l’univers en général étaient si parfaitement réalisés que l’on se croyait vraiment dans ce fameux pays des merveilles mais avec la 3D, l’effet d’immersion était époustouflant au point que par moments, j’eu l’impression de déambuler au milieu des protagonistes. C’en était même fortement troublant. D’ailleurs, c’est en regardant cet Alice que j’ai énormément regretté de n’ « avoir » vu Avatar qu’en 2D. Quel gâchis, et pourtant, Dieu sait qu’il était somptueux pourtant…
Bref, inutile d’en rajouter des tonnes, vous l’avez compris, arrêter tout ce que vous faites, ne vous posez pas de questions futiles et inutiles, courrez acheter vos places de ciné et ruez vous devant cet Alice au pays des merveilles qui saura vous éblouir, vous enchanter et vous entrainer dans un monde qui vous semblera si réel que peut être, en rentrant chez vous, vous aurez la même réaction que moi en trouvant curieux que votre chien ne parle pas. Alors, un grand merci a Tim Burton pour ce superbe moment de cinéma, merci à Johnny Depp et autres acteurs, mais également au Lapin blanc, au Lièvre de Mars, Tweedle Dee et Tweedle Dum et tous les autres… Pour moi, hier, vous étiez tous réel, et rien que pour cela, c’est à mes yeux la preuve que j’ai cru être transporter pendant un peu moins de deux heures (trop court !!!), dans ce pays des merveilles que je souhaite absolument ne plus quitter. Franchement, une réussite ! Et dire que quelques mauvaises langues ont sut trouver à redire… pff !
Lors d'une organisation mondaine, Alice Kingsley est demandée en mariage par Hamish Ascot, homme arrogant et peu séduisant. C'est alors qu'elle aperçoit un étrange lapin blanc possédant une montre à gousset, et lui donnant le signe de la suivre. Alice s'enfuit, prétendant que « cela arrive un peu trop rapidement » et part à la poursuite du lapin jusqu'à ce qu'elle arrive devant un curieux arbre mort au tronc détruit, sous lequel se trouve dans le sol, entre les racines, un terrier dont l'intérieur est plongé dans l'obscurité. S'y baissant trop près, Alice tombe et se retrouve dans une longue chute mouvementée jusqu'à atterrir dans un monde qu'elle avait déjà visité des années auparavant : le Pays des Merveilles. Alice, ne se souvenant de rien de ce précédent voyage, rencontre tous les personnages de cette curieuse contrée, devenue sombre et inquiétante, tels que le fameux Lapin Blanc ainsi que le Chat du Cheshire, le Lièvre de Mars, le Loir, les jumeaux Tweedle-Dum et Tweedle-Dee, qui semblent tous très bien la connaitre et en particulier le Chapelier Fou. Ne sachant point ce qui est arrivé de navrant au Pays des Merveilles, Alice apprend, qu'après son départ, la Reine Rouge a pris le pouvoir en relâchant le Jabberwock, une terrible créature aux allures de dragon. Pour que le bien et la paix puissent régner à nouveau au Pays des Merveilles, Alice devra s'allier du déjanté Chapelier Fou et de l'excentrique Reine Blanche Mirana afin de se débarrasser de la tyrannie de la Reine Rouge et refaire régner la justice.
Incontestablement, quel magnifique tour de force que de s’atteler à un chef d’œuvre de la littérature connu de tous, Alice au pays des merveilles, et de réussir, malgré tout, à en faire une réussite, indéniable. Ce n’est pas nouveau et ce n’est pas une surprise pour personne, Tim Burton est tout simplement un génie, l’un des derniers qui reste encore dans le milieu du cinéma, un réalisateur fantasque certes, a l’univers bien défini, et qui, années après années, films après films, réussi l’exploit (n’ayons pas peur des mots) de nous émerveiller, de nous surprendre et de nous faire rêver, encore et encore au point que l’on se demande parfois, comment fait il pour être aussi génial. Car génial, il l’est, c’est une évidence, sa nombreuse filmographie est là pour nous le rappeler et d’ailleurs, il n’a plus grand-chose à prouver, sa place au panthéon des plus grands lui étant d’hors et déjà acquise, mais peut être son coté un peu loufoque tient une place non négligeable dans sa réussite ? Alors, tel un Chapelier forcement fou, Tim Burton distille son talent, nous offrant des œuvres inoubliables et enchanteresses dont on ne se lasse pas. Mais il n’est pas seul.
Que serait donc le grand Tim Burton sans son alter ego, son quasi jumeau, le grand également, Johnny Depp ? Et lui-même, qu’aurait donc été sa carrière sans le réalisateur ? Forcement, si ces deux là ne se seraient pas rencontrer, l’Histoire du cinéma de ces vingt dernières années n’aurait pas été la même, et la part du rêve du septième art ne serait pas aussi savoureuse. Le duo Burton/Depp restera dans les annales du cinéma comme étant indissociable, et, malgré le talent indéniable des deux hommes, lorsqu’ils ne sont pas ensemble, il semble presque manquer un petit quelque chose… Alors, Johnny Depp, acteur aussi génial que célèbre, qui lui aussi n’a plus rien à prouver, réussi, lui aussi, a nous étonner et nous émerveiller, film après film, encore et encore. Et sa prestation dans le rôle de ce fou de Chapelier en est, une fois de plus, la preuve la plus éclatante.
Alors oui, adapter Alice au pays des merveilles était une gageure. Non pas que l’on ne croie pas au talent de Burton, mais surtout parce que cette œuvre, de part sa célébrité dans le monde entier est trop connue, beaucoup trop. Nul besoin de la lire pour la connaître par cœur, et ce, quelque soit notre origine. Et sincèrement, il n’est jamais simple, forcement, d’obtenir un résultat satisfaisant, les comparaisons étant inévitables, soit avec le livre de Lewis Caroll, soit, bien entendu, avec le dessin animé de Disney… mais aussi, ne nous leurrons pas, avec les anciennes productions du duo qui, pour certains, sont toujours forcement meilleurs que les plus récentes. Et la réussite, pourtant, est au rendez vous, incontestablement.
Oui, cette version Burtonnesque d’Alice au pays des merveilles est tout simplement… merveilleuse (oui, je sais, sur ce coup, le raccourcis est très facile). A cela, deux choses : premièrement, la symbiose parfaite entre l’univers enchanteur et rêveur de Caroll et celui tout aussi onirique et bien souvent inquiétant de Burton. De ce coté là, on pouvait se demander ce que le réalisateur allait bien pouvoir nous sortir de sa boite à idées qu’est son cerveau et le résultat, ce subtile mélange de merveilleux, avec cet univers de l’autre coté du miroir, tout bonnement époustouflant et somptueusement retranscrit à l’écran, et ce coté sombre, violent où plane la souffrance et la mort, même si l’humour n’en reste pas moins présent, ce résultat donc, est à la hauteur de nos espérances les plus folles. Car plutôt que de se contenter d’adapter bêtement l’œuvre original, Burton nous en offre la suite, avec une Alice adulte, et superbement interprétée par Mia Wasikowska, jeune actrice australienne qui était jusqu’à hier une parfaite inconnue pour moi, qui revient au Pays des merveilles, et qui le trouve dans un bien triste état : la Reine Rouge, Helena Bonham Carter (il fallait bien que madame Burton soit de la partie) toujours égal à elle-même, y fait régner la terreur et la mort et l’espoir sembles avoir quitter le cœur des habitants. Semble car en fait, une prophétie annoncerait qu’Alice pourrait venir à bout du terrifiant Jabberwocky, l’arme ultime de la Reine. Alors, forcement réticente au départ, par la force des choses, et accompagné des divers habitants du pays des merveilles, en particulier le Chapelier fou (Johnny Depp tout bonnement excellant dans un rôle qui semble, après coup avoir été tailler pour lui), Alice se lancera dans une folle aventure, à la fois drôle, enchanteresse, parfois terrifiante, jusqu'à un somptueux final d’une violence que l’on n’attendais peut être pas d’une œuvre qui a la base, est plutôt destinée aux enfants. D’ailleurs, sur ce point, un conseil si comme moi vous êtes parents : Alice au pays des merveilles n’est pas destiné aux plus jeunes, loin de la, et certaines scènes sont assez spéciales. Alors, réfléchissez y donc a deux fois avant de les amener (a priori, je pense que huit, neuf ans est correct, en dessous, prudence). Bref, entre une intrigue captivante de bout en bout, un univers somptueusement bien retranscrit a un point tel que l’on croirait véritablement que celui-ci soit réel, une histoire a la fois semblable et différente que celle de l’œuvre originale et d’excellents acteurs et des effets spéciaux tout bonnement époustouflants, il ne faut pas hésiter une seule et unique seconde, Alice au pays des merveilles se doit d’être vu et est, incontestablement, Le grand film de ce début d’année. En tout cas, une réussite, tout simplement que l’on n’est pas prêt d’oublier de si tôt.
Pour conclure, je tenais à vous parler du deuxième point dont j’avais fait mention plus haut dans ma critique. Et celui-ci est la 3D. Fini la vieille fausse 3D d’antan, avec ses lunettes ridicules rouges et bleues, mais cela, les spectateurs le savent et ce n’est plus une surprise. Mais il y a des films, il me semble, auquel la 3D n’apporte rien (sur ce point, j’ai vu une bande annonce d’un truc de mode ou je me demande où était l’intérêt réel de la chose, a part l’effet de mode ?), mais cet Alice au pays des merveilles, si je ne doute pas qu’il doive être magnifique sans la 3D, aurait perdu beaucoup de sa magie sans elle. Sincèrement, c’était tout simplement incroyable : non seulement les décors et l’univers en général étaient si parfaitement réalisés que l’on se croyait vraiment dans ce fameux pays des merveilles mais avec la 3D, l’effet d’immersion était époustouflant au point que par moments, j’eu l’impression de déambuler au milieu des protagonistes. C’en était même fortement troublant. D’ailleurs, c’est en regardant cet Alice que j’ai énormément regretté de n’ « avoir » vu Avatar qu’en 2D. Quel gâchis, et pourtant, Dieu sait qu’il était somptueux pourtant…
Bref, inutile d’en rajouter des tonnes, vous l’avez compris, arrêter tout ce que vous faites, ne vous posez pas de questions futiles et inutiles, courrez acheter vos places de ciné et ruez vous devant cet Alice au pays des merveilles qui saura vous éblouir, vous enchanter et vous entrainer dans un monde qui vous semblera si réel que peut être, en rentrant chez vous, vous aurez la même réaction que moi en trouvant curieux que votre chien ne parle pas. Alors, un grand merci a Tim Burton pour ce superbe moment de cinéma, merci à Johnny Depp et autres acteurs, mais également au Lapin blanc, au Lièvre de Mars, Tweedle Dee et Tweedle Dum et tous les autres… Pour moi, hier, vous étiez tous réel, et rien que pour cela, c’est à mes yeux la preuve que j’ai cru être transporter pendant un peu moins de deux heures (trop court !!!), dans ce pays des merveilles que je souhaite absolument ne plus quitter. Franchement, une réussite ! Et dire que quelques mauvaises langues ont sut trouver à redire… pff !
j avoue que je n ais aimee que l esthetisme du film,j ai trouvee que c etait bien un disneys plus pour les enfants qu autres choses surtout a cause de l histoire...
RépondreSupprimerj ai ete un peu decue j avoue,je m attendais a bien mieux,mm si c est joli a voir...
Pour ma part, un excellent Burton qui a sut me transporter dans un monde de rêve comme toujours.
RépondreSupprimerHum, les gouts et les couleurs…
RépondreSupprimerPersonnellement, j’estime que cet Alice au pays des merveilles est un très bon Burton, pour les raisons déjà citées dans ma critique. Après, c’est normal que chacun ait son avis sur la chose. Pour moi, Ed Wood est mon préféré dans la filmographie de Burton, et je n’ai pas trop accroché avec Sweeney Todd, pour d’autres, c’est le contraire. Certains vont titiller le fait que cet Alice ait été produit par Disney et ils n’ont peut être pas tord, probablement que « plus libre », Burton aurait réaliser une œuvre plus « sombre », mais bon, au final, le plus gros défaut du film, à mes yeux, est qu’il est trop court ;)