Bon
bah voilà, comme chacun sait, nous sommes le 31 décembre 2014, à quelques
heures à peine des douze coups de minuits qui annonceront la toute nouvelle
année, 2015 ! Bien évidemment, et comme il est de coutume sur ce blog depuis six
ans désormais, je tenais à revenir sur les œuvres qui m’ont le plus marqués au
cours de ces douze derniers mois. Bien sûr, je dois reconnaitre que cela n’a
rien de bien original ; après tout, il est de coutume, dans les derniers jours
d’une année, de rappeler les événements qui l’ont marqué (il suffit de regarder
la télévision ou de lire la presse pour le constater), cependant, plutôt que de
tourner autour du pot, il est temps de revenir sur cette année 2014 qui n’en a
plus, désormais, pour très longtemps :
Livre
de l’année : Légende
Ici,
mon choix s’est porté le plus naturellement du monde sur premier et plus connu
roman de l’écrivain britannique David Gemmell, Légende.
Il faut dire que cet auteur, dont je me suis lancé dans ses œuvres il y a
quelques mois a peine, fut très présent en cette année 2014 pour ce qui fut de
mes lectures et, d’ailleurs, ce n’est pas finis puisque j’ai encore quelque uns
de ces ouvrages sous le coude pour les semaines a venir, du coup, voir l’un de
ses titres remporter la palme de Livre de
l’année est tout sauf une surprise. Quant au choix de Légende, plutôt qu’un autre, comment ne pouvais-je pas ne pas
mettre en avant ce Fort Alamo médiéval fantastique et ce formidable baroudeur
qu’est Druss la Légende !?
BD
de l’année : L’Attaque des Titans
Là
aussi, mon choix fut assez facile pour ne pas dire évidant, car bon, comment
dire, si j’ai découvert les premiers tomes de ce manga en décembre 2013, il est
évidant que tout au long de l’année 2014, s’il y a bien une œuvre qui est
revenu sans cesse – et ce n’est pas finis – ce fut bel et bien L’Attaque
des Titans ! Mais si l’œuvre de Hajime Isayama, de part ses qualités
et son omniprésence tout au long de l’année, mérite largement son titre, pour
la petite histoire, il est important, il me semble, de souligner que c’est la
première fois, depuis que ce blog existe, qu’un manga est considéré comme étant
la BD de l’année.
Film
de l’année : Django Unchained
Bien
évidement, Django
Unchained n’est pas sortit sur les écrans en cette année 2014 mais bon,
comme vous pouvez le deviner, si je l’ai choisis comme étant le film de l’année,
c’est que je ne l’ai vu qu’il y a quelques mois. Ce petit apparté étant dit, et
au vu de la faible concurrence cette année, il était fort logique que la
dernière production en date du génial Quentin Tarantino remporte la palme,
surtout que, en toute sincérité, ce film le mérite largement.
Série
de l’année : American Horror Story – Asylum
Bon,
je ne vais pas vous mentir, jusqu’à il y a quelques jours a peine, le lauréat
que j’avais choisis pour cette année n’était pas vraiment une série mais un
dessin animé, plus précisément la première saison de la version animé de L’Attaque
des Titans ; ce choix me semblait on ne peut plus logique et n’aurait
fait que confirmer l’importance de cette œuvre, cette année. Cependant, tout
aura été bouleversé ces derniers jours par American
Horror Story, et plus précisément par la seconde saison de celle-ci, Asylum :
en quelques jours, je me suis taper les 25 épisodes des deux saisons et,
sincèrement, après coup, je ne pouvais que changer d’avis au vu de l’excellence
de cette série…
Jeux
Vidéo de l’année : Uncharted 2 – Among Thieves
Curieuse
année que 2014 pour ce qui fut des jeux vidéos : si j’avais débuté cette
année sur les chapeaux de roue, un peu comme j’avais finis la précédente, ayant
l’occasion de jouer a de multiples titres, dont certains, plutôt bons, au bout
de quelques mois, et après m’être lancer dans le pourtant excellent The Last of Us, j’ai eu le plus grand
mal a aller au bout de celui-ci ; manque de temps, problèmes physiques au
bras, travail, du coup, ce jeu qui aurait fait un bon vainqueur n’est pas
encore achever – pourtant, je suis a la fin de celui-ci. Du coup, le lauréat de
cette année 2014 sera Uncharted
2, un soft qui, de toute façon, le mérite tout autant et qui m’aura
fait passer de très bons moments…
Disque
de l’année : Let it Bleed
D’un
point de vu musical, 2014 n’aura pas été une année qui aura brillé de par ses nouveautés,
bien au contraire. Du coup, et comme ce fut déjà le cas sur ce blog en d’autres
occasions, j’aurais eu à choisir le lauréat parmi un lot d’opus dont je vous
aurai proposé la critique cette année, chose qui, vous pouvez vous en doutez,
ne fut pas facile – pourquoi lui plutôt qu’un autre ? Mais comme – honte
absolue – je n’avais jamais parlé des Rolling Stones sur ce blog jusqu’à cette
année, je me suis dit qu’un de leur disque ferait parfaitement l’affaire, et,
dans le lot, Let it Bleed
faisait un bon lauréat… Après, j’espère que pour 2015, je trouverai quelque
chose d’un peu plus récent !?
Revue
de l’année : La Nouvelle Revue d’Histoire HS
8 – Été 1914, pourquoi le suicide de l’Europe ?
Pour
finir, le choix le plus difficile, année après année, celui qui consacre la
revue qui m’aura le plus marqué au cours des douze derniers mois. La chose,
comme vous pouvez vous en doutez est pour le moins un choix cornélien car bon,
faire le tri dans un nombre conséquent de revues, ce n’est pas une mince
affaire, surtout qu’il est rare que certaines sortent véritablement du lot.
Pourtant, cette année, ce fut comme une évidence quand j’ai eu a choisir :
en effet, vu qu’en 2014 nous fêtons le centenaire du début de la Première
Guerre Mondiale, une revue sur le sujet s’imposait, et justement, le huitième
hors-série de La Nouvelle Revue de l’Histoire,
au demeurant, excellent, ne pouvait que s’imposer, le plus naturellement du
monde…
Bon bah voilà, il me
semble que c’est tout pour cette année, il est donc temps pour moi de vous
souhaiter de passer un excellent réveillon, de fêter comme il se doit (mais
avec modération les amis, franchement, je vais joueur les vieux chiants mais
tant pis, inutile de picoler comme des trous au point de rouler sous la table)
l’année 2015 qui arrive dans quelques heures et de saluer, une dernière fois,
2014, une année qui, d’un point de vue personnel, aura été pour le moins
sympathique. Et pour finir, comme il se doit, je ne pouvais pas vous quitter
sans la traditionnelle salutation d’usage : bonne année a tout le monde
!