SGT. PEPPER’S LONELY HEARTS CLUB BAND
The Beatles (1967)
1. Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band 2:02
2. With a Little Help from My Friends 2:43
3. Lucy in the Sky with Diamonds 3:27
4. Getting Better 2:47
5. Fixing a Hole 2:36
6. She's Leaving Home 3:34
7. Being for the Benefit of Mr. Kite! 2:37
8. Within You Without You (George Harrison) 5:05
9. When I'm Sixty-Four 2:37
10. Lovely Rita 2:41
11. Good Morning Good Morning 2:40
12. Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band (Reprise) 1:18
13. A Day in the Life 5:33
Celui là, comment voulez vous que je puisse écrire une critique alors que, 42 ans après sa sortie, tout a été dit, mille et une fois et que je ne vois pas ce que je pourrais ajouter de plus. Tache ardue donc devant laquelle je m’attelle, car c’est tout simplement à un véritable monument que je m’attaque aujourd’hui. Car, cette « fanfare du club des cœurs solitaires du sergent Poivre » (c’est fou comme lorsque l’on traduit certaines choses, celles-ci perdent beaucoup de leur crédibilité) est tout simplement considéré comme étant le plus grand disque de tous les temps, occupant la plus haute marche de quasiment tous les classements possibles et inimaginables. Le chef d’œuvre absolu des Beatles, donc, groupe tout aussi génial (mais faut il le rappeler ?) qui, à l’époque, sortie quelques belles galettes du même acabit. D’ailleurs, histoire d’aller un peu à contre courant, je dois avouer que, à choisir, je préfère Revolver, sortis un an auparavant, voir, le somptueux Abbey Road, le chant du signe du groupe, sorti en 1969. Mais tout ceci ne reste qu’une affaire de goûts personnels, et, pour la majorité, c’est bel et bien Sgt. Pepper’s qui, encore à ce jours (mais sincèrement, quelqu’un croit il que, un jour, on fera mieux ? Evidement que non…) est le meilleur disque de pop rock.
Evidement, encore aujourd’hui, ce qui détonne tout d’abord, c’est la qualité intrésèque de ce son, une véritable révolution pour l’époque, avec cette basse libre, mise en avant et omniprésente tout au long des divers titres de l’album. Encore une fois, il est bon de rappeler que Mac Cartney, en plus de l’extraordinaire compositeur qu’il fut (depuis, il a un peu vieilli), fut également l’un des plus grands bassistes de l’histoire de la musique. De plus, reconnaissons que ce Sgt. Pepper’s doit énormément à Maca, à l’origine du projet et incontournable sur l’album de part son implication, mais aussi par le retrait (relatif, tout de même) de Lennon ainsi que d’Harrison (celui-ci en plein trip oriental), et ce, même si les meilleurs titres de celui-ci sont ceux où les deux « génies » collaborèrent comme With a Little Help from My Friends, offerte à Ringo, She's Leaving Home (Maca aidé par Lennon) et A Day in the Life (le contraire). Un album non loin de la perfection donc, rempli de somptueuses chansons ou le rock se mêle à la fanfare, aux cors de chasse, aux clavecins et à diverses cordes, peu communes à l’époque. Et si l’on ajoute à cela, en plus, la pochette la plus célèbre (et la plus copiée également) de l’Histoire du rock qui, dans le fond, ne connais qu’un seul et terrible défaut : la non inclusion des deux chefs d’œuvres que sont Strawberry Fields Forever et Penny Lane, sortis en 45 tours quelques temps auparavant et victimes de l’habitude que les Fab Fours avaient : les titres parus en singles ne paraissaient pas en album. Vraiment dommage, mais bon, on ne refera pas le passé.
The Beatles (1967)
1. Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band 2:02
2. With a Little Help from My Friends 2:43
3. Lucy in the Sky with Diamonds 3:27
4. Getting Better 2:47
5. Fixing a Hole 2:36
6. She's Leaving Home 3:34
7. Being for the Benefit of Mr. Kite! 2:37
8. Within You Without You (George Harrison) 5:05
9. When I'm Sixty-Four 2:37
10. Lovely Rita 2:41
11. Good Morning Good Morning 2:40
12. Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band (Reprise) 1:18
13. A Day in the Life 5:33
Celui là, comment voulez vous que je puisse écrire une critique alors que, 42 ans après sa sortie, tout a été dit, mille et une fois et que je ne vois pas ce que je pourrais ajouter de plus. Tache ardue donc devant laquelle je m’attelle, car c’est tout simplement à un véritable monument que je m’attaque aujourd’hui. Car, cette « fanfare du club des cœurs solitaires du sergent Poivre » (c’est fou comme lorsque l’on traduit certaines choses, celles-ci perdent beaucoup de leur crédibilité) est tout simplement considéré comme étant le plus grand disque de tous les temps, occupant la plus haute marche de quasiment tous les classements possibles et inimaginables. Le chef d’œuvre absolu des Beatles, donc, groupe tout aussi génial (mais faut il le rappeler ?) qui, à l’époque, sortie quelques belles galettes du même acabit. D’ailleurs, histoire d’aller un peu à contre courant, je dois avouer que, à choisir, je préfère Revolver, sortis un an auparavant, voir, le somptueux Abbey Road, le chant du signe du groupe, sorti en 1969. Mais tout ceci ne reste qu’une affaire de goûts personnels, et, pour la majorité, c’est bel et bien Sgt. Pepper’s qui, encore à ce jours (mais sincèrement, quelqu’un croit il que, un jour, on fera mieux ? Evidement que non…) est le meilleur disque de pop rock.
Evidement, encore aujourd’hui, ce qui détonne tout d’abord, c’est la qualité intrésèque de ce son, une véritable révolution pour l’époque, avec cette basse libre, mise en avant et omniprésente tout au long des divers titres de l’album. Encore une fois, il est bon de rappeler que Mac Cartney, en plus de l’extraordinaire compositeur qu’il fut (depuis, il a un peu vieilli), fut également l’un des plus grands bassistes de l’histoire de la musique. De plus, reconnaissons que ce Sgt. Pepper’s doit énormément à Maca, à l’origine du projet et incontournable sur l’album de part son implication, mais aussi par le retrait (relatif, tout de même) de Lennon ainsi que d’Harrison (celui-ci en plein trip oriental), et ce, même si les meilleurs titres de celui-ci sont ceux où les deux « génies » collaborèrent comme With a Little Help from My Friends, offerte à Ringo, She's Leaving Home (Maca aidé par Lennon) et A Day in the Life (le contraire). Un album non loin de la perfection donc, rempli de somptueuses chansons ou le rock se mêle à la fanfare, aux cors de chasse, aux clavecins et à diverses cordes, peu communes à l’époque. Et si l’on ajoute à cela, en plus, la pochette la plus célèbre (et la plus copiée également) de l’Histoire du rock qui, dans le fond, ne connais qu’un seul et terrible défaut : la non inclusion des deux chefs d’œuvres que sont Strawberry Fields Forever et Penny Lane, sortis en 45 tours quelques temps auparavant et victimes de l’habitude que les Fab Fours avaient : les titres parus en singles ne paraissaient pas en album. Vraiment dommage, mais bon, on ne refera pas le passé.